Bertrand S |
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Membre des Amis Messages : 3813Depuis le 20 mai 2005 Lyon |
Voila
Et surtout le paysage est le produit d'une vision de monde Ibergekumene tsores iz gut tsu dertseylin (C'est un plaisir de raconter les ennuis passés) Proverbe yiddish placé par Primo Levi en tête de Si c'est un Homme |
Filament |
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Membre des Amis Messages : 14998Depuis le 2 nov 2003 Montpellier |
N'en rajoute pas trop, parce que c'est un coup à ce que je ne comprenne plus rien. |
Bertrand S |
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Membre des Amis Messages : 3813Depuis le 20 mai 2005 Lyon |
En simplifiant à l'extrème
Le paysage c'est la représentation de ce que l'on voit et de ce que l'on veut montrer. Ce qui influe les choix de cadrage. J'oubliais, en géographie on considère une photo comme paysage si il y l'horizon. Une photo aérienne prise à la verticale n'est pas un paysage. C'est ce que fait Marielle ici en montrant les différentes photos du buste de Baudelaire. Nous avons tous pris en photo la même chose mais avec un regard et des attentions différentes Si à la place de Baudelaire nous avions des vues de Paris prise du même endroit, nous aurions des paysages différents, car nous aurions différentes visions du même lieu. Mais je propose de continuer la discussion dans le fil paysage marielle a écrit : A travers ce fil, je trouve très intéressant d'observer le regard différent des protagonistes autour du même sujet inanimé : la statue de Charles Baudelaire :Bertrand S qui développe dans le TGV (est-ce pour ça que ça m'a l'air un peu flou ?? ) Filament, toujours bout-en-train, qui met en scène les petits copains Marielle, qui préfère le portrait à l'architecture urbaine (ou plutôt qui est plus à l'aise avec le portrait) Jean-Yves, qui met en scène, pour obtenir une image allégorique Il faudrait recommencer ce genre de petit jeu : un sujet, une balade, et comparaison des prises de vue. Je pense que nos photos en disent très long sur ce que nous sommes ! (encore plus que ce qu'on imagine) Ps @ Marielle, c'est mon scann qui est flou, ce n'est pas le développement TGV Ibergekumene tsores iz gut tsu dertseylin (C'est un plaisir de raconter les ennuis passés) Proverbe yiddish placé par Primo Levi en tête de Si c'est un Homme |
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