Si l'effet n'est observé que sur des images vues en ligne, je suspecte une hyper-sensibilité aux artefacts d'accentuation parce que je n'ai jamais vu ça "en vrai" sur mes propres photos, et le C-Sonnar est l'objectif que j'utilise le plus.

J'ai surtout l'impression que ceux qui trouvent que les ASPH ne sont pas "durs" ne donnent pas le même sens à ce mot que ceux qui les trouvent "trop durs", "trop secs", etc.

Pour un rendu homogène, il faut rester avec des optiques de même génération.

À mon humble avis, si vous n'aimez pas le Summilux 35 ASPH vous allez détester le Summicron 28 ASPH parce qu'il n'y aura même pas l'ouverture de f/1,4 et ses dernières traces d'aberrations pour adoucir un peu le contraste et la définition extrêmes.

Beau comme un Pentax en série limitée…

Tu ne fais rien car il ne doit pas y avoir grand chose à corriger comme dérive cyan et vignettage avec une longue focale peu lumineuse, donc le M9 n'a pas besoin d'identifier l'objectif… (inconnu = pas de correction)
Si le photographe ne peut pas vivre sans la petite mention dans les EXIFs, alors il faut envoyer l'optique à Solms.

Le viseur du ZI a un grossissement de 0,74, et il est très notablement différent des viseurs de Bessa par son énorme dégagement oculaire qui permet d'y voir jusqu'au cadre de 28 mm — et avec des lunettes encore !
C'est tout simplement le meilleur viseur télémétrique, et de loin.

Pour les lieux je dirais… tout le Japon. À voir ensuite selon tes préférences.

Rien qu'à Tôkyô, une "petite" balade au sanctuaire Meiji-Jingu permet de faire, dans le désordre, du paysage, de la photo nature (dans le plus grand parc de la ville; en cette saison, il y a de superbes Spiranthes — des orchidées sauvages — dans les pelouses…), de l'architecture (aux alentours du sanctuaire — photos de l'autel interdites), du reportage (les cosplayers sur le pont de Harajuku, surtout le dimanche), de la photo de rue et de la mode (Harajuku est LE quartier des fashionistas).

Aucune visionneuse ne pourra vérifier que l'écran du destinataire est à peu près calibré.

Prendre son temps.
Si recadrage, faire bien attention de déplacer l'appareil uniquement en translation dans le plan du film et pas en rotation (oui, c'est plus facile à dire qu'à faire…).
Utiliser une loupe.
Faire vérifier le calage du télémètre avec l'objectif utilisé.

Et admettre les multiples imprécisions du M…

Oui mais là on risque de buter sur le problème de la mise au point. Si le S2 oblige à recadrer — avec au passage un petit mouvement de bascule qui décale le plan de mise au point ! — alors que le D3X fait directement le point sur un capteur latéral placé au bon endroit, je crains que le résultat de la comparaison n'aille pas, mais alors pas du tout, dans le sens attendu par les leicadôlatres…

Et le portrait en studio à pleine ouverture n'est pas un exercice très courant, il me semble.

Le problème pour les porteurs de lunettes n'est pas le grossissement en lui-même mais la faiblesse du relief d'œil en sortie du viseur des M. Tous les porteurs de lunettes ne sont pas égaux non plus… Le seul moyen d'être certain est d'essayer un M8, fût-ce dans un magasin.

Dido n'aime que les optiques qui claquent et débordent de micro-contraste… Cela se conçoit, mais on peut aimer des rendus un peu moins secs, quitte à sacrifier la technique à l'esthétique.

En l'occurrence, il me semble que l'Industar 50/3,5 est un Tessar, formule qui donne des optiques très contrastées et pas mauvaises en définition. Je ne suis pas certain qu'un test sur mire, ou un comparatif avec un Leica Elmar validerait les a priori du Maître.

50+ portrait + beaux flous - chirurgical = C-Sonnar ZM 50/1,5

Y'a pas mieux et c'est plus cher…

J'ai aussi eu un chargeur de M8 qui a lâché hors garantie. Un peu de chance sur eBay a résolu le problème. Obsolescence programmée pour forcer l'achat du nouveau modèle ?

Du calme ! C'est une étude de design par un amateur, pas un vrai produit.

Oui, c'est intenable : s'il en reste, à quelle adresse faut-il envoyer sa réservation ?