charly a écrit :
[…] par contre si j'ouvre le diaf et je réduit le temps je peux faire une prise de lumière.
Ça c'est logique : on atteint plus vite la limite inférieure de mesure de la cellule avec le diaphragme fermé.
Ce sera la même chose sur un M5.
Avec un M, la cellule perçoit directement la lumière en fonction de l'ouverture ou de la fermeture du diaphragme.
Sur un reflex, qui mesure avec le diaphragme ouvert, et transmet le résultat correspondant par un système de potentiomètre, on rencontre aussi cette limite de mesure en basse lumière, mais de manière“simulée” pourrait-on dire.
Pour en revenir à ce qu'indique Zekkar, il y a une possibilité que le système de réflexion de la lumière sur l'élément sensible par l'intermédiaire de la pastille blanche soit un peu moins précis avec un diaphragme ouvert et une forte lumière, que celui du positionnement de la cellule dans l'axe de l'optique, comme cela est fait dans le M5.
Par ailleurs, je connais (par procuration) la cellule du M5, car c'est la même qui est installée dans le SL2, adaptée au reflex, bien entendu. Sur mon boîtier, son comportement est particulièremet fin dans les lumières violentes, ce qui n'est pas évident pour tous les boîtiers. Il est moins irréprochable dans les basses lumières (j'ajoute entre un demi et un diaphragme de plus suivant les conditions).
Mon R4 a un comportement plus satisfaisant dans les basses lumières, et moins critique lorsqu'il y a des éclairages violents.
Le sachant, lorsque j'ai besoin d'un boîtier pour les intérieurs, et d'un autre pour les extérieurs, le R4 fait les premiers, et le SL2 les deuxièmes.
Après avoir posté ce message, je m'aperçois que Zekkar a déjà fait une réponse. Nos précisions ne sont pas antinomiques.