"Mizuwari", mon premier livre : la campagne de crowdfunding est lancée !

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Robert
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Il est en stock semble-t-il :

https://hemeria.com/produit/mizuwari-bruno-labarbere/
joel
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liège
c'est le pompon :evil:
dadati
    Re: "Mizuwari", mon premier livre : la campagne de crowdfunding est lancée !
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ah ouai...




Il me semble quand même que ce monsieur a bénéficié de bons conseils et surtout de financement pour son crowdfunding ici... (pas de ma part, mais je compatis à cette déception générale)

Techniquement parlant, son dossier était quand même limite.

Je retire symboliquement mon vote du prix Summilux 2021. :arrow-anim:
"+1" de la part de : FRISCO, joel, Tiberius
Paul
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Contact pris avec Aniki. Il devrait venir donner des nouvelles par ici.

Bonne soirée
Les Albums des Amis de Summilux.net. L'Album summilux.net 2023 est prêt !
Quelques images persos par ici : npct.fr/photos.
Aniki
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Bonsoir à tous,

Pour ceux que cela inquiétaient sincèrement, rassurez-vous, je suis en vie (sauf quand mon chat essaie de me tuer, mais ça, c'est une autre histoire). Ceci étant dit, parlons du livre.

Tout d'abord, désolé pour cette longue absence et ce long silence. Comme certains ici l'ont supposé, le hasard fait bien les choses, j'étais justement en Asie pendant un mois au printemps, pour des raisons personnelles et aussi avant sur d'autres projets photographiques (histoire d'amortir un peu mon bilan carbone). Du coup, j'ai suivi la campagne de crowdfunding depuis l'autre côté de la planète, et c'était, je l'avoue, assez stressant. Je mentirais en disant que tout s'est bien passé : lancement en catastrophe, problèmes de relecture, contresens dans ce qui était expiqué, explications hasardeuses. Non, je n'étais pas satisfait de ce qu'avait fait mon éditrice, et encore moins, par la suite, du fait que j'étais le seul (avec ma compagne), à communiquer sur le crowdfunding et à le faire vivre. Pour vous donner des chiffres, de tête, sur les 12000 € collectés, il y a 25% qui sortent de ma poche, 30% qui viennent d'amis proches, 20% qui viennent de la part d'amis ou de la galerie, 10% d'un collectionneur et, tout le reste, c'est vous, Summilux.net. Alors, merci :)
[Et quasiment 0 % qui viennent de la clientèle d'Hemeria...]

Tant que la campagne n'était pas bouclée, nous ne pouvions pas lancer la production. Hemeria, dans sa politique, a décidé que 100 % des frais de production devaient être couverts avant de lancer la production. Or, dans le cas de MIZUWARI, le crowdfunding a débuté le 9 février 2023... et ne s'est achevé que le 16 juin 2023 ! Et, j'avoue, je l'ai plutôt mal pris, de la part d'Hemeria, d'autant plus que la plupart des frais de pré-production, je les ai avancés moi-même : graphiste = 2000 €, vidéo de crowdfunding = 500 €, numérisation des négatifs + préparation des fichiers par Guillaume Geneste = 4500 €, commission d'Hemeria pour la préparation et la gestion du crowdfunding (ha ha...) = 2850 €. Bref, la campagne n'était pas encore bouclée que j'avais déjà engagé pas mal d'argent de ma poche (même si, à part la commission d'Hermeria, ça aurait quand même été de l'argent que j'aurais dû dépenser si j'étais passé par de l'auto-édition directe). Mais le plus beau est à venir. Après plusieurs relances restées sans réponses (c'est une constante avec Hemeria, en tous cas en ce qui me concerne), j'ai finalement appris la nouvelle qui fait mal : mon éditrice n'a réussi à trouver aucun partenaire (comprendre "généreux sponsors/mécènes") pour boucler le budget. Et il manque... 10000 €. À ce moment là, j'avoue, je suis très, très énervé, parce que cela fait plus d'un an que j'ai donné une liste de partenaires potentiels, et que si j'avais été prévenu avant, j'aurais pu essayer d'avancer de mon côté pour négocier. Las, il faut que le livre sorte, je sais que beaucoup de monde attend derrière, je suis agacé que ça traîne en longueur malgré tous les efforts que j'ai dû déployer, donc je décide finalement d'avancer l'argent qui manque, et de cravacher au travail pour trouver ces sous qui ne tombent pas du ciel.

Avance rapide sur la mi-juin 2023. Une fois les fichiers préparés par mon tireur, la maquette validée par ma graphiste et moi-même, il a fallu caler les dits fichiers pour la photogravure et l'impression offset (ce qui a pris deux semaines). Valider les fichiers découpés par l'imprimeur a pris une semaine de plus, (c'est le moment où je vois que, avoir des pages qui s'ouvrent et des papiers différents, c'est joli mais ça complique la production), et nous voilà déjà rendus à mi juillet. Le papier (enfin, les papiers, puisqu'il y en a trois différents). Un créneau est trouvé pour l'impression à Barcelone, chez Syl, et je m'y rends donc le 3 août avec l'associé de mon éditrice (dont je n'ai plus de nouvelles depuis un moment déjà). À quelques jours de l'impression, catastrophe : l'un des papiers n'est plus disponible, il faut d'urgence en commender un autre, il est plus cher et nécessite une impression avec d'autres encres, mais, pour le coup, Hemeria (enfin, Printmodel) a bien géré et nous trouvons une solution de substitution, un peu plus onéreuse, mais qui, au final, marche mieux que l'option initiale. Toujours est-il que ce papier (calque, rouge), arrive après le 3 août, mais avant la semaine sainte du 15 août (où tout est fermé en Espagne), puis... pas de nouvelles. Nous avions fixé une deadline au 1er septembre, pour pouvoir participer au Paris Photo/Aperture Photobook Award (pour lequel un exemplaire physique doit être envoyé à New York avant le 8 septembre), et, à quelques jours de l'échéance, je reçois de la part de l'imprimeur la confirmation de l'expédition de cet exemplaire. Ouf. Puis... pas de nouvelle.

Ultime rebondissement : depuis le 14 septembre, quelques images de MIZUWARI sont accrochées à la Galerie Echo 119, à Paris, dans le cadre d'une exposition collective consacrée aux "Carnets de voyages tokyoïtes" (c'est chouette, il y a Greg Girard, Roberto Badin, Miguel Leache, Michel Vermare et moi-même). Nos points communs : ne pas être japonais, avoir photographié Tokyo et... avoir sorti un livre sur Tokyo. Ce n'est que le matin du vernissage que j'ai découvert, via une story Instagram de la Galerie, qu'elle venait de recevoir quelques exemplaires de MIZUWARI. Honnêtement, les sentiments étaient très partagés : à la fois soulagé qu'ils soient arrivés à l'heure et qu'ils existent... et en même temps surpris et vexé parce que personne ne m'avait prévenu que ces exemplaires existaient et qu'ils avaient été expédiés. D'ailleurs, à ce moment là, je ne savais même pas où en étaient les 750 autres exemplaires, y compris ceux des contributeurs du crowdfunding puisque, je vous le donne ans le mile : Hemeria ne m'avait pas prévenu (et l'imprimeur, qui a déjà beaucoup fait, n'avait pas à me prévenir). Histoire d'épicer le tout, cette exposition parisienne se déroule en même temps que celle au Leica Store Marseille (que certains ont relevé), pour laquelle j'ai eu tardivement les dates, donc ma rentrée a été pas mal occupée avec la production de ces deux expositions simultanées. Et il a fallu gérer avec la Galerie et Leica le silence d'Hemeria, puisque personne n'avait de réponse à rien.

Bref, où en sommes-nous aujourd'hui ?

La première bonne nouvelle, c'est que le livre existe. Hourra ! Je suis donc plus riche d'un premier livre photo, et plus pauvre 22000 € que m'aura coûté l'expérience.
L'autre bonne nouvelle, c'est que ma graphiste, mon tireur, mon photograveur et l'imprimeur ont vraiment très, très, très bien travaillé. Malgré la complexité de la maquette, il n'y a pas d'erreur d'ajustement et, surtout, l'impression est vraiment très belle, contrastée, avec des noirs profonds. La bonne surprise, ça a été de constater que, grâce aux imperfections du procédé offset, la différence visuelle qu'il restait entre les photos prises en argentique et celles prises en numérique a été presque totalement gommée.

Du côté du planing pour la sortie du livre :
  • Hier, j'ai enfin eu mon éditeur au téléphone (enfin, son associé), pour me confirmer que les livres étaient bien arrivés. Il faut que je fasse le tri entre ceux qui doivent être signés, ceux qui doivent être expédiés en France et ailleurs, ceux pour lesquels il faut préparer les contreparties supplémentaires souscrites lors du crowdfunding.
  • Cet après-midi, j'ai eu la confirmation de la date pour une soirée de lancement du livre, à Paris, à la Galerie Echo 119 : ce sera le 12 octobre prochain. Ce sera l'occasion de découvrir le lire et venir râler de visu : avec un verre et des chips, c'est tout de suite plus sympa que par écran interposé.
  • En ce qui concerne Marseille, le vernissage sera la semaine suivante, le 20 octobre. Il sera également possible, normalement, de venir récupérer son ouvrage au Leica Store.
  • Toujours du côté de Leica, j'attends leur retour pour voir quels créneaux sont disponibles pour organiser la journée de prise en main avec les contributeurs. Dès que j'ai des dates, je prends le relais pour communiquer directement avec vous, mais il est toujours possible de faire l'inverse et de me donner des dates qui vous arrangent (vu le temps d'attente, c'est la moindre des choses).

Donc, ça y est. Ça a été long, ça a été douloureux, mais nous voyons enfin la lumière au bout du tunnel !


Qu'est-ce que j'aurais pu mieux faire ?

Oh, plein de choses. Plus communiquer ici même, plutôt que de privilégié Instagram et les réponses direct par mail. Mea culpa.
J'aurais aussi pu relever la tête du guidon et moins me laisser déborder par le stress et la sensation, souvent, de devoir avancer à l'aveugle.
Du côté de la qualité du livre, en tant qu'objet, par contre, j'ai plutôt le sentiment d'avoir fait au mieux et d'avoir tout donné. Alors, peut-être que pour 5000 € de plus, le papier de la couverture aurait pu être plus chic, avec encore 5000 € de plus, on aurait pu avoir des finitions un peu classes (comme du marquage à froid et un titre argenté). Avec encore quelques milliers d'euros, on aurait pu opter pour du papier noir teinté dans la masse pour y imprimer la préface. Honnêtement, j'ai été tenté, mais cela aurait encore retardé la production de plusieurs mois (en plus de me mettre définitivement sur le carreau). Et si je parle autant d'argent, c'est pour prévenir toutes celles et ceux qui souhaiteraient se lancer dans l'aventure que, en termes de coût, la création d'un livre n'a rien d'anodin. Il faut se préparer à encaisser le choc, puis s'armer de patience, de beaucoup de patience, et s'attendre à une bonne dose de doutes et d'incertitudes.

Je comprends votre déception légitime, et je la partage, surtout que j'y ai ma part de responsabilité. Désolé.
La photo c'est bon.
Mangez-en.
Pour suivre les tribulations de mon livre photo consacré à Tokyo
Pour participer à la campagne de financement de Mizuwari, mon premier livre photo.

Site : BrunoLabarbere.com !
Robert
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Intéressant, en effet :cool: . Un feuilleton dont il manquait une bonne partie et qui aurait mérité d'être écrit plus tôt.
Les contacts avec Hemeria n'inspiraient pas confiance, effectivement. Par contre, la galerie 119 s'est avérée plutôt interactive et efficace.
Bref, on attend "le" Livre :mrgreen2:...
FRISCO
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CARRÉMENT À L'OUEST
Aniki a écrit :
La bonne surprise, ça a été de constater que, grâce aux imperfections du procédé offset, la différence visuelle qu'il restait entre les photos prises en argentique et celles prises en numérique a été presque totalement gommée.


Elle est bien bonne celle là. Je ne l'avais encore jamais entendu.

Sache pour ta gouverne que la qualité d'impression de l'offset est supérieur à celle du numérique.
Justement c'est normalement la technique qui est capable de révéler les différences que tu cites dans tes fichiers.
Si elle n'est pas apparues cette différence ce n'est pas un problème propre au procédé mais lié à l'usage du procédé et entre autre du principalement au conducteur offset.
Mais pas que. La photogravure, le pre-presse etc.
Deux possibilités soit il n'a pas bien travaillé puisque cette différence que tu percevais n'existe plus.
Soit il a justement très bien travaillé et a ajusté l'impression comme le client le souhaitait et l'a validé au moment du bon à roulé.
Mais c'est pas le procédé qui est imparfait. C'est au contraire grâce à la qualité du procédé offset que ces différences visuelles qui subsistait encore avant impression (et que le client ne voulait plus voir) on put être totalement gommée. Çà ne l'ai pas justement toujours ou totalement possible d'une même façon d'agir sur une presse numérique (même une vraie)

Le numérique à extrêmement progressé et il se cherche encore mais c'est là loin d'être parfait une impression bascule pour peu de choses.

Mais à comparer les deux en rien l'offset est imparfait vis à vis du numérique.

Dixit au passage un ex infographiste chef de studio et opérateur sur presse numérique (une vraie pas un copieur sur dimensionné).
LE PLANAR C'EST LE PANARD
"+1" de la part de : joel, Robert
joel
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liège
Très intéressant yann merci
rax
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Lille
Tout cela confirme mon impression : un peu à l'instar des banques, plus un éditeur n'est prêt à prendre des risques ! C'est dorénavant l'auteur qui doit les assumer.
L'éditeur devient un intermédiaire qui facture sa maîtrise de la chaîne de production.

Un exemple : il faut dorénavant être super "bankable" en s'appelant Harry Gruyaert pour ne pas devoir passer par le crowfunding et ce dernier doit couvrir tous les frais de l'éditeur.
"+1" de la part de : arnaudL
cirta
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Tout de même ! Je regrette le manque d’information, un p’tit mot juste pour nous dire les difficultés rencontrées tout au long du processus.

Bon l’espoir fait vivre ! Il nous reste plus qu’à attendre la livraison….patience….
arnaudL
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rax a écrit :
Tout cela confirme mon impression : un peu à l'instar des banques, plus un éditeur n'est prêt à prendre des risques ! C'est dorénavant l'auteur qui doit les assumer.
L'éditeur devient un intermédiaire qui facture sa maîtrise de la chaîne de production.

Un exemple : il faut dorénavant être super "bankable" en s'appelant Harry Gruyaert pour ne pas devoir passer par le crowfunding et ce dernier doit couvrir tous les frais de l'éditeur.



Je trouve ça en effet délirant...

Je me suis toujours passé de crowdfunding pour mes ouvrages, pourtant tirés, pour l'un à 300 ex., et deux à 700 ex.
ils ne sont pas parfait c'est sur mais ils ont le mérite d'exister et j'ai appris tant de choses en les concevant

Certes la diffusion est plus limité... encore que...
Quand on se lance dans l’édition, ce peut être un "flop", mais pourquoi ne pas prendre ce risque si on croit en son projet;
vous pouvez faire ce que vous avez en tête et dépenser votre argent à bon escient

Quand l’éditeur ne croit pas en "son" auteur, il laisse les acheteurs potentiels décider de la viabilité du projet de l'auteur...
à quoi bon alors lui servir le projet sur un plateau?
www.arnaudlemorillon.com

"Rien ne sert d'avoir une image nette si les intentions sont floues."
"il faut confronter des idées vagues avec des images claires"
Jean-Luc Godard
"+1" de la part de : Robert
rax
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Lille
arnaudL a écrit :
à quoi bon alors lui servir le projet sur un plateau?


Peut-être pour s’assurer une plus large diffusion, une plus grande notoriété.
"+1" de la part de : arnaudL
arnaudL
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rax a écrit :
...une plus grande notoriété.


ah, la notoriété, c'est vrai....
Notoriété, être connu-reconnu (pour ce que l'on fait), la célébrité, la gloire, la renommée, la réputation,
-cela fait longtemps que ça rime mal avec photographie (...depuis HCB et peut-être "la France vue du ciel" de Y Arthus B // je sais, j'exagère un peu...)-
si c'est ce que l'on recherche il vaut mieux être YouTubeur

car, je ne sais plus qui as dit ça, mais "Qui possède un appareil photo est photographe, qui possède un violon, possède un violon"
www.arnaudlemorillon.com

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"+1" de la part de : joel
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Mais quelle aventure, un vrai thriller ! :mrgreen2:
Il faudra en faire un bouquin :lol: :lol: :lol: :langue: :mrgreen2:
Eric


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"+1" de la part de : dadati
cirta
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Tours Métropole
Youppie !! Je viens de recevoir un mail de Adrien et Brigitte de Hemeria :grin: m’annonçant l’arrivée de « MIZUWARI » dans ma boîte aux lettres entre le 4 et 7 octobre, et bien voilà tout arrive ! :grin:
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