M7, 28mm, Ilford 400.

Intervention de modération : merci pour cette contribution, transférée dans le fil approprié.

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Petite série sur Séoul, à l'heure ou Pyongyang cherche son dirigeant, à Séoul la vie continue sous le régime du numérique tout puissant.

M7 / 28mm Ilford 400.
FUJI PHOTO FILM CO., LTD. SP-3000

Bonsoir Christophe.

J'utilise le M7 principalement en mode manuel et en hyperfocal, il m'arrive d'utiliser prio diaph. Tout dépend des conditions mais la plupart du temps j'utilise le mode manuel.
Pour les prises de vue, cela dépend, j'ai appris, a force de l'utiliser, à bien connaitre mon 28 et je shoot régulièrement a la poitrine (mais pas que..), cela me permet de bien choisir mes sujets et la discrétion du M7 aidant, je passe souvent inaperçu (pas toujours ///). Je n'ai que ce 28 en fait (j'ai eu un 50 summilux que j'ai revendu pour investir dans du grand format..) çar je travaille beaucoup à la chambre depuis un moment et il faut choisir .... un ami me prêtait par moment son 90 mais il l'a revendu.
Concernant les droits à l'image, j'ai lu qu'il y avait jurisprudence lors de photos "non commerciale" et artistique (je ne me souviens plus le photographe concerné) mais je n'ai jamais eu de soucis, si une personne me contacte (ce n'est jamais arrivé), je retire le cliché.

Pour le matos .... je touche un peu à tout, numérique pour le boulot, j'ai fait un peu de moyen format, mais au bout d'un moment j'ai trouvé les formats qui m'intéressent le plus, le leica pour sa rapidité et son silence et au contraire une chambre pour des choses plus posées. Formats différents .....

Bonsoir Christophe,

J'utilise un M7 avec de l'ilford, presque exclusivement avec un 28 Elmarit, et de temps en temps avec un 90 mm d'un ami .. mais il vient de s'en séparer donc .....

Merci de votre retour.

Eric

"Ce n’est pas un hasard si les trois discours dominants sur les personnes âgées sont d’ordre démographique, médical et économique : faute de penser la vieillesse, on se focalise sur le nombre, sur les corps et sur le coût. La difficulté même à trouver le terme adéquat témoigne du malaise : « vieux », par opposition à « jeune », étant presque perçu comme une insulte, le mot est devenu quasiment tabou. Au gré des modes, on parle donc de « personnes âgées », de « seniors », d’« aînés » ou d’« anciens »."
Jérôme Pellissier

La suite de l'article du Monde Diplo : http://www.monde-diplomatique.fr/2013/0 ... SIER/49157

Salut !
Merci pour tes encouragements

Je scann avec un vieux Epson 4990 .... et les niveaux avec PS ... rien de particulier...

bien a toi

Eric

Merci de votre retour a tous, j'ai mis a jour mon site, avec d'autres images et quelques autres en moyen format, toujours au Mali et à Saré Guida.

www.heranval.com

Bon WE en chocolat a tous.

Eric

Merci pour vos retours, cela motive a en montrer d'autres et a partager.

Quelques images en portra cette fois .. toujours M7 et 28mm.

Il est tout a fait possible de faire du street photo en Colombie, seule règle : ne JAMAIS résister ou s'accrocher a son sac en cas de problème, je sais qu'un M coute cher mais la violence peut apparaitre d'un coup, même si je n'ai pas eu un problème lors de mes différents séjours. Pays magnifique.

Bogota, Medellin, Cali - Colombia

Leica M7, 28mm - Ilford et Portra

Volcan Purace, Cauca, Colombie.

M7 / 28mm - Porta.

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Petit travail quotidien, M7 / 28mm. Ilford.


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Bonsoir,

Petit aperçu d'une série faite au Mali en 2009, à Saré Guida, région de Mopti. LeicaM7, 28 et 50mm

Le village de Saré Guida, dans la région de Mopti (Mali), se trouve au cœur de la zone rouge. Celle où se sont affrontées les milices islamistes et les forces gouvernementales maliennes, aidées par l’armée française. Deux ans après le début de la prétendue guerre-éclair contre le terrorisme au Mali, la tension est aujourd’hui à son comble à Saré Guida, bien qu’aucune information n’en sorte. C’est la guerre. Quelques années plus tôt, avant les offensives des milices armées, ce n’était pas tant les visées politico-militaires de quelques militants religieux qui menaçaient Saré Guida, mais plutôt le manque de moyens des autochtones pour vivre.
Avec 795 habitants, Saré Guida ne compte qu’un seul groupe électrogène, un puits, une mosquée et deux télévisions (une couleur et une noir et blanc). Il n’y a pas d’école. Ce village agricole n’a vu défiler ni les 4x4 des humanitaires, ni les candidats en campagne, ni les retombées de la croissance économique du Mali. La vie quotidienne est rythmée par les récoltes de riz, les appels du muezzin et les errances des enfants du village, livrés à eux-mêmes lorsqu’ils ne sont pas réquisitionnés pour les récoltes. L’école la plus proche est à quatre kilomètres. Chaque jour, l’exode scolaire des dizaines d’enfants de Saré Guida dessine les images ancestrales d’une terre africaine où, pour de l’eau, pour une éducation ou pour des soins médicaux, les habitants marchent plusieurs kilomètres au cœur de la brousse, sous le soleil ardent et les pluies saisonnières.
Cette série de douze images, réalisée quatre ans avant les affrontements militaires qui ont propulsé le Mali à la « une » des journaux, propose de donner à voir cette vie quotidienne ordinaire, peu spectaculaire, banale. C’est le quotidien des habitants de Saré Guida.


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