summilux.net

Pour faire suite à une mini série réalisée avec un autocord en 6x6 et postée ici (avec quelques informations sur la conception du musée et du parc) , voici une promenade un peu plus élaborée dans les jardins du musée alors fermé pour raisons sanitaires.

Musée: SANAA, Kazuyo Sejima et Ryūe Nishizawa.
Parc Paysager: Mosbach Paysagistes, Catherine Mosbach

Une certaine nostalgie du passé transparait dans ces images qui doivent impérativement être mises en perspective avec la mini série précédente pour une bonne compréhension du sujet que j'apprécie.
Je n'ai pas pu déchiffrer le matériel utilisé ici.

Tu m'as donné l'envie de me rendre prochainement sur place

Belle promenade tilu. Pour connaitre l'endroit, celui-ci offre de belles possibilités à qui sait regarder. J'aime beaucoup la perspective de la 3

Je partage l'avis d'Eric sur la 3. J'aime bien aussi la 2e et la dernière avec ce ciel tourmenté.
Le traitement du n&b laisse apparaître une belle gamme de gris : j'avoue avoir une préférence pour un traitement un peu plus poussé au niveau du contraste mais c'est vraiment affaire de goût.

3 et 8 pour moi. Et je suis d'accord avec Raynald. Un traitement plus dramatique, plus sombre irait beaucoup mieux à cette série.

Merci à vous

Pour le traitement je suis revenu à des gammes de gris nuancées c’est ce que je recherche
Des contrastes plus marqués sont certes plus accrocheurs mais à mon goût on s’en lasse plus vite et surtout cela rend la lecture plus superficielle... du moins sur mes images . Pour d’autre c’est beaucoup moins vrai certains sachant vraiment faire du noir et du blanc très lisible et profond

De façon plus spécifique l’architecture est fondée sur la dialectique reflet transparence elle ne s’accommoderait pas d’un contraste fort
De même la géométrie anguleuse et rectiligne au premier regard et cassée par des courbures très subtiles dont le but est de venir casser la ligne du bâtiment et littéralement le fondre entre ciel et terre. En dehors de quelques défauts de réalisation c’est extrêmement bien fait et c’est bluffant. C’est vers ça que j’ai été attiré lorsque j’ai pris les photos mais je n’en ai vraiment pris conscience qu’en discutant avec un architecte qui a su mettre des mots sur ce qui n’était que ses intuitions pour moi.

La 7 et la 9 sont vraiment emblématiques de cette effet de fusion lumineuse qui vient effacer le bâtiment entre ciel et terre tout en fondant ses lignes au premier abord très orthogonales.

En fait lorsque l’on comprend mieux les codes des architectes ce qu’ils ont fait est bluffant même si c’est anti spectaculaire (etait-ce le projet qu’il fallait pour Lens c’est un autre débat). Évidemment pour l’œil du profane ce n’est pas directement accessible comme toutes les œuvres d’art en fait

Le parc est bien moins abouti mais il semble bien qu’il y a une histoire de budget derrière qui a mené à un projet pas entièrement finalisé/réalisé. C’est dommage mais le lieu reste agréable.

Encore merci de vos avis

Tu as raison d'argumenter et de défendre tes choix techniques.
Je suis effectivement un profane en matière d'architecture : j'ai donc trouvé intéressant l'explication des options choisies.

bonjour ,

fin octobre 2021 _ ma visite au musée et au pavillon de verre ...


Leica M10-P "reporter" Summicron-M 35 mm f/2 Asph.

Un jolie vue de cet intérieur fort réussi, on y voit la volonté des architectes d'être de pleinpied avec le site, tout en discretion.
Merci à toi pour ce complément

Je continue la série, après une nouvelle visite du parc

Pardon je ne t'ai pas répondu, les photos 1 à 10 sont prises avec un Zeiss Ikon ZM et un voigtlander colorskopar 21mm F4.