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A New York dans la Rue : Aiguisé

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 14:18
par danyves
Des jupes et des jambes de femmes....

http://www.nytimes.com/packages/html/fa ... index.html

pèpère et les compas

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 14:39
par Phil VDD
Il a oublié de dire qu'elles ont toutes les cheveux longs...

...

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 16:42
par yousse
Rien à faire, j'ai beau essayer, je n'accroche pas à cette photographie contemporaine là

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 16:55
par Paradoxal
Bof!
C'est quelconque.

bof!

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 17:02
par alain.besancon
Dans "l'homme qui aimait les femmes" il me semble que François Truffaut avait fait bcp mieux et bien plus distingué ...

Alain

Re: bof!

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 17:13
par Liv
alain.besancon a écrit :
Dans "l'homme qui aimait les femmes" il me semble que François Truffaut avait fait bcp mieux et bien plus distingué ...
Tout à fait ! On peut également citer Pedro Almodovar dans "Talons aiguilles".
Dans la série de Cunningham, il n'y a pas une photo qui me plaise, et pourtant, quel beau sujet !

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 19:09
par lasylve
Paradoxal a écrit :
Bof!
C'est quelconque.


brillante analyse, je crois que tu peut faire mieux !! :wink:


Pour ma part, un peu long à rentrer dans le sujet mais au bout du compte, le caractère sociale de ce reportage m'a beaucoup interpellé.

En effet, l'étude, à proprement dit, à mené par Bill Cunningham (photographe new-yorkais quelconque)
est trés subtile dans l'analyse de l'évolution des habitudes vestimentaires des citadines (quelconques elles aussi), et notamment de l'adaptation de la jupe au parcours urbain.

On remarquera que celles-ci (les jupes), sont faites en sorte qu'elles n'entravent pas la liberté de mouvement de leur propriétaires
tout en leurs garantissant un féminité certaine, en restant en contact avec la mode du lieu. :D




Vous savez, c'est comme quand on voit pour la première fois les photos d'Eugène ADGET:

Au début, on les trouve banales, mais au fur et à mesure qu'on les voit et revoit, qu'on les replace dans leur contexte,
que l'on sait les conditions de prise de vue et la mise en place, que l'on découvre sa signature, ses auto-portraits cachés ici et là,
que l'on découvre la démarche du photographe, alors on les trouve magiques, et pour ma part je m'en souviens en permanence. :D

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 19:17
par Paradoxal
lasylve a écrit :
brillante analyse, je crois que tu peut faire mieux !! :wink:



Si tu veux critiquer les autres, lasylve, améliore d'abord ton orthographe.
A chaque post de ta part, je m'amuse à compter les entorses à la grammaire.
On écrit "tu peux", sache-le. Et je ne parle pas de la suite de ce dernier post! :lol:
Par ailleurs, tes analyses tellement intelligentes, expose-les tant que tu veux mais laisse les autres juger par eux-mêmes et tout ira bien.

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 19:37
par lasylve
Le plus impressionnant est que tu n'as même pas interprété le Smile placé à la fin de cette phrase et fait pour adoucir celle-ci, tant pour toi. La vie est un jeu pas un combat !! :roll:

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 19:41
par lasylve
merci pour la leçon, je ferme ma gueule !! mais bon, me faire des réflexions sur ma grammaire et non sur mon analyse,
d'ailleurs j'attendais de sa part un peu de réthorique mais peau-d'zob, même pas trois ligne de pure analyse.......la photo vous intéresse-t'elle vraiment........... :roll:



j'avais dit que je la fermais mais vous me connaissez..... :lol:

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 19:58
par Paradoxal
lasylve a écrit :
Le plus impressionnant est que tu n'as même pas interprété le Smile placé à la fin de cette phrase et fait pour adoucir celle-ci, tant pour toi. La vie est un jeu pas un combat !! :roll:

Ecoute, lasylve, ça m'ennuie de me disputer encore une fois avec toi!
Laisse donc tomber cet éternel ton agressif que tu crois adoucir avec des "smilies".
Car contrairement à ce que tu penses, ce qui est écrit reste, "smiley" ou pas.
On peut être "rough boy" et ne pas pour autant se comporter comme un éléphant dans un magasin de porcelaine!! :wink: :wink: :lol: :D
Ai-je mis assez de "smilies"? :lol:

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 20:16
par lasylve
euhh..........tu m'expliqueras où tu vois une once d'agressivité dans ma première intervention, à moins que ce soit ta fierté qui soit heurtée. :roll:

De plus, une remarque sur l'othographe d'un post analysant une démarche photographique, cela me fait le même effet que si tu pissais dans un violon !!

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 20:57
par Blacker
Paradoxal a écrit :
Bof!
C'est quelconque.


Très peu d'intérêt en effet.

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 21:03
par lasylve
en absolu ou en relatif, y'a différence non !! 8)

MessagePosté: samedi 12 juillet 2008 - 21:37
par Aniki
Mes niveaux respectifs en photographie, anglais, sociologie et couture étant vraiment très moyens (surtout pour la couture, bien que je me fasse toujours une joie de recoudre les boutons de mes pantalons... enfin, passons), je pense qu'en additionnant le tout je peux produire un commentaire presque correct.

Il est clair que le caractère instantané de chaque vue s'en ressent sur la qualité affichée de chaque image, mais comme l'a souligné lasylve, le but du photographe était d'illustrer sa réflexion, justifiant par l'image celle-ci. Le deuxième but étant d'occuper l'esprit des plus mauvais anglophones en leur proposant de repérer la plus jolie paire de fesse (l'antéplénultiemme - et celles autour - ainsi que l'avant-dernière s'en sortent pas mal). :lol:
N'en demeure pas moins qu'en regardant bien, certaines sortent du lot, notamment celle de la "business woman" en tailleur-jupe rouge sur fond de camaïeux de béton gris, ou la très colorée numéro 8, jupe de toutes les couleurs aux motifs précolombiens (en fait j'y connais rien mais c'est ce qu'ils m'évoquent) et veste bleue. Un goût... incertain mais ouvert et expressif. A remarquer aussi, dans la présence récurrente en second plan d'un homme en pantalon de ville (si si, j'vous jure, il y en a à New-York !) qui quelque part souligne la dure condition vestimentaire féminine : le trottoir.
Bien sûr, quand je parle de trottoir, je parle de monter dessus, genre pas escalader l'Everest à tous les coins de rue, mais presque. Pour ces Messieurs qui n'auraient jamais essayé, c'est une très bonne expérience que de tenter de monter des escaliers en mini-jupe serrée en se demandant si on ne va pas déchirer la jupe, si on ne va pas se casser la figure, si on personne ne voit ses sous-vêtements (et d'autres joyeusetés).

Et je vais finir ma déviation en évoquant la similarité effective entre la géométrie des mini-jupes et des vestes de costumes des hommes (dont parlé Bill Cunningham), où bien au-delà de la simple mode, la simple ou double ouverture dorsale répond à des besoins pratiques. [Et il est beaucoup plus élégant de lever les bras avec une ouverture double, puisque cette double échancrure laisse un pan de veste pour pudiquement masquer les fesses.]