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MM1 d'occasion

MOZ a écrit :

... mais je regrette le MM1 tout de même, en n&b je n'ai pas trouvé mieux.
J'attends le nouveau capteur du MM1 et certainement qu'une prochaine occaze sera mienne à un moment ou à un autre :wink:

C'est le moment d'en profiter. Je vois des MM1 mis en vente à des prix ridiculement bas, plombés par ce capteur déficient qui a un remplaçant en théorie plus fiable.
Son prix de ce fait devrait remonter.

Rep : Bobine réceptrice

fred76 a écrit :

Jean a écrit :

amansjeanphilippe a écrit :

En fait j'ai des soucis avec la bobine réceptrice qui serre mal l'extrémité du film, mais je pense avoir trouvé une solution.

Cette bobine a dû être malmenée, ou..., n'est pas d'origine.
Normalement pour glisser l'extrémité du film sous la languette métallique plaquée et fixée par deux rivets contre l'axe de la bobine réceptrice, il faut forcer. L'extrémité introduite, le film ne peut être sorti qu'en le tirant énergiquement. :eek:

Bonjour Jean,

Je ne crois pas que ma bobine réceptrice, qui est d'origine, soit endommagée (Leica IIIa acheté à un summiluxien expert dans la maintenance de ce type de matériel) - en tout cas son aspect macroscopique est nominal.

Le plus souvent il n'y a aucun problème pour faire maintenir l'amorce du film dans la petite languette de la bobine. Cependant, parfois le film à tendance à se détacher lors du chargement. On surmonte. L'intervention de Jean Philippe m'y a fait repenser. Plus j'y pense , plus j'ai l’impression que c'est le support du film qui peut l'expliquer, pour moi le Rollei, RPX. je n'ai par contre aucun souvenir d'avoir eu ce type de difficulté avec un film à support plus épais (film C41 par exemple)

bonne journée

Bonjour Fred,

Il est possible que ce soit l'épaisseur du film. Je n'utilise plus que du TriX ou de l'Acros 100, après avoir utilisé Ilford et Agfapan avec lesquels je n'avais pas le type de problème dénoncé. Je n'ai pas d'autres points de repère.

Je n'ai pas non plus de problème au chargement, mais je prends toujours la précaution d'engager l'amorce à fond sous la languette et de vérifier son alignement sur la joue de la bobine.

Amicalement,

Bobine réceptrice

amansjeanphilippe a écrit :

En fait j'ai des soucis avec la bobine réceptrice qui serre mal l'extrémité du film, mais je pense avoir trouvé une solution.

Cette bobine a dû être malmenée, ou..., n'est pas d'origine.
Normalement pour glisser l'extrémité du film sous la languette métallique plaquée et fixée par deux rivets contre l'axe de la bobine réceptrice, il faut forcer. L'extrémité introduite, le film ne peut être sorti qu'en le tirant énergiquement.

C'est trop simple !

cedric-paris a écrit :

Ceci dit, la méthode préconisée par Barnack (découper 10cm) n'est pas beaucoup plus longue, et les p'tits cerveaux de Leitz avaient leurs raisons: prévenir une éventuelle mini-déchirure du film lors du chargement, notamment vers les petites perforations. Dans ce cas, on ne s'en rend pas forcément compte, mais des fragments peuvent se loger dans le mécanisme et s'y accumuler. Bon, on parle d'une époque où les gens se servaient très intensivement de leur vissant, plusieurs pelloches par semaine, voir par jour pour les reporters... Ce qui n'est sans doute pas le cas aujourd'hui. Mais interrogez Gérard Métrot, qui a "ouvert" un certain nombre de vissants dans sa carrière (!) C'était une cause de panne connue chez ceux qui défient le rituel Barnackien :grin:

J'adhère complètement. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué

Ombre Chinoise

M9-

1,4/35 FLE-

640 Iso-

1/45-

1,4

Mutisme

SudPigalle a écrit :

Fil sans paroles !

Je ne comprends pas "fil sans parole"

C'est un Fil où la règle d'or est de ne rien dire ou de n'afficher aucun commentaire. C'est simple. Non ?

Boîtier déficient

remi56 a écrit :

J'ai utilisé mon M-P en voyage au Etats Unis.
Certaines photos présentaient une sorte de flare "en V" (deux raies de lumières en V partant des coins supérieurs de la photo et convergeant vers le centre.
Je ne sais pas si c'est un pb M-P ou objectif, n'ayant jamais remarqué ça avec les M argentiques.

Selon toute vraisemblance ce phénomène répétitif vient d'une entrée de lumière parasite. Celà se produisait sur certains M5 du fait d'un défaut d'étanchéité à la lumière au niveau des fenêtres de visée.
Certes ces boîtiers sont très différents, mais ont quelques points communs dont le télémètre.
Personnellement je confierai ce M-P au SAV de Wetzlar.

Complexité

Paradoxal a écrit :

Il existe peu de réparateurs aptes à s'occuper de ce type d'appareil plus compliqué que les autres M.

Plus que d'accord.

Réglages et réparation à ne confier qu'au SAV de Wetzlar avec au bout un chèque à plusieurs chiffres

Wetzlar

La solution la plus prudente est de le confier au SAV Leica à Wetzlar qui seul a le banc optique informatisé nécessaire pour recentrer les lentilles, une fois l'objectif nettoyé.
C'est certainement le plus cher mais l'enjeu n'en vaut-il pas la chandelle ?
Procirep au temps où il disposait de l'agrément Leica conseillait Wetzlar pour cette raison.
On en est convaincu quand on a visité les ateliers du SAV.

Demander un devis.

HCB préférait le VIDOM

a.noctilux a écrit :

LeicaPhil a écrit :

a.noctilux a écrit :

C'est un bon début.

Le viseur d'un vissant n'est pas un trou de souris, plutôt une ouverture sur le monde du vissant à apprécier à sa juste valeur.

:idea:

ceci est une légende ...

Un photographe talentueux n'a pas besoin de viseur de course (quoiqu'un SBOOI donne une visée même plus grande et plus claire que n'importe quel viseur de M).
Il cadre dans sa tête, avec tous les réglages effectués, il attend le bon moment (j'ai dit "décisif" ?) et lève son Leica à vis en une fraction de seconde à son œil et déclenche*.
Viseur réel et temps réel (à pratiquer quotidiennement, plusieurs fois par jour pour l'apprécier).

* sachant que son talent de déclencher au bon moment, il n'en prend qu'une seule photo,
le bouton de réarmement ne le dérange pas, il n'a pas besoin de faire 3 (ou 10) vues à la seconde comme le plus commun des photographes de sport

+1

Je singe ce Grand Monsieur qui utilise même un Minilux (ou CM ?) qui lui a bien un viseur "trou de souris" mais avec AF .
Et pourtant ce Monsieur a la réputation de grande rigueur dans ses cadrages, compositions et "moments".

Je suis désolé de te contredire car si HCB mérite sa qualification d' "l'oeil du siècle", selon Assouline, le viseur 50 de son Leica ne lui convenait pas.
Voilà ce qu'il dit dans un entretien en 1952 avec l'Américain Richard L. Simon :"Je mets toujours le viseur VIDOM dessus. Sinon, je ne vois rien." Comment aurait-il pu autrement exiger que ses négatifs soient tirés plein cadre, sans le moindre recadrage, alors que le viseur intégré aux différents boîtiers à vis prévu pour objectifs de 50 mm se distingue par son imprécision ?
Dans un entretien précédent avec Daniel Masclet il dit aussi ceci :"Je ne coupe jamais mes épreuves à l'agrandissement... Composer, cadrer à la prise de vue, voilà la seule vérité, même pour le reporter.".
Composer cadrer, évidemment, mais avec un VIDOM qui a aussi cette particularité de donner une image inversée, qui lui permettait une meilleure composition.

Hors normes

stephane_marco a écrit :

Jean a écrit :

a.noctilux a écrit :

En effet, le bouton de vitesses lentes : un pêne de blocage et pas de vis de fixation apparente.

Bravo.
La disparition de la vis de fixation du bouton de réglage des vitesses lentes existait déjà sur le IIIc d'avant guerre.
C'est l'apparition de ce pêne de blocage qui perdurera jusqu'au IIIg qui signe la fabrication d'après guerre.

Peut-être, mais le IIIc grey contemporain de la guerre possède ce pêne de blocage. C'est compliqué :roll:

Les cas particuliers chez Leitz sont légion, surtout en cette période de guerre.
Paul Henry van Hasbroek me disait au sujet des premiers Leica IA de 1925 que contrairement à ce que laisse entendre les archives officielles, on peut trouver des boîtiers équipés d'un Anastigmat plutôt que d'un Elmax, fantaisie dû au montage très artisanal des débuts où un ouvrier installait ce qui lui tombait sous la main, ou qu'il trouvait en fond de boîte. Certes ces rencontres avec des boîtiers portant des numéros avec un équipement ne correspondant pas aux chiffres officiels sont rares, compte tenu de la petite production de ces objectifs des débuts, mais ils existent.

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a.noctilux a écrit :

En effet, le bouton de vitesses lentes : un pêne de blocage et pas de vis de fixation apparente.

Bravo.
La disparition de la vis de fixation du bouton de réglage des vitesses lentes existait déjà sur le IIIc d'avant guerre.
C'est l'apparition de ce pêne de blocage qui perdurera jusqu'au IIIg qui signe la fabrication d'après guerre.

Reste à trouver le dernier !

Très bien pour le repérage du diamètre du disque des vitesses qui est un des éléments.

Mais ce diamètre est en place depuis le Leica III Modèle F de 1933.

Reste à trouver le troisième qui emportera le diagnostic.

Pour Milou son raisonnement serait bon si le capot était en place. Or il n'y a plus de capot

Trois critères

FRISCO a écrit :

En un le revêtement ?

C'est vrai mais pas vraiment spécifique, mais il y en a donc deux autres sur lesquels j'ai bâti ma conviction.

Il y en a donc trois.

Jeu de piste

fabrice deutscher a écrit :

Jean a écrit :

Il s'agit d'une épave d'un Leica IIIc d'après guerre. :wink:

Jean connaissait l'histoire de ce IIIc, sauvé des eaux, et plus haut présenté en cours de restauration. Comme neuf en sortie d'atelier.

Eh bien Non ! Je ne connaissais pas l'histoire. Il suffit de bien observer l'image et deux points précis permettent le diagnostic.

Qui ici les trouvera

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