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Bonjour à toutes et tous

J’ai constaté une nette différence d’angle de champs entre les cadres physiques que me montre le viseur de mon M-A et les cadres virtuelles que montre le Q3.

Bien sûr la précision des cadres d M argentique varie suivant la distance de MaP, mais je trouve la différence très importante - jusqu’à ce que le 50 mm du Q3 soit presque équivalent au cadrage du 35 du MA.

Avez vous constatez la même chose ? Je suis curieux de vos retours

Bonne journée
Jean-Yves

Je croyais que le Q3 43 avait un objectif de 43 mm...

Personnellement j'ai le Q3 avec l'optique de 28mm qui permet des recadrages numériques à 35/50/75/90

Bonjour,

Je viens de faire le test à une dizaine de mètres environ entre le cadre du 35 mm de mon M8.2 (soit un 47 mm équivalent en 24x36) et le cadre du 50 mm de mon Q3, et c'est... parfaitement cohérent .

Ted

Pas compris l'avantage de croper à la visée quand ça peut être fait ensuite en traitant les images. si en argentique je me satisfaisais du rapport 2x3 (24x36) ou 1x1 (6x6) je ne vois pas l'avantage de garder ces rapports en numérique. En numérique je peux cadrer aussi plus large pour éviter de redresser les perspectives en tenant l'appareil horizontal alors que le sujet demande une contre plongée.

C'est bien sûr une question d'attitude et de pratique. Tout d'abord, si vous shootez en JPG alors le cadrage à la prise de vue prend tous son sens, c'est mon cas lorsque j'utilise les Leica Looks (j'aime bien le N&Bnat de Leica, que je n'arrive pas à retrouver vraiment en pp avec C1, mais il y a aussi d’autres looks intéressants) : on est un peu comme en argentique au niveau attitude (film + cadrage). Pour ma part, même quand je shoot en DNG+JPG, j'aime bien choisir mon cadrage au moment où je prends ma photo pour conserver l'émotion, le sentiment, la "vision", que j'ai ressentis au moment de la pdv ; après en pp c'est une autre attitude, une autre recherche, même si on n'en prend pas toujours conscience. En DNG, je me suis fait des "cadres" pour retrouver le cadrage original que j'ai fait et que je peux contrôler sur le JPG. Je m'aperçois que je fais alors très rarement des recadrages par rapport au JPG, en fait c'est surtout si je n'ai pas eu le temps de modifier le cadre à la pdv, mais que je l'avais alors déjà en tête .

Même si c'est une réponse au post précédent, ça pourrait sembler un peu hors de propos dans une section Leica M... mais il existe maintenant le M-EV1, alors .

Ted

C’était en fait pour vérifier la « justesse » des cadres du MA , que j’avais trouvé pessimiste par rapport au rendu final sur le négatif. Et par rapport au Q3 il l’est encore plus.
Pour compléter c’était avec un summitar de 1942, ce qui peut expliquer.
Je vais refaire des test au MA à 10m .
Avec le Q je ne fais que du DNG et recadrage en PP, les fichiers sont tellement beaux …

Je ne donne pas la réponse, mais j'avais vu une vidéo ou un mec avait testé sur un même reflex numérique plusieurs optiques de marques diverse et de focale ( zoom vs focale fixe)tous à la même focale et bien selon la constitution des optiques le champ différé quelque peu. Il risque d'être difficile d'avoir on un cadrage identique... Déjà que Leica parle d'un 28 mm mais le constat serait sur cette optique cadre presque plus comme un 24 mm...

Effectivement, tous les objectifs n’ont pas la même focale effective.
Sans parler du phénomène (dont j’ai oublié le nom) qui induit une différence de champ couvert suivant la distance de MaP.

Finalement le tout est de s’habituer à son couple optique/boitier.

Avec les objectifs avec focalisation interne (FLE / IF), la solution est de ne déplacer le minimum de lentilles en modifiant la distance focale de l'objectif sans modifier le tirage. J'ai un 28mm Hasselblad qui fonctionne de cette façon avec un petit inconvénient découvert: J'ai remplacé le parasoleil rond par un autre rectangulaire "noname" très efficace sauf qu'en distances rapprochées l'angle de champs devient plus large et apparaît un vignetage dans les coins.