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Polka magazine no6

Posté:
lundi 31 août 2009 - 12:37
par chrisk

Posté:
lundi 31 août 2009 - 15:00
par Floflo
Acheté.
J'ai bien pensé qu'au moins un des reportages allait te plaire...
Un bon numéro.

Posté:
lundi 31 août 2009 - 19:31
par ubiklecouimeur

Posté:
lundi 31 août 2009 - 19:46
par deklic69
J'achèterai le numéro 6 sans réfléchir même si le numéro 5 m'a un peu laissé sur ma faim.
J'ai trouvé les photos d'Annie Merchandier assez mauvaise à moins que ce ne soit pas elle qui ait fait les photos du reportage, j'ai laissé mon polka quelque part cet été, je ne peux pas vérifier.
Celle de Gérard Uféras sont sans grand intérêt ainsi que celles de Timothy Fadek.
Heureusement il y avait William Klein.
J'ai retrouvé récemment des revues qui s'appelaient Clichés et je les ai relues avec avidité. Voilà de la revue photo.
Encore un effort Polka...


Posté:
lundi 31 août 2009 - 19:48
par danyves
"Là sont le nouveau présent et l'avenir du métier : les photos et les vidéos prises par les professionnels, au-delà de l'expérience et du talent de leurs auteurs, sont des preuves, des certificats d'authenticité, des pièces à conviction de l'Histoire.""
Alain Genestar confond avec le constat de gendarmerie.

Posté:
mardi 1 septembre 2009 - 8:54
par Chabada
En ont causé chez Nico ce matin.

Posté:
mardi 1 septembre 2009 - 10:57
par Piga

Posté:
vendredi 4 septembre 2009 - 16:14
par Abdoulaye L.
C'est triste, on retrouve Christian Poveda à titre posthume dans ce polka...

Posté:
vendredi 4 septembre 2009 - 16:19
par ArnaudLe

Posté:
samedi 5 septembre 2009 - 0:35
par chrisk
Abdoulaye L. a écrit :
C'est triste, on retrouve Christian Poveda à titre posthume dans ce polka...
Un revenant ?!!!
De retour Abdoulay ?


Posté:
samedi 5 septembre 2009 - 9:36
par Robert
Cette revue est plutôt plaisante et les textes sont parfois intéressants...
Il reste donc de la place pour le papier.
Les choix des clichés n'engagent que les rédacteurs et il y en a de médiocres, même sous les grandes signatures.
A suivre...

Posté:
dimanche 6 septembre 2009 - 17:54
par Inthebox
Un numéro 6 qui laisse perplexe. Du bon, sans doute, mais, sur l'ensemble, un arrière-goût de fourre-tout (il en allait de même dans les précédents) qui donne la fâcheuse impression d'une absence de ligne éditoriale.
Mais surtout, dans cette dernière livraison, un invraisemblable déséquilibre de pagination entre deux photographes réunis pour un même sujet. De fait, en appel de couverture, ce titre alléchant : "Paolo Pellegrin et Robert Capa - Frères d'armes - Quand les reporters de guerre photographient les stars." Soit deux collaborateurs de Magnum au talent indiscutable. "Frères d'armes", vraiment ? Comment se fait-il, alors, que Pellegrin bénéficie à lui seul de dix-sept pages, dont six sur les stars : Penélope Cruz, Brad Pitt, Mickey Rourke, Sean Penn (une double pour celui-ci, le visage saccagé par le pli central - merci au directeur artistique du magazine), contre quatre pages seulement à Capa, comportant trois clichés de stars : Gary Cooper, Picasso et Ingrid Bergman. Une telle distorsion dans le traitement d'un même sujet frise l'hérésie et n'a cours dans aucun magazine digne de ce nom - Genestar, ex-directeur du JDD et de Paris Match, le sait mieux que quiconque. Alors ? Des royalties trop importantes à verser aux ayants droit de Capa ? Si oui, il fallait alors laisser tomber le sujet sous sa forme initialement prévue. Un sujet par ailleurs rebattu. Voilà quelques décennies que la plupart des photographes de renom ont, à un moment ou à un autre, donné dans le people, suscitant ainsi des polémiques. (Il n'empêche : un David Douglas Duncan, par exemple, a touché infiniment plus de droits d'auteur avec ses ouvrages sur Picasso qu'avec son War Without Heroes (Harper & Row, 1971) - l'un des trois bouquins majeurs, avec ceux de Griffiths et de Burrows, consacrés à la guerre du Vietnam.)
De toute façon, ce n'est là qu'un début : les repreneurs et nouveaux actionnaires de Gamma ont, dans ce domaine, affiché d'emblée la couleur : désormais, cap sur l'exclusively people. Que cela plaise ou non.
Allez, Polka, encore des efforts ! Il en va de votre survie.

Posté:
dimanche 6 septembre 2009 - 19:37
par Robert
Inthebox est sévère, mais juste...
J'ai cependant lu le numéro en entier en me réjouissant que le papier perdure et que la revue, pari risqué, ne soit pas si mauvaise que cela à l'heure où d'autres sont nulles ou disparaissent.
Le texte de Brigitte Bragstone sur l'école est inattendu alors que les photos sont archivues. On apprend grâce à
http://www.artclair.com/oeil/archives/d ... nestar.php que Mme Bragstone n'est autre que Mme Genestar !!!
Enfin, Paolo Pellegrin a un problème avec l'horizon, ce qui est un parti pris photographique plus que lassant (hors des sentiers de guerre) même si certains clichés, de grand témoin, apportent "le choc des photos"...
Parmi les photos de Silvester, grand maître pour moi, il y en a quelques unes qui n'auraient pas dû sortir de la poubelle : complaisance ?

Posté:
lundi 7 septembre 2009 - 11:10
par Inthebox
Il est, en effet, toujours réjouissant de constater que le "papier" est toujours en vie. C'est bien pour cette raison que je n'ai pas émis ces critiques dans un esprit négatif, mais dans l'espoir qu'une telle revue puisse s'améliorer et, par la même occasion, perdurer. Car Alain Genestar a sans doute placé dans sa création la majeure partie (sinon la totalité) des indemnités afférentes à son éviction de Paris Match. Une initiative courageuse qui mérite d'être saluée. Il écrivait, dans le n°5, que le magazine avait atteint une diffusion d'environ 35 000 exemplaires. Encore faudrait-il connaître le pourcentage de retours. Car si ceux-ci dépassent 50%, alors l'aventure devient plus que périlleuse. D'où, probablement, le concours de sa femme, Brigitte Bragstone, comme secrétaire générale, ainsi que de son frère, (ou fils ?), Edouard Genestar, comme éditeur, et qui, tous deux, rédigent par ailleurs des textes pour le magazine, dans le souci de fonctionner en équipe réduite et, donc, à moindre coût, ce qui est indispensable.
Je le redis, et c'est un souhait sincère : "Pourvou qué ça doure !".