Vrai, 290ml par film 135 pour etre exact, bref on arrondit a 300ml par film (500ml, c'est pour 1 film 120. Toutes mes confuses...).

2 facteurs a prendre en compte pour une réponse complete:

1) Comme l'a explique TiGone, cela depend d'abord de la cuve. Par exemple, Paterson indique 500ml pour 2 films 135 mais je prévois large et y verse près de 600ml. Ne pouvant toujours assurer l'horizontalité de la cuve, je suis sur ainsi que le film du haut trempe toujours.

2) D'autre part, certains révélateurs ont des capacités de traitement limites en fonction de la surface du film. Il me semble me souvenir que le D76 est dans ce cas et qu'il convient d'associer un volume minimum de "stock solution" sauf a rallonger le temps de developpement. Je n'ai plus les chiffres exacts en tete mais je me souviens que cela m'avait également incité a developper mes films avec un volume supérieur au minimum requis par la cuve, gardant ainsi un temps de développement identique quel que soit le nombre de films dans la cuve (une variable, comprendre source d'erreur, de moins).

Il me semble que la question n'est pas d'empecher qui que ce soit de faire quoi que ce soit mais plus de relire l'article concernant le Protar d'un point de vue legerement different. Je n'ai pas l'ame d'un collectionneur et si je mets la versatilite en avant, c'est peut-etre a cause d'un approche materielle minimaliste.

Avec une ouverture maxi de f/6.3, je crains que la versatilité en prenne un coup... d'autant que pour près de 800 Euros, on trouve quelques optiques 35mm en occasion.

Y era plein les forums photos, il suffit de chercher.

Autre exemple parlant, le livre 'The craft of photography" de David Vestal. Dans mon exemplaire, il y a en page 62 un meme sujet expose de ISO 6 a ISO 3200 avec de la Tri-X développée dans du D76. Resultat: les meilleures photos correspondent aux expositions ISO 200 / 100 / 50 et c'est meme potable a ISO 25 voire 12... Ca ne veut pas dire que la Tri-X n'est pas exploitable a des sensibilités autres mais cela demande plus de travail sous l'agrandisseur.

Personnellement, je l'utilise a ISO 200 dans des situations de prise de vue normales. La plupart des tirages se font avec entre 20 et 35 points de magenta sous l'agrandisseur donc mes negas sont un peu doux ce qui me laisse un peu de marge a la prise de vue.

Non, c'était du 39 a vis comme les Leica. La vis dont on parle sert a brider la MAP mini. D'ailleurs, si on retire cette vis, on peut continuer a tourner l'optique au-dela de la MAP mini et ainsi désaccoupler la partie optique de la partie monture qui pour le coup reste attachée au boitier.

Oui, c'est la butée de MAP mini mais ca n'a rien a voir avec la montre a vis (diamètre 39mm) de l'objectif qui elle est tributaire de la plaque sur laquelle sont gravées les distances.

Comprends pas.... C'est quoi cette butee qui empeche de devisser l'objectif?

Ah, d'accord.

Oui, la sur-exposition est en general preferable a la sous-exposition. Il serait d'ailleurs souhaitable que les fabricants utilise une norme plus réaliste en matière de sensibilité car elles sont bien souvent optimistes d'un diaph.

"Pousser" une HP5 a 200 ISO? Comprends pas...

Bien sur qu'on les voit puisqu'ils sont dans l'image mais c'est pas ce qui saute aux yeux de prime abord.

Une accroche visuelle a partir de laquelle s'organise l'image. Ici, le regard part dans tous les sens a la recherche d'une telle accroche. Dit autrement, que doit-on voir dans cette image?

Manque pas quelque chose dans cette image?

Surtout quand on suit la procedure de Leitz... Apres tout, ils sont bien places pour savoir de quoi ils parlent.

Tres bonne expo avec de somptueux tirages!