Se taire, se lever, marcher, traverser la ville, les rues.
Souhaiter ne rencontrer personne.
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C’est un désespoir qui va grandissant, car à dater de l’âge mûr, s’installe en nous la hantise de nos décharnements inéluctables, et dès lors, nous avons pour inséparable compagnon de notre solitude le fantôme anticipé de nous-mêmes…
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