summilux.net

Bravo !

Ballade très agréable !
Tu nous enchantes !

Excellent

Et ça file la pêche avant d'aller voter :wink:

Damned ! Ce n'est pas déjà fait ?? :lol:

Inthebox : série réjouissante, variée, documentée - qu'apprécieront tous les mandataires liquidateurs connectés sur Summilux ce matin... :wink:

Ben non, j'y vais tard :wink:

Comme j'aime souffrir, je participe au dépouillement :shock:

A regarder en lisant Georges Perec, La rue Vilin, dans L'infra-ordinaire, Seuil, 1989

Cliclac : moi aussi je participe au dépouillement.

Merci pour vos commentaires.
Je vois que j'ai affaire à de bons citoyens (je viens également d'aller voter), ce qui, soit dit en passant, pourrait vous valoir d'être tirés au sort pour figurer dans un jury d'assises. :lol:

@ Coignet
Je ne connais pas ce texte de Perec, mais je viens de contrôler sur le site de la Fnac : L'Infra-ordinaire a été réédité en 1995 et est toujours disponible au Seuil. Je vais me payer ça, tiens.

Inthebox a écrit :

(je viens également d'aller voter), ce qui, soit dit en passant, pourrait vous valoir d'être tirés au sort pour figurer dans un jury d'assises. :lol:

Pas si simple!
Pour ne pas polluer le forum, voici un lien vers la Cour d'Assise de Haute-Garonne (pour rester dans la région de summilux).

J'ajoute seulement qu'il faut également avoir une bonne note de la part des RG.

Bravo pour le regard !

Très intéressant.

Philippe D. a écrit :

J'ajoute seulement qu'il faut également avoir une bonne note de la part des RG.

C'est pas gagné :mrgreen2:

Inthebox a écrit :

Je ne connais pas ce texte de Perec, mais je viens de contrôler sur le site de la Fnac : L'Infra-ordinaire a été réédité en 1995 et est toujours disponible au Seuil. Je vais me payer ça, tiens.

C'est un petit texte, écrit dans l'esprit de la Tentative d'épuisement d'un lieu parisien (Paris, Christian Bourgois, 1983), qui décrit la place Saint-Sulpice heure après heure. On y trouve également le Perec d'Espèces d'espaces (Paris, Éditions Galilée, 1974), texte à mon avis fondateur. Dans Tentative d'épuisement d'un lieu parisien, Perec décrit de manière volontairement désincarnée et sans passion, mois après mois, les immeubles de la rue, et leur évolution ; dans ce quartier, à l'époque, c'est évidemment la disparition d'un monde perdu et la destruction qu'il donne à voir :

extrait :
Dimanche 5 novembre 1972 vers quatorze heures
Le n° 1 est toujours là. Le 2, le 3 : couleurs et confection « Au bon accueil » ; le 4 : Boutonniériste (fermé) ; le 5 : Laiterie devenue plomberie ? Le 6 : coiffure. Le 7 : détruit. Le 8, le 9 ? Le 10 : parage de peau ; le 11 détruit ;

Texte à lire d'une traite, comme par exemple Je me souviens (Paris, Hachette, 1978).

Son Je me souviens, je l'avais de fait beaucoup apprécié, et je le reprends encore de temps à autre.
Quant à La Rue Vilin, cela m'intéresse doublement, étant donné que je connais la rue..., du moins celle d'aujourd'hui. Il sera donc intéressant (mais aussi déprimant, sans doute), de comparer avec ce qu'il en a noté au fil des jours où il l'a parcourue.

Je remarque quand même - pour faire l'esprit chagrin - que les clichés numériques sont bruités et manquent singulièrement de "matière".
La ballade est néanmoins agréable, bien sûr .............

Inthebox a écrit :

PS : Cela ne s'adresse pas qu'à toi, mais une balade au sens de promenade ne s'écrit qu'avec un l. Seule la ballade - du provençal ballada (danse) - au sens musical du terme s'orthographie avec deux l. :wink:

En effet, j'ai failli faire un post spécial sur ce sujet car il y a beaucoup de "ballades" sur summilux.net qui sont bien souvent des "balades"

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Pas de quartier !

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