Il est vrai que ceux qui possèdent un des 6228 (plus 50) exemplaires sont rarement vendeurs, surtout s'ils disposent du pare-soleil ! Mais cela mérite de chercher.

Et pourquoi pas un original ?

Ils sont un peu moins cher (pour combien de temps encore ?), et la qualité est la même.

Il est léger et ne prend quasiment pas de place, il ne me quitte jamais. Quant aux images... Qualité Summaron...

Si vis pacem, para bellum : Si un vissant passe, il est beau.

Mais si ! c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas.

C'est effectivement un des 1000 "Cinquantième anniversaire".
A l'époque, je n'utilisais que mon 35 Summaron, sur un M6 chromé, et je voulais m'acheter un 50, évidemment chromé.
Mon revendeur Leica, à Paris, n'avait que des Summicron 50 noirs en stock et ce "Cinquantième anniversaire" qui venait d'être livré (un seul !)
Je l'ai tout de suite acheté, parce que je le trouvais beau, et je n'ai jamais regretté ce choix, car à l'usage, il est très plaisant, notamment par la douceur de sa mise au point.
Au lieu du pare-soleil fourni avec l'objectif, j'utilise un IROOA, pour faire "époque".

Mhhh ! Rare SUOOQ en noir.

Meu non...

Avec un viseur VIOOH et une loupe TUVOO, évidemment.

Affirmer qu'un viseur est une "pignolade", alors qu'il participe pour une part essentielle dans l'agrément d'un boîtier, me semble un peu réducteur.

Il est vrai que le flash unique, en amateur, donnait rarement des résultats satisfaisants... sauf en plein jour !

Quand je pense que nous (j'entends ma génération) travaillions jadis avec des pellicules de 100 ou 200 ASA, sans stabilisation, je me dis que nous étions, sans le savoir, des champions.

Le recyclage le plus efficace est de conserver un objet en état de fonctionnement, ou d'en acquérir en matériaux nobles.

A l'approche de Noël, pour les cadeaux des bambins, on peut privilégier le bois et bannir le plastique aux couleurs criardes, préférer une poupée de chiffon fabriquée avec amour par une artisane locale, à une production Mattel.

En photo argentique, alors que 99% des Leica ont gardé une valeur, seulement 10% de la productions industrielle n'est pas allée à la poubelle, ou n'encombre pas les allées des foires à la photo dans des caisses "10 € au choix".

Évidemment, le numérique pose davantage problème... à moins qu'un industriel avisé produise un capteur plein format "générique" et l'électronique qui va bien avec pour redonner vie à des boîtiers hors d'usage. Ou encore, vu sa politique passée, Leica pourrait proposer le remplacement des capteurs existants sur les M9, M240, etc, par le 40 Mp du M10.

Pas de sac, des poches, avec ces optiques compactes qui ne me quittent pas !

Excusez-moi pour la photo disparue : la voici.