cabecou |
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Spécialiste Messages : 1971Depuis le 31 juil 2009 Cahors |
le titre est aguichant n'est ce pas http://www.ens-louis-lumiere.fr/fileadmin/recherche/Benjamin_Petit_-_memoire_bd.pdf pas sur d'etre au bon endroit, au cas ou deplacer dans la section idoine "Si tu travailles avec un marteau-piqueur pendant un tremblement de terre, désynchronise-toi, sinon tu travailles pour rien." JCVD |
bedojo |
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Membre des Amis Messages : 9221Depuis le 19 mai 2010 corse |
Voilà qui semble très interessant. Merci du partage. |
cabecou |
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Spécialiste Messages : 1971Depuis le 31 juil 2009 Cahors |
un peu rébarbatif par l'approche scientifique mais y a des choses intéressantes a en tirer "Si tu travailles avec un marteau-piqueur pendant un tremblement de terre, désynchronise-toi, sinon tu travailles pour rien." JCVD |
LIBERAS |
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Messages : 29 Depuis le 24 déc 2013 France, Aix et Marseille, Bandol |
Pas vraiment passionnant Une longue étude pour confirmer un siècle de pratique argentique sur la nature du grain en fonction du film, de l'exposition du traitement Pour seulement effleurer un sujet plus pointu le grain vs le bruit Pour finalement conclure sur la subjectivité culturelle de l'appréciation de l'un ou de l'autre. Je n'arrive pas trop à comprendre le débat. Pourquoi vouloir du grain avec du numérique, ce qui me paraît aussi farfelu que si l'on recherchait du bruit avec de l'argentique. Personnellement je n'aime pas ces produits DXO, ou Nick software qui sont à la photo ce que la boîte de conserve est à la gastronomie. Si vous voulez du grain, prenez votre M7, un agrandisseur et un beau baryté. De toute façon avec le numérique, vous n'égalerez jamais l'argentique sur ce terrain car l'argentique à une profondeur de la matière inégalée; le dépôt de sels d'argent n'a pas un rendu semblable au jet d'encre qui n'a lui même pas un rendu de Piezo; enfin c'est ce que je veux croire (voir infra) En revanche en argentique vous n'arriverez jamais à la cheville de votre jet d'encre et votre image numérique en capacité de traitement de l'image; là il n'y a pas photo:il fallait des heures et un vrai talent pour un tirage de compétition avec des masques des filtres etc... un vrai bordel et des tonnes de papier à la poubelle; sensitométrie, densitométrie, luminance pour savoir si je veux un noir profond ou faire monter les hautes lumières et ne parlons même pas de la couleur En résumé, il ne faut, à mon sens, ni comparer ni vouloir avec l'un imiter l'autre, mais tirer partie des qualités intrinsèques de chacun des outils. Plusieurs expériences ont été tenté avec succès pour faire croire à des photographes chevronnés à la supériorité des tirages argentiques sur le numérique. Il leur était demandé d'apprécier et de comparer des lots d'images (presque) identiques en tirage argentique et jet d'encre en leur précisant la technique employée. A la quasi unanimité tous préféraient les tirages argentiques avec force argument........... sauf que tous les tirages étaient en fait des jets d'encre sur baryté ou fine art et qu'en fait les argentiques n'étaient que des jets d'encre dont on avait indiqué des temps de développement et des révélateurs bidons. |
philbed |
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Messages : 83 Depuis le 26 juil 2013 Seine-et-Marne |
Je suis assez d'accord avec la réponse de Pierre. D'un simple point de vue universitaire, je trouve ce mémoire un peu pauvre. Une grande partie est consacrée à exposer des choses que l'on connait depuis fort longtemps. D'un point de vue photographique et artistique, quel intérêt à vouloir simuler du grain dans un tirage numérique ? Si on ne replace pas ce questionnement dans la prespective d'un projet artistique précis, cela n'a, à mon humble avis, aucun sens. |
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