Merci M6Leica ; j'apporterai aussi ma contribution.

Comme il est beau ce Paris des terrasses et des promeneurs.
Cette photo, riche et belle, est une invitation à le redécouvrir.

Cette série m'apprend, sur la Bretagne que je connais moins que le Finistère nord, de la chapelle St Michel à la Vallée des Saints.
Pourtant, de Locronan à la Baie des Trépassés, j'ai aussi parcouru ce Finistère sud; cette série me donne envie de le (re)parcourir.

Merci pour cette précision ; j'ignorais que les Monts d'Arrée s'étendaient autant.

Voilà qui est plaisant et rassurant, confortant l'une de mes prochaines acquisitions.

Ma question est restée sans réponse, mais, en revenant sur ce sujet, plusieurs photos ont interpelé mon regard, la 1 pour son paysage paisible, la 8 parce qu'elle de la vie de ces lieux, la 13 qui est ce côté sauvage voire imprévu, la 15 parce qu'elle est belle tout simplement, et surtout la 23 qui m'exprime tant de cette région.

Vu que le Thambar est un mystère pour moi, je vais peut-être ainsi en percer le secret.

Merci DavidR et Cedric-Paris, pour votre gentillesse et vos encouragements.
J'avais la crainte d'être malpoli, car le prix me paraissait tellement incroyable.
Je suis heureux de ce nouveau venu, et du temps qu'il faudra pour l'apprivoiser.

Des paysages que je connais et que je parcours dès que je le peux, même si j'habite hélas loin.
De quel endroit, plus précisément, viennent les photos des Monts d'Arrée ?

Je n'ai d'abord regardé que les photos, mais...
Je n'ai ensuite lu que le texte, mais...
Puis j'ai associé les deux... et l'alchimie s'est faite naturellement.
Ca m'a paru, d'un coup, évident et fort; ça m'a saisi, happé, pris.
Un chemin personnel, intimiste même, mais qui ne vous lâche pas!

Je suis né dans un quartier proche, et j'ai vécu des dizaines d'années à proximité.
Quand j'ai vu ces photos, je me suis simplement dit: "Oui, c'est ça; rien n'a changé".
Ces silhouettes furtives ou très présentes.
Ces lumières qui trouent la noirceur
Cette vie autre police/bus qui y passe.
Etrange spectacle de la nuit. Etrange spectacle d'une autre vie. Persistante réalité.

La remorque surprend au début, mais c'est une toute autre surprise qui arrive au fil de la lecture.
Il y a une vie, une réalité inimaginable, des interactions imprévisibles, qu'on découvre peu à peu.
C'est un ensemble, homogène, fait de quotidien, parsemé de particularités voire d'oppositions.

En effet, la 7 est absolument... le mot manque pour exprimer ce que je ressens.
Elle surprend par ce visage "partiel" mais la force du bras captive tellement le regard !
Il y a une histoire, un ensemble autour de cette 7, comme un troupeau avec son gardien.

Un joli regard intimiste sur une ville que je découvre ainsi, loin des drames qui l'ont meurtrie.

Merci aussi à Kharka et Miette.

Ces coeurs font plaisir au modèle malgré lui.