La réalité qui plaît est celle que l'on veut voir et non celle qui est.

Les "nouveaux" photographes dont il est question, et par extrapolation ceux qui utilisent et voient leurs photos.

Toutes les cuves Paterson que j'ai eues en main fuient, ce n'est pas dramatique, faut juste s'en souvenir pour ne pas en mettre partout

Bronica du temps de monsieur Zenzaburo Yoshino, quand les optiques venait de chez Nippon Kogaku

A la limite, on s'en fout, qui parmi vous a acheté le dernier M actuel neuf ?

En terme de look par contre, mon Bronica S2 tient beaucoup mieux la comparaison

- les prix sont négociables
- ce sont des pièces rares et recherchées
- rien ne t'oblige à acheter chez Boris
- tu n'empêcheras pas un riche fortuné de s'offrir ce genre de joujou sans considération de valeur (ça fait tellement bien dans une vitrine)

a part perdre deux stops à pleine ouverture, je ne vois pas en quoi, au contraire, les optiques moins lumineuses sont souvent mieux corrigées, à formule optique similaire.

Et n'oublie pas de taper le cul de la cuve sur une surface dure après chaque phase de retournements pour éviter les bulles sur le film.

- la quantité pour une spire (donc un film) est indiqué sous la cuve (donc ici 290ml par film).
- quand tu ne développes qu'un film, tu le mets sur une spire et cette spire au fond de la cuve, puis par dessus la spire vide.
- n'oublie pas de mettre l'axe des spire en entier (il est peut-être démontable en deux) sinon risque de voilage au débouchage quand tu mettras la chimie (ça m'est arrivé récemment par erreur )

Grand angle à formule symétrique et capteur numérique ne font en général pas bon ménage (rayons très inclinés sur la périphérie). C'est pourquoi certaines formules optiques modernes sont dites télécentriques, les rayons arrivant le plus possible perpendiculairement au capteur.

Y'a pas de cadre pôur le 40 sur l'Hexar, si ?

Bien sûr, quelle question ?

Ce n'est pas antinomique, mettre de l'agent ET essorer le film ?

Malheureusement pas assez en Europe faut croire