Avec Vuescan et un dual scan IV, on dipose quand même du scan en deux passes et du multiéchantillonage jusqu'à 16x : il me semble bien que ce sont des fonctions "hardwares" ajoutées par ce chouette logiciel (elles ne sont pas disponibles avec le logiciel minolta je crois). Je n'ai effectivement pas vu d'interêt au scan en deux passes (un scan très sombre, un scan très clair et vuescan assemble les deux pour plus de dynamique mais je n'ai jamais constaté d'amélioration même sur des images difficiles), en revanche le multiéchantillonage (plusieurs scans à même exposition et vuescan fait une moyenne des images) réduit considérablement le bruit dans les ombres, et c'est très appréciable.

Je ne sais pas si ces fonctionnalités sont disponibles en raw, je scan en tiff (justement parce que j'utilise une autre fonctionnalité de vuescan appelée "étalonnage et qui n'est plus effective lorsqu'on est en raw).

En tous cas avec quelques efforts et de la rigueur je sors des noirs et blancs qui me plaisent (tirage A4 sans souci, possibilité de tendre vers le A3 je pense). Je suis un peu frustré par le manque de dynamique en haute lumière, certains négatifs s'avèrent impossible à numériser plaisamment. Je n'ai pas comparé avec un autre scanner, je ne sais pas si c'est tout à fait normal ou pas.

C'est très gonflé ce capteur qui se déplace aléatoirement d'un demi-pixel ! J'adore !!

Je suis bien d'accord avec Jean sur ce coup là. N'est-ce pas d'ailleurs la prison Saint Michel ?

Je suis bien d'accord avec Jean sur ce coup là. N'est-ce pas d'ailleurs la prison Saint Michel ?

Qu'est-ce qu'un mod PL ? (J'aime bien ton deviantart ! )

Une question épineuse et je pense que plusieurs méthodes sont possibles. Pour ma part je fait tout avec des courbes, (tout simplement parce que l'outil courbe comprends l'outils niveaux et l'outils luminosité/contraste, et que je peux toujours essayer de comprendre ce qu'il fait en regardant la courbe, et que je sais notamment toujours si je perds de l'information dans mon image en saturant les noirs ou les blancs) alliées à des sélections fines (outils selection au lasso puis utilisation de "adoucir la sélection" ou de "flou gaussien" après avoir appuyé sur la touche Q (qui permet de visualiser la sélection en dégradé de rose/rouge et de travailler dessus en "peignant" pour faire des transitions fines), le tout placé sur des calques de réglages (pour pouvoir toujours annuler/modifier, désactiver momentanément une opération)

Pour l'ordre des choses à faire, je procède par sélections décroissantes (qui sélectionnent de moins en moins de chose dans l'image), et en allant toujours vers le débouchage / l'éclaircissement. C'est une méthode qui me convient car je scanne souvent des négatifs que je trouve dans l'ensemble trop sombres, et sur lesquels j'ai des hautes lumières qui m'empêchent de corriger l'ensemble avec un seul réglage. Je vais donc par exemple sélectionner toute l'image sauf les points chauds, puis appliquer une courbe qui va éclaircir le reste. Le contraste monte naturellement dans l'image avec l'apparition de zones claires, qui tranchent sur les ombres. Si il faut en "touche finale" je viens contraster très légèrement certaines zones (un visage un peu perdu dans les gris par exemple), et j'équilibre également les réglages à l'aide du réglage "opacité" de chaque masque de réglage.

Finalement j'ajouterai que cette méthode n'est pas celle d'un vieux briscard mais simplement d'un amateur consciencieux et exigeant (je crois), et adaptée à certains goûts et une certaine chaine de traitement : je suis donc très interessé par d'autres retours car on voit de bien belles choses en noir et blanc ici : d'ailleurs MonsieurHarold tu n'es en général pas en reste ! )

J'ajoute que je peux mettre à disposition un fichier photoshop avec tous ces calques pour rendre mes propos plus clairs... l'échange de fichiers avec tous calques seraient d'ailleurs bigrement intéressant, non ?

Pour avoir pratiqué le Sony Nex avec des optiques M sans diaphragme automatique, il y a fort à parier que le viseur compense cela fort bien.

Ça donne bien envie tout ça !

Des conseils pour dénicher la partie "rail +soufflet+repro" à bon prix et en solide ?

Le "8x" doit correspondre à 3 diaphragmes, et le "64x" à 6 diaphragmes. Pour un noctilux, je prendrais plutôt le second.

Pour le test avec le mètre, vous mesurez depuis le bout de l'optique ou depuis le plan film ? Ça expliquerait gentiment les 5cm de différence.

J'utilise des encres conecolor avec ma R2400, et après avoir constaté qu'il me fallait également pas mal d'encre pour la remettre en route pour seulement quelques tirages, j'ai décidé d'appliquer la méthode suivante :

La plupart du temps, l'imprimante sera chargée avec des cartouches remplies de "piezoflush", un fluide spécialement conçu pour nettoyer les buses ou rester de longues périodes chargé sur les têtes sans les boucher. Pendant ce temps j'accumulerai les fichiers préparés sous photoshop, prêts à tirer. Arrivé à un certain nombre, comme une bonne vingtaine, l'imprimante sera chargée en cartouches d'encre et je ferais mes tirages avant de la remettre sous piezoflush. Une sorte de jachère appliqué à l'impression.

J'espère que ça sera moins fatiguant que ce que je faisait jusqu'ici. Bien sûr ça comporte des inconvénients, mais au moins j'aurais l'esprit tranquille.

Non non, Fift citait pense_bete, qui parlait bien du RX1 en citant lui même un extrait du lien donné par hs81 plus haut.

Le RX1 étant à optique non-interchangeable, il n'y aura qu'un seul viseur optique.

Sauf à changer radicalement de méthode et à afficher les cadres via un levier de commande, comme sur un Bessa, ou via un menu numérique comme sur cette série limitée du M9 qui avait des cadres électroniques.

Je suis preneur du remontage en photos si ça n'est pas trop casse pieds à faire

J'ai moi aussi des soucis avec ces viseurs plus chargés, au point de sérieusement déprécier mon M7, comparé au M3.

Ronchnam, le couplage des cadres sur le M8 doit en revanche s'expliquer car il doit être compatibles avec les couplages 28/90 ; 35/135 ; 50/75 : impossible de dissocier des optiques de ces couples sans abandonner la comptabilité avec les M argentiques, puisque l'apparition des cadres dans le viseur est codée par la longueur d'une ailette de la monture de l'optique.