dossier 16
Posté: mardi 30 septembre 2014 - 22:58
Broken Shore
« Égaré dans une aveuglante absence de lumière, je t’ai cherché a cœur perdu. Sur chaque pas, je me découvre en toi. Les cicatrices laissées pour compte, dont je déniais l’existence se révélaient sous le battement de tes vagues… »
Travaillant depuis deux ans sur un projet sur le long-terme consistant à une immersion dans un quartier dit sensible (Le Mirail) de Toulouse et suite à une rupture. J’ai voulu prendre du recul et partir quelques jours pour changer d’air dans une ville qui m’était inconnue. Je suis donc parti à Sète pour 7 jours avec mes fidèles Summicron 35mm et M6 que j’ai utilisé le premier jour et que j’ai par la suite remplacé par le MM ou le M240 que Leica France m’avait prêté.
Durant cette errance j’ai gardé ma démarche photographique qui consiste à une confrontation intime et personnel à un territoire inconnu et questionner cet espace en me laissant guider par les émotions, les rencontres et la solitude. Un questionnement mettant en friction le réel et l’imaginaire, le documentaire et la fiction.
Il ne s’agissait pas là pour moi de réaliser un reportage ou de rapporter un fait existant à Sète mais de m’y perdre et de m’approprier le « banal » comme support de projection imaginaire.
Liens vers images avant 1 juin 2014 :
« Égaré dans une aveuglante absence de lumière, je t’ai cherché a cœur perdu. Sur chaque pas, je me découvre en toi. Les cicatrices laissées pour compte, dont je déniais l’existence se révélaient sous le battement de tes vagues… »
Travaillant depuis deux ans sur un projet sur le long-terme consistant à une immersion dans un quartier dit sensible (Le Mirail) de Toulouse et suite à une rupture. J’ai voulu prendre du recul et partir quelques jours pour changer d’air dans une ville qui m’était inconnue. Je suis donc parti à Sète pour 7 jours avec mes fidèles Summicron 35mm et M6 que j’ai utilisé le premier jour et que j’ai par la suite remplacé par le MM ou le M240 que Leica France m’avait prêté.
Durant cette errance j’ai gardé ma démarche photographique qui consiste à une confrontation intime et personnel à un territoire inconnu et questionner cet espace en me laissant guider par les émotions, les rencontres et la solitude. Un questionnement mettant en friction le réel et l’imaginaire, le documentaire et la fiction.
Il ne s’agissait pas là pour moi de réaliser un reportage ou de rapporter un fait existant à Sète mais de m’y perdre et de m’approprier le « banal » comme support de projection imaginaire.
Liens vers images avant 1 juin 2014 :