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M6leica a écrit :

Summicron2 a écrit :

Xenophon a écrit :

Par rapport au M6 TTL, le MP perd la fonction TTL au flash et la grande molette des vitesses, mais il conserve l'indicateur d'exposition à trois diodes.

Sur le M6TTL, la grande molette des vitesses est un progrès indéniable: elle permet de faire un réglage croisé diaph/vitesse et tourne dans le bon sens des flèches !

J'ai changé de M6 pour avoir un TTL par ce que j'ai perdais du temps en cherchant la bonne direction. S'habituer ou pas est un affaire perso, pas une règle!

J'ai connu des laicaistes qui n'on jamais eu de problème avec le sens des flèches, mais j'ai aussi connu des laicaistes qui comme moi, qui ont changé de modèles de M6 pour gagner du temps, pour eux et pour moi le TTL est un M6 plus intuitif. Concernant le probable nouveau M argentique, c'est une excellent nouvelle, quoi que je suis carrément plus intéressé par la diminution du prix du films.

Le films est devenu le problème de l'argentique. Merci- M6L

c'est quoi un "laicaiste"???

Elmer, bonsoir.
Concernant votre question:
Nikoniste: Utilisateur de matos Nikon et passionnés du monde Nikon.
Canoniste : Utilisateur de matos Canon et passionnés du monde Canon.
Laicaiste : Utilisateur de matos Leica et passionnés du monde Leica.

Attention ma définition est perso. Cordialement M6Laicaiste

jepp a écrit :

allez ,après le M6-2 encore un petit effort Leica et resortez nous un Leica M7-2 , le meilleur, l’ultime, le plus précis, celui qui a profité de toute les améliorations .
Le problème ( hypothétique) des M7 actuel est un simple problème de disponibilité des pièces… aujourd’hui la carte électronique est un jeux d’enfant a refaire avec les différents processeurs sur le marché.
L’usine du portugal a besoin de bosser.

Si un nouveau M devait sortir, cela risque d’être le « dernier M argentique » en série limitée avec coffret en bois. Leica est désormais tournée vers le numérique.

Il faudrait donc ouvrir un fil dédié: de quelle essence sera donc le coffret en bois dudit boîtier…
Loupe d’orme, bois de fer…?
Quel suspense palpitant ! :lol:

balsa au prix de l'ébène..?

Richard a écrit :

balsa au prix de l'ébène..?

Bah, le balsa peint en noir et présenté comme un "bois précieux et issu de forêts renouvelables certifiées", ça marchera fort... :mrgreen:

Boîte en bois, certain que ça aiderait la :content-anim:

vente, si besoin.

Balsa pour la légèreté qui irait bien avec le capot en aluminium :wink:

.
Si ce nouveau M a un capot en alu bien évidemment.

JFK a écrit :

Richard a écrit :

balsa au prix de l'ébène..?

Bah, le balsa peint en noir et présenté comme un "bois précieux et issu de forêts renouvelables certifiées", ça marchera fort... :mrgreen:

Vinaigre balsa-nique ?

Robert a écrit :

JFK a écrit :

Richard a écrit :

balsa au prix de l'ébène..?

Bah, le balsa peint en noir et présenté comme un "bois précieux et issu de forêts renouvelables certifiées", ça marchera fort... :mrgreen:

Vinaigre balsa-nique ?

Richard a écrit :

balsa au prix de l'ébène..?

Si c'est le prix au kilog.............

l'ébène est aux Annexes de la CITES... :wink:

« Nous avons besoin du public pour nous inspirer »

quatuor Ebène

a.noctilux a écrit :

« Nous avons besoin du public pour nous inspirer »

quatuor Ebène

Tiens tiens des collègues...

Et de préciser que la photo est de Julien Mignot (Leicaiste de surcroit).

Leurs instruments sont assez sombres :cool:

sur la photo, même si leur sonorité est assez lumineuse :idea:

https://www.quatuorebene.com/quatuor-%C ... ne?lang=fr

Nous apprenons ceci sur leur site en lien plus haut:

[
...

Instruments & archets

Pierre Colombet joue sur deux violons : un violon Antonio Stradivarius de 1717, le „Piatti“, gracieusement prêté par un généreux mécène par l'intermédiaire de Beares International Violin Society et un violon de Matteo Goffriller de 1736 généreusement prêté par Gabriele Forberg-Schneider ainsi qu'un archet de Charles Tourte (Paris, XIXe siècle) prêté par Gabriele Forberg-Schneider.

Gabriel Le Magadure joue sur deux violons : un violon Guarnerius Del Gesù prêté par Beares International Violin Society, et un violon avec une étiquette "Guarneri" d'environ 1740 généreusement prêté par Gabriele Forberg-Schneider ainsi qu'un archet de Dominique Pecatte (vers 1845), également prêté par Gabriele Forberg-Schneider.

Marie Chilemme joue sur deux altos: un alto Antonio Stradivarius de 1734, le „Gibson“, généreusement prêté par la Stradivari Foundation Habisreutinger, et un alto de Marcellus Hollmayr, Füssen (1625), un prêt généreux de Gabriele Forberg-Schneider.

Raphaël Merlin joue sur deux violoncelles. Un instrument de Carlo Tononi, Venise (environ 1720) mis à sa disposition par Beares International Violin Society et l’autre d’Andrea Guarneri (1666/1680, Cremona) – cet instrument fait également partie de la famille Ébène grâce au prêt de Gabriele Forberg-Schneider

...
]

violon Antonio Stradivarius de 1717, le „Piatti“
...de Matteo Goffriller de 1736

Guarnerius Del Gesù
"Guarneri" d'environ 1740

alto Antonio Stradivarius de 1734, le „Gibson“
...de Marcellus Hollmayr, Füssen (1625)

violoncelles, un instrument de Carlo Tononi, Venise (environ 1720)
l’autre d’Andrea Guarneri (1666/1680, Cremona)

]
:applaudir:

quand-même

avec leurs talents bien sûr.

j'arrête là le hors sujet

...en attendant l'éventuel nouveau M :leica:

dans quelques jours.

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Nouveau M argentique [M6 type 2248]