summilux.net

Je suis beaucoup plus simple, ni secoué, ni apaisé. Pour cela, il me faut plus que des photos.

Mais j'ai trouvé bien fait cet espiègle et amusant petit cahier, et même parfois trouvé beau.

comme je l'avais exprimé entre un autre lieu, un bouquin qui mérite une place parmi les autres livres photos.

La qualité d'impression est bonne mais surtout l'ensemble est de très bonne qualité.

bref, faites vous plaise.

De retour de villégiature dans des contrées aux réseaux erratiques, j'exprime à nouveau ma gratitude pour vos plaisants retours. Merci, vraiment.
Si la boutique internet était restée ouverte, les expéditions reprennent dès à présent.

Vous pourrez également le trouver dans quelques galeries et librairies parisiennes choisies :

• Galerie Taka Ishii, 119 rue Vieille du Temple, Paris 3
• Galerie In)(Between, 39 rue Chapon, Paris 3
• Librairie le Monte-en-l'Air, 2 rue de la Mare, Paris 20
• Parmi la sélection de livres du Leica Store Paris 8, 105 rue du Faubourg Saint-Honoré
• Photo Vincent, 67 rue Sainte-Anne, Paris 2

Ce greffier, mazette... Quelle star!!
(Félicitations!)

Je l'ai récupéré, l'ai regardé, re regardé. J'aime bien l'histoire, j'aime beaucoup ton livre.
Je regrette une chose... ne pas avoir voulu prendre un pâté tirage de tête. Je le saurai pour le prochain
Beau travail, belle édition. J'ai toujours du mal avec les images sur deux pages, mais ça c'est dans tous les livres on ne se refait pas.
Bref, tout ce que j'ai à dire, c'est au boulot (pour le prochain), et un grand MER-- pour les awards (et bonjour au chat)

Tout à fait d'accord avec l'avis de Milou sur les problèmes de pagination : il faut travailler en 6x6 ou à la rigueur en 6x7 ou en 4x5 inches, le risque de la demi-page est plus faible

Bonjour !


Rassure-toi, Fabrice, il n’en est rien et cette conversation conserve tout son sens : un fil parfaitement redondant a été transféré dans celui-ci, l’enrichissant de quatre messages qui demeurent consécutifs, parmi lesquels ton message de remerciement s’est intercalé avec bonheur.

Jean D.

Hahahahaha... Merci. J'aime les images se développant sur double page et j'ai choisi le format cahier broché rien que pour ça.

...



Je sais ce que je dis : cette manie est insupportable. M'est insupportable.
Et non, Jean, pas exactement avec bonheur. Je ne remercie pas l'auteur du message ironique qui précède le mien... Mais je suis sûr que tu l'avais très bien compris.

Serait-ce parce que j’ai oublié de te remercier pour la “news” indiquant la sortie de ce cahier de photographies ? Ha, non, y’en a pas eu (*). Je suis idiot quelques fois.
Pourtant, je peux t’assurer que mes noirs et blancs ne sont pas dirigés contre toi, sincèrement. C’est juste moderne depuis Ed van der Elsken, Moriyama, Klein, Sieff… Moi [?].


(*) Pas plus qu'à propos des sélections du Prix Oskar Barnack 2015, ni de l'exposition de William au festival L'Oeil Urbain à Corbeil, aux côtés de Michael Ackerman, que je t'avais signalé.

De passage chez nos potes à St Ho' pour voir Ptit Lu et Mr Maugendre.. Sur quoi on tombe??

Ça te va bien !

Pas mal, right?

On peut plus mal tomber. Les nichons, c'est doux.

Dans la foulée de ma collaboration avec Alain Keler dans la réalisation de 1982 // Journal d'un photographe, sorti le 15 octobre, je me suis -littéralement- replongé dans le maquettage du second opus de la collection [• REC].

Ainsi, j'ai le plaisir de vous annoncer que • REC | #2 // SOUTH OF SOMEWHERE // sera disponible en pré-commande le 31 octobre.
Le point de départ de ce nouveau numéro est ma série South Of Somewhere qui s'est vue sélectionnée parmi les "50 best entries" du Prix Oskar Barnack 2015. Non, je n'ai pas gagné... je me suis fait tabasser par un Suédois.

« South of Somewhere » est une série qui pourrait donner l’illusion, à première vue, de n’être qu’un récit consacré aux pourtours de la Méditerranée, aux terres de contrastes qui l’encadrent, souvent d’une extrême aridité et baignées d’une lumière toute particulière, éclatante, vive, brûlante et d’une densité unique lorsque l’on plonge au plus profond de ses ombres ; une lumière noire. Volontairement désincarnée, figurant la présence humaine, la laissant deviner toute proche, allant à l'encontre de mes habitudes photographiques, je me suis attaché à collecter des images représentant la lumière, la chaleur qu’elle dégage inlassablement, transmettant un ressenti froid et implacable dans sa pesanteur : à travers la lumière se reforment les cicatrices oubliées, et croisant la mort, elle la consume, offrant naturellement renaissance à la vie. Cette brutalité du climat se marie à celle de la géométrie, aux lignes accablantes à peine contre balancées par de rares courbes. L’une de ces lignes directrices, la mer, omniprésente, joue un rôle capital ; plus particulièrement pour les insulaires, tout à la fois isolant les terres et les ouvrant vers le vaste monde. Une frontière qui offre force et faiblesse. Puis, le naturel revenant au galop, « South of Somewhere » se peuple et représente parallèlement une quête, une introspection en direction de son propre Sud, son Sud intime… une sophistiquée mise en abîme.

Comme pour le premier numéro, je vous proposerai une édition de 20 tirages de tête, numérotés, signés et accompagnés d'un ou plusieurs tirages charbon 14*21 cm [Piezography K7] sur papier mat, le tout joliment présenté... Ceci venant en plus de l'édition standard, toujours imprimée en France. J'y tiens. #AttentionContientDesNoirsVirils.
Merci de m'avoir lu.