Posté: samedi 2 mars 2019 - 17:04
Equivalence, je vous l’accorde, très sommaire : R5/7 en lieu et place de l’excellent FE2 -obturateur titane mis à part pour ce dernier- et pour le Meccano F-3… rien, ou un FA -pardon, c’était tentant- du moins au niveau versatilité d’emploi. Ceux qui dérivent -je plaisante- vers Leica à partir de ce genre de plateforme le font : 1 - pour la « frime » -critère autrement parfaitement compréhensible sinon d’importance quoi qu’on en dise- ; 2 - pour un changement d’optique -non, pas seulement celle-là, d’ergonomie- soit retour vers la case R8/9.
Sur ces modèles (R5/7/8/9) -j’ai usé de toute la « collection »-, le comportement est sain question réactivité, la course de la queue de détente aidant à un coup plus assuré, traduisez moins « arraché », certains ayant une nette tendance à la violence exprimée par la pression de l’index ; une éventuelle « latence » n’est ainsi pas forcément inconvénient, cela donne en fait à l’ensemble le temps de se stabiliser.
Or donc, l’amateur a en effet souvent la curieuse sinon trompeuse impression que les spécialistes qui président à la création d’un boîtier et autrement en principe connaisseurs en matière de cinétique sont des ânes qui ne le comprennent pas ; certes en effet, ceux-ci doivent-ils faire un compromis entre l’habile -je n’ai pas dit d’office inspiré- « professionnel » qui fonctionne à l’instinct et celui qui demande à être formé pour anticiper, maîtriser sa fougue et l’ébranlement du miroir.
Rappelez-vous que l’humain n’est pas un organisme simple dans sa structure donc dans son raisonnement, le temps de réponse entre votre vision et l’action programmée de départ du coup, pardon déclenchement volontaire ne sera donc pas négligeable et significativement plus long que n’importe quel temps de latence qui ne sera d’ailleurs lui aussi estimé qu’à partir de mûre réflexion après stimuli auditif complexe (grattement du contact, bruit du miroir et de son mécanisme, etc...).
En clair...
http://acces.ens-lyon.fr/acces/thematiq ... e-que-cest
Ainsi le photographe en plus d’être technicien, psychologue et imaginatif devra-t-il être aussi rapide en matière de prise de décision que le politicien à soutenir qu’il n’y a pas d’autre alternative par réflexe.
De l’influence du déclenchement instinctif... je sais, tout cela peut paraître complexe, donc en résumé à partir du moment ou votre esprit est décidé à presser cette f….. détente et l’action, il peut se dérouler un sacré bail qui ne se compte pas en menus millièmes, futurs maîtres de l’image parfaite ainsi certains prennent-ils même le temps de fermer les yeux avant d’exercer la pression fatidique, c’est dire...
Le constat du philosophe : j’arrive à la bossette, j’appuie, non, j’enfonce doucement et pour le reste, ce sera Inch Allah -je ne suis pas autrement croyant mais si ça peut aider-.
Le R6 est « manuel », ainsi lorsqu’il est question de remplacer un plantureux FE2, cela peut-il poser problème et notez que les 5/7 ont une correction dioptrique.
Dans les aléas citons quelque condensateur tantale qui peut se mettre en court-circuit sans avertissement sur les versions anciennes des R, valeurs des résistances carbones, cellules qui accusent leur âge et se sera d’ailleurs le seul défaut d’un R3 autrement solide et utilisable comme casse-tête.
Sur ces modèles (R5/7/8/9) -j’ai usé de toute la « collection »-, le comportement est sain question réactivité, la course de la queue de détente aidant à un coup plus assuré, traduisez moins « arraché », certains ayant une nette tendance à la violence exprimée par la pression de l’index ; une éventuelle « latence » n’est ainsi pas forcément inconvénient, cela donne en fait à l’ensemble le temps de se stabiliser.
Or donc, l’amateur a en effet souvent la curieuse sinon trompeuse impression que les spécialistes qui président à la création d’un boîtier et autrement en principe connaisseurs en matière de cinétique sont des ânes qui ne le comprennent pas ; certes en effet, ceux-ci doivent-ils faire un compromis entre l’habile -je n’ai pas dit d’office inspiré- « professionnel » qui fonctionne à l’instinct et celui qui demande à être formé pour anticiper, maîtriser sa fougue et l’ébranlement du miroir.
Rappelez-vous que l’humain n’est pas un organisme simple dans sa structure donc dans son raisonnement, le temps de réponse entre votre vision et l’action programmée de départ du coup, pardon déclenchement volontaire ne sera donc pas négligeable et significativement plus long que n’importe quel temps de latence qui ne sera d’ailleurs lui aussi estimé qu’à partir de mûre réflexion après stimuli auditif complexe (grattement du contact, bruit du miroir et de son mécanisme, etc...).
En clair...
http://acces.ens-lyon.fr/acces/thematiq ... e-que-cest
Ainsi le photographe en plus d’être technicien, psychologue et imaginatif devra-t-il être aussi rapide en matière de prise de décision que le politicien à soutenir qu’il n’y a pas d’autre alternative par réflexe.
De l’influence du déclenchement instinctif... je sais, tout cela peut paraître complexe, donc en résumé à partir du moment ou votre esprit est décidé à presser cette f….. détente et l’action, il peut se dérouler un sacré bail qui ne se compte pas en menus millièmes, futurs maîtres de l’image parfaite ainsi certains prennent-ils même le temps de fermer les yeux avant d’exercer la pression fatidique, c’est dire...
Le constat du philosophe : j’arrive à la bossette, j’appuie, non, j’enfonce doucement et pour le reste, ce sera Inch Allah -je ne suis pas autrement croyant mais si ça peut aider-.
Le R6 est « manuel », ainsi lorsqu’il est question de remplacer un plantureux FE2, cela peut-il poser problème et notez que les 5/7 ont une correction dioptrique.
Dans les aléas citons quelque condensateur tantale qui peut se mettre en court-circuit sans avertissement sur les versions anciennes des R, valeurs des résistances carbones, cellules qui accusent leur âge et se sera d’ailleurs le seul défaut d’un R3 autrement solide et utilisable comme casse-tête.