summilux.net

Depuis que je tripote mon summarit, je recherche à droite et à gauche des renseignements sur celui-ci.
Ce test est intéressant à plusieurs titres, vous découvriez lesquels

Ce site est sans doute connu par quelques uns ?
Le site en question.

Cordialement KKC

Et tu snob le seul expert en summarit du bas zambèze
Dégonflé

Avec un M3 et un summarit en bandouillère, j'ai l'air con ou pas? A Panam?

C'est quand tu veux pour coucher ta prose à propos du Summarit dans les pages techniques du forum.
Je me suis débrouillé sans toi

Quand je pense qu'on fait des optiques neuves qui marchent bien, mon pôvre chah, que fais-tu avec cette vieillerie ?

bah, j't' rassure même avec un M8 et un 35LA t'as du mal à pécho
ça marche qu'avec les initiées,
sinon un D2X ou un 1Ds avec un 70-200 ya pas mieux pour ratisser.
dommage que ça soit photographiquement moins cool.

C'est juste pour shooté la Cécile de JZ

Sur le site de Sels et Pixels, extraits:

Yvette Troispoux n’a pas choisi un lieu précis pour se faire photographier, trop
pressée entre deux rendez-vous. Par hasard ou par capilarité, elle s’est arrêtée
sous la photographie de Rodtchenko. Top là pour une photographie avec son
appareil. Elle le promène depuis 1933. Elle n’allait pas le poser. La petite dame
au Leica a débuté avec un simple Box Agfa 6x9. Modeste mais suffisant pour
attraper le virus de la photographie. Premier concours, premier prix. Le box
est remisé pour un Kodak Pronto à soufflet. “ Visée sport, à hauteur d’œil ”
Yvette Troispoux part sur les chemins du reportage. Du banal, du quotidien, du sans
importance. Mais elle a l’œil et le réflexe rapide.
En 1953, Jacques Halfen, au Club des 30x40 lui présente des photographies
réalisées au Leica. Une révélation. Elle craque : achète un objectif Summarit
50mm ouverture 1,5. Un Vega, réplique du Leica lui permet de patienter avant
qu’elle n’ait enfin son Leica.
Elle commence ses portraits de photographes, Brassaï avec son nœud de
papillon, son œil malicieux est le premier d’une liste inépuisable. Yvette Troispoux
ne fait pas dans le ponctuel et elle assure sur 10-20 ans ou plus si affinités. En 1975,
Agathe Gaillard lui propose de faire le reportage sur l’ouverture de sa galerie.
Elle le fera pendant 20 ans. Légère, elle se glisse au milieu des mondanités
saisissant ici Manuel Alvarez-Bravo, là Gisèle Freund. Photographe sans statut,
elle engrange des regards, de l’émotion, de la tendresse. Derrière son œil
malicieux se cache une opiniâtreté hors du commun.
En 1982, cinquante après sa première photographie , elle expose à Odéon-
Photo, puis, en 1984, dans le cadre du Mois de la Photographie.
La vie d’Yvette Troispoux change. Les expositions se multiplient en France et à
l’étranger. Changement de vie, pas tant que ça. «La photocopine» de Doisneau
court toujours le monde de la photo, le
Leica à la main.

ha oui, Cécile, c'est vrai ça ...
tu n'avais pas déjà un RV ???
si tu n'oses pas, je crois que je vais prendre ton tour...

ben oui, une sacrée bonne femme Yvette
comme quoi, il faut utiliser le matos qui te fait tripper,
c'est avec celui là que ça sera le mieux, tout le reste n'est que foutaises !

De 1.5 à 2.8 y fait sa coma après c'est un Cron-qui-flambe-les-hautes-lumières... et qui ridiculise le Lux-qu'a-pas-d'asph 8)
Tu crois pas que je refile mes trucs gratos non !
Tu veux un devis ?
Ps : à Panam 1/8 y reconnaissent le look Magnum tu peux venir

Laurent c'est dans les vieux pots..... etc
Bises

Ps 2 Trop tard Cécile !



Rit, ZI, f:2.8 sous fujicolor

bien sûr qu'on connaît ce site et même Christian alias Ekreviss ...

Comme le souligne Bernard, vous aurez remarqué que ce test comparatif d’objectifs en monture Leica (39 mm à vis) sur le site de Sylvain Halgand est dû à Christian, alias Ekreviss, honorablement connu sur notre site.

J’ai souvent rencontré Yvette Troispoux… Voir ici l’hommage que lui a rendu Agathe Gaillard pour célébrer les 90 ans de cette petite dame vive et gaie, vrai feu follet qui surgissait dans les vernissages des exposition pour chaparder au Leica les visages des photographes…

Jean D.

Bien sûr, mais je suis trop jeune…


Et puis non, je ne pas tout de suite.
Je crois qu'on a le regard façonné par nos références.
Pour moi, indécrottablement, l'esthétique des optiques anciennes est liée à de la photo ancienne, qui ne correspond plus à mes critères esthétiques. Ceci dit comme boutade, et sans méchanceté. Mais c'est vrai que ça ne m'attire pas (ou plus ?) : j'ai eu, autrefois, un Foca qui donnait des rendus vraiment superbes, mais auxquels j'ai rapidement préféré ce que pouvaient donner certaines Nikkor qui arrachaient.
Puis aujourd'hui, je suis très sensible à ce que savent faire des Leica récentes, qui à la fois cisèlent, et modèlent plus que chez le grand concurrent japonais. Parfois, je leur trouve quand-même un manque de modelés, mais trop de précision… jamais. Même dans les flous, les bougés, cette précision au scalpel m'apporte quelque chose.
En fait, c'est souvent l'incapacité des émulsions à décliner une gamme complète de nuances qui je regrette, attendant les lumières d'été pour utiliser du 25 et du 50 ISO, à exposer même parfois à 12 ISO.

Quant au site de Sylvain Halgand, oui, je connais, comme presque tout le monde ici, j'imagine, non ?

Bonjour tout le monde !

Hé hé rigolo que ce comparatif ressorte presque trois ans après (je l'avait fait en août 2004).

Je profite de faire quelques précisions sur ce comparatif:

- Il s'agissait de comparer les objectifs soviètiques à leurs homologues et modèles de l'Ouest de même époque.
- Le Summicron avait visiblement un problème vu les résultats obtenus. Beau rendu mais piqué médiocre.
- Le Summarit (qui est notre sujet ici) est très sensible au flare. Il a été certainement pénalisé pour cela (pas par moi, mais par les résultats sur négatifs !).
- Les prises de vues ont été faites sur un sujet statique. Comme tous les comparatifs !
- La notion de rendu (flous, transition flou - net, valeurs, etc.) n'avait pas été pris en compte. J'aime le rendu de tous ces objectifs. Les plus beaux flous sont donnés par la série des Jupiter 3 et le Summarit. Les plus belles valeurs par le Jupiter 8 de 1959 et le Summicron.

Je réponds volontier aux éventuelles questions.

PS: j'ai refais un mini test dans ce genre l'année passée avec d'autres 50 comme le Color-Skopar 2,5/50, et les Jupiter 3 ZK... et il faut également que j'insère dans un de ces tests mon ZM Sonnar !