summilux.net

Tout près de chez-moi, à la Place San Martin (la même du week-end pluvieux)
http://www.summilux.net/forums/viewtopic.php?t=754
sont affichés plus de 100 clichés de Yann Arthus-Bertand. Expo à voir de jour comme de nuit. En voilà quelques (six) clichés sur le vif.
Tous au leica R4 + summicron 50 + scala




plus tard


des regards...


des maisons arrachées par une tornade (à Miami, je crois)


il commence à pleuvoir...


dernier cliché

J'aime bien le regard des quatres jeunes filles ; et le jeu du lampadaire sur la photo exposée, avec la tête comme une ombre qui passe.

buenos días el amigo

Bonjour
Merci Strovoï. La place San Martin, c'est un de mes coins préférés pour la lecture...et pour la photographie.

amicalement

Les deux premières sont très fortes et pleines de rêve.
J'aime beaucoup les images qui suggèrent et nous laissent inventer une histoire... Comme Borges !
Super. L.

Je vais radoter mais j'ai vraiment envie en regardant de nouveau les deux premières (et les jeunes filles aussi), je vois bien une histoire qui démarrerait sous ce lampadaire, à la manière de l'Attente ; sauf qu'il serait 9 heures du soir…

Amicalement

En écho, une petite équilibriste du bord de Marne, devant les photos de Willy Ronis...
Bonne nuit...


Cron35asph (légèrement recadré) / Provia 400

Ah LaurentT, tu lis dans mes pensées...

amicalement

juan villegas

Voilà une bien belle série de photographies, avec une préférence pour l'avant dernière de Juan.

Amicalement.

C'est marrant, les photographes vus par le public vu par des photographe, thème sympa, photos sympa.

Hérisson

C'est ici que nous nous retrouvions, Bernardo et moi. La place y est toujours aussi animée, la même jeunesse que celle qui fut notre. Rien ne change ; et rien ne ressemble à ce que nous connûmes tant nos cœurs ont changé. Je passe toujours par ici pour retourner chez moi. Je m'arrête un instant, respire une odeur nonchalante. Ce soir, il y a de grandes photos exposées sur la place, je ne crois pas que Bernardo les auraient aimées.

Tout comme lui, ce sont les visages qui me fascinent ; les regards qu'ils ont, seuls, ou les uns pour les autres. Avec Bernardo, nous pouvions demeurer des heures sans rien se dire, observant les visages autour de nous. Nous n'essayions pas de deviner leurs pensées, leurs paroles, nous préférions bâtir nos histoires sur la toile muette qui s'étirait devant nous.

Et puis nous nous les racontions durant la nuit (à moins que nous préférions lire les passages des livres qui nous enchantaient).

Souvent, elles se rejoignaient.

Bonjour
Merci Strovoï.
L'élégance de votre plume vous a permi de pénétrer dans l'atmosphère de la Place San Martin...Quand j'ai vu la Terrasse des Flots Bleus, j'ai déviné une sensibilité hors paire derrière un leica M.

amicalement