Bonjour,
J'ai eu un M-P 240 pendant quelques années. C'est un excellent boitier, très fiable, une autonomie de batterie qui était jusqu'alors inconnue de moi, bref, j'en ai été très content. Sans compter la bonne montée en ISO. Il y a une fonction Auto ISO que j'ai très souvent utilisée, et qui évite d'aller dans les menus pour un réglage au cas par cas..
Certes, il date un peu, mais son prix en seconde main en est d'autant plus doux.

Je vais aller au Musée Guimet avant la fin de l'exposition. Chaque photo de Kenna est une splendeur au niveau esthétique, et j'ai beaucoup aimé lorsque je l'ai découvert. Mais il est vrai qu'on finit peut-être par s'en lasser !

C'est un peu le monde de Faulkner...

Sinon, pour répondre à ta question, j'ai essayé la Delta 100 à plusieurs reprises, et les résultats me semblent à la hauteur, tant au niveau du grain (très fin et beau) que de la gradation des tons. Elle ne vaut pas l'Acros V1, mais n'en est pas loin.
Je ne connais pas la Rollei.
J'ai été un peu déçu par l'Acros V2 et n'ai pas récidivé.
Ceci dit, comme tu le sais, ce n'est pas moi qui développe...

Merci Raymond ! J'avais vu passer une ou deux de ses photos de Toscane il y a quelque temps, je ne sais plus où, mais les photos proposées par Fetterman sur le lien que tu as fourni montrent une plus grande étendue de son travail. Et c'est très beau !

Je l'ai pas (encore) vue, mais j'en ai entendu causer.
C'est l'Asie vue par Kenna au musée Guimet, jusqu'au 29 septembre.

Absolument ! Et il s'agit de tirages "originaux" tenant compte des annotations d'Avedon. Les 110 photos figurant dans le livre sont exposées. A ne pas manquer, donc, mais il y a encore le temps, puisque l'exposition dure jusqu'au 12 octobre.

Il figure dans mon programme "Arles 2025", début septembre pour moi.

Je suis très étonné. Lightroom ouvre mes .fff à des températures (entre 2000 et 7000 K, par exemple) et teintes différentes lorsque je choisis "As shot". De façon constante, mon boitier (X1D II) est positionné sur balance des blans automatique, sachant que je corrige ensuite sur le RAW si nécessaire. Et c'est rare....

Pour avoir utilisé Capture One pendant de nombreuses années, je peux dire qu'il les respecte encore moins.....

Cela a toujours été un problème récurrent, discuté dans d'autres forums : les logiciels ouvrent une même image avec des valeurs de balance des blancs différentes. Seul Phocus est capable d'afficher correctement la valeur choisie sur les boitiers Blad, et pour cause. Et il est difficile de savoir pourquoi, sauf à dire que le dématriçage inclut aussi un réglage de balance des blancs. Mais le principal est d'ajuster l'image comme on le souhaite, et le RAW permet justement de régler sa balance des blancs en conséquence.

Moi non plus n'ai pas eu beaucoup de soucis de pétouilles avec ma numérisation avec APN (ce n'est pas le dispositif Valoi), et lorsque j'en ai quelques-unes, je les enlève sans trop de souci avec Lightroom, voire Photoshop pour les cas graves. Mais je donne toujours un coup de soufflette sur mes négatifs avant numérisation à haute définition.
Je ne scanne pas tout : je fais faire des vignettes/planches basse définition à mon Epson, puis je sélectionne les images à traiter par numérisation APN.
Mon scanner à plat Epson V700 est largement dépassé par la numérisation avec mon APN pour ce qui concerne le film 135.
Pour le 120, par contre, il me donne encore de très bons résultats, à tout le moins satisfaisants pour moi.

Bon, il ya eu une incompréhension de ma part. Dans votre message du 6 juillet à 20:55 ci-dessus, vous mentionnez que les fichiers ont été importés en "espace colorimétrique Adobe". Il fallait lire "profil d'entrée Adobe" !! L'espace colorimétrique Adobe est, pour moi, Adobe RGB 98. A l'inverse, les "profils d'entrée Adobe" sont ceux qu'on peut choisir, au même titre que "appareil photo standard", comme profil d'entrée au moment du développement. Je comprends maintenant que vos photos ont été développées avec un PROFIL d'entrée Adobe, mais, de façon sûre, dans l'espace colorimétrique de Lightroom, à savoir Melissa.
Vous n'avez donc pas besoin de tout réimporter. Il suffira de choisir "paramètres de l'appareil photo" dans les préférences, et tout devrait rentrer dans l'ordre : Lightroom devrait alors choisir automatiquement ces paramètres pour toutes vos photos prises avec votre appareil.
Pour vous en convaincre, faites le basculement depuis "paramètres par défaut Adobe" vers "paramètres de l'appareil photo", puis ouvrez l'une des 3000 photos et regardez dans préférences : le paramètre par défaut RAW doit être celui de votre appareil photo.

Il faut savoir que Lightroom ne modifie jamais le RAW. Il l'ouvre simplement dans son espace de travail Melissa, en tenant compte du profil d'entrée qu'on lui dit d'appliquer à l'ouverture. La visualisation, c'est autre chose : c'est l'écran qui affiche l'image dans son espace (en général, pour les bons écrans, Adobe RGB 98) et son profil, déterminé par étalonnage. Mais ceci n'est à considérer (écran calibré) que lorsqu'on veut que l'image exportée soit conforme à ce qu'on attend comme résultat sur les autres écrans ou sur le papier.

SI on change les paramètres de RAW Defaults dans les préférences, en effet, toutes les photos vont s'ouvrir en tenant compte de ce profil d'entrée (ne pas confondre profil d'entrée et espace de travail !).

Les exports NE SONT PAS concernés par le profil d'entrée. On affiche l'espace dans lequel on veut les exporter dans la fenêtre d'export de Lightroom.

Encore une fois, je ne comprends pas comment vous avez pu importer vos images avec un espace Adobe... et les y ouvrir dans Lightroom, sauf à les avoir passées par la moulinette d'un autre logiciel qui leur aurait affecté l'espace Adobe. Ce ne serait alors plus des RAW.

Ça dépend des photos. La plupart de vos 3000 se satisferont bien de Adobe mais, dès que vous avez des couleurs saturées, le Prophoto est de rigueur. En fait, je ne comprends pas la question. Une image RAW ouverte avec Lightroom le sera obligatoirement dans l'espace couleur Melissa (tout au moins lors du développement dans Lightroom). C'est à l'export qu'il vaut mieux éviter Adobe RGB 98 si on veut passer à l'impression par exemple (bien que rares soient les imprimantes et impressions qui débordent d'Adobe RGB 98). Pour la visualisation sur écran, sRGB suffira.
La réalisation d'un profil spécifique d'appareil photo est acrobatique : elle nécessite un éclairage particulier, et le profil réalisé ne sera valable que pour la température de couleur de cet éclairage !!
Enfin, la correction automatique d'objectif se fait dans l'onglet prévu à cet effet dans Lightroom ou dans Phocus. Elle est faite automatiquement dans Phocus (à condition de cocher la case "lens correction" !), et bien mieux, d'ailleurs, mais hélas non transmissible à Lightroom....