"A l'insu de mon plein gré" (réflexe)

Quelques soucis m'ont tenu éloigné, mais je reviens avec un thème qui m'intrigue :
"C'est pas moi, c'est mon doigt !"
J'ai déjà exprimé ce point de vue à propos de "l'instant décisif".
http://www.summilux.net/forums/viewtopi ... s&start=30
Mais, ici, il ne s'agit que d'instantané et je trouve rigolo que mon index déclenche "à l'insu de mon plein gré" !
Prises de vues au cours d'un récital d'école de danse* :
— avec ce genre de sujet, la part du photographe est minime vis à vis des autres paramètres : talent et morphologie de l'interprète, quantité et qualité d'éclairages, chorégraphie photogénique ou non, etc.
— il faut dire, également, que ce genre de prise de vue est épuisant (deux générales en matinée et deux spectacles, respectivement à 16 h pour les "débutants et moyens" et 20 h pour les "moyens et avancés") et, de temps en temps, il faut fermer l'œil un instant pour retrouver la capacité de distinguer le flou du net.
Aussi, je considère que dans de telles circonstances, le déclenchement est parfois, comme ici, essentiellement un réflexe indépendant de la volonté.
J'ai choisi deux sauts successifs :
— R9, 1/250e, Elmarit-R 180 m ;
— Recadrages de formats horizontaux ; Tmax 3200 développé, vu la quantité et l'urgence, dans une "soupe" inconnue, en labo-pro.
Par contre, de mignonnes scénettes ou gestes gracieux peuvent être fixés avec calme et lucidité :
* École "Menuet" à Rhode-St-Genèse, en Brabant wallon.
C'est à l'instigation de mon épouse, qui fut danseuse, que je participe à ce genre de "marathon" (une bonne quarantaine de petits ballets) à l'issue duquel elle a sélectionné plus ou moins 250 images sur 18 films. Je précise aussi qu'en aucun cas nous n'entrons en concurrence avec des photographes professionnels.
"C'est pas moi, c'est mon doigt !"
J'ai déjà exprimé ce point de vue à propos de "l'instant décisif".
http://www.summilux.net/forums/viewtopi ... s&start=30
Mais, ici, il ne s'agit que d'instantané et je trouve rigolo que mon index déclenche "à l'insu de mon plein gré" !
Prises de vues au cours d'un récital d'école de danse* :
— avec ce genre de sujet, la part du photographe est minime vis à vis des autres paramètres : talent et morphologie de l'interprète, quantité et qualité d'éclairages, chorégraphie photogénique ou non, etc.
— il faut dire, également, que ce genre de prise de vue est épuisant (deux générales en matinée et deux spectacles, respectivement à 16 h pour les "débutants et moyens" et 20 h pour les "moyens et avancés") et, de temps en temps, il faut fermer l'œil un instant pour retrouver la capacité de distinguer le flou du net.
Aussi, je considère que dans de telles circonstances, le déclenchement est parfois, comme ici, essentiellement un réflexe indépendant de la volonté.
J'ai choisi deux sauts successifs :
— R9, 1/250e, Elmarit-R 180 m ;
— Recadrages de formats horizontaux ; Tmax 3200 développé, vu la quantité et l'urgence, dans une "soupe" inconnue, en labo-pro.


Par contre, de mignonnes scénettes ou gestes gracieux peuvent être fixés avec calme et lucidité :


* École "Menuet" à Rhode-St-Genèse, en Brabant wallon.
C'est à l'instigation de mon épouse, qui fut danseuse, que je participe à ce genre de "marathon" (une bonne quarantaine de petits ballets) à l'issue duquel elle a sélectionné plus ou moins 250 images sur 18 films. Je précise aussi qu'en aucun cas nous n'entrons en concurrence avec des photographes professionnels.