Comment conserver ses photos numériques ?

Invité
    Re: oh, oh, oh
Phil VDD a écrit :
alain.besancon a écrit :
Oh, oh, oh :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: qu'est ce que je rigole, mais je suis tout à fait d'accord avec vous :wink: La meilleure sauvegarde du numerdique serait donc le bon vieux film argentique :P :P :P ... on n'arrête pas le progrès .... pas plus que la connerie d'ailleurs.

Alain


La sauvegarde/le transfert de numérique vers film est pourtant une réalité du monde du cinéma, une industrie qui se préoccupe d'archivage et de conservation depuis bien longtemps.

La société française Aaton a développé récemment un "imageur": "Aaton K", qui permet de retranscrire les films tournés en numérique haute définition sur pellicule et ce, dans un but d'archivage et de conservation. Le film étant actuellement le seul support dont on ait pu vraiment se rendre compte de la longévité.
:D

http://www.aaton.com/products/post/aatonk/index.php

Idem pour la firme allemande Arriflex: "Arrilaser".

http://www.arri.de/digital_intermediate ... o_cache=1#

C'est pas si con, je trouve.


:)


C'est même cohérent, car même le film tourné en S35 analogique est numérisé pour montage et post-prod, pour être éventuellement retransféré sur pellicule (festival le demandant, etc).

A noter que Salgado, fait ça dans la photo. Il prend maintenant presque toutes ses photos en numérique, les retouche et les transfere sur intermédiaire analogique pour faire le tirage papier. Il préfère le rendu.
Ca doit être un peu dispendieux.... :)

par contre, je suppose que dans le milieu du son, on ne s'embête plus avec une bande magnétique et des amplis à lampes ? (même si le son en sort différent... ex: le son de pink floyd est à mon gout bien plus beau, sans parler de la musique en elle même, avec les enregistrement des 70s que le dernier CD de D. Gilmour (guitariste pink floyd), 2006)

c'est juste tellement plus pratique le numérique.

Effectivement le coté virtuel de l'image en numérique, m'angoisse parfois. Je suis tenté d'en tirer le plus possible (ce qui coute cher). Je ne fais pas confiance aux disques durs !
Phil VDD
    Re: oh, oh, oh
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Vieux briscard
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Arquennes
brabam a écrit :
par contre, je suppose que dans le milieu du son, on ne s'embête plus avec une bande magnétique et des amplis à lampes ?


Pour ne pas faire du hors-sujet, je commenterai ton propos en gardant un lien avec ce fil que est, somme toutes la conservation des fichiers numériques / informatiques.

On fait du "numérique" au son depuis plus longtemps que dans le monde de la photo ou celui de l'image animée.

Au départ, les enregistrements numériques (PCM) étaient réalisés sur des cassettes vidéo de type "U-Matic" et parfois "VHS".
Le son analogique était converti en numérique et le signal obtenu pouvait s'apparenter à un signal vidéo. C'était en "U-Matic" que se trouvaient les "Master" qui servaient à la réalisation des CD.

Des sociétés étaient spécialisées dans les opérations de "mastering" des CD. Elles devaient travailler avec une licence octroyée par Sony.
Il y en avait une seule en Belgique, avec laquelle j'ai eu l'honneur de travailler.

Il y a eu ensuite un nouveau format d'enregistrement: la "DAT", qui était une toute petite cassette fragile et destinée au départ au grand public mais les professionnels s'en sont emparés.

Ces supports étaient sujets à une usure, qui générait des erreurs de lecture. L'accès aux différentes portions du support était "linéaire", c'est à dire qu'il fallait bobiner pour atteindre l'une ou l'autre piste.

Fin des années 80, début des années 90, des ordinateurs "spécialisés" sont apparus et ont simplifié les opérations de montage, de mixage et de traitement.

D'une certaine façon aussi les supports "source" se sont "dématérialisés".

C'est à ce moment-là que se sont posés les premiers problèmes de "backup" / de sauvegarde.

En effet, les disques durs étaient loin d'être immenses et il fallait "faire de la place" d'une session d'enregistrement/de montage ou mixage à l'autre.

Certains utilisaient des disques optiques, d'autres des cassettes DAT formatées pour recevoir des données. L'accès à ces supports de sauvegarde se faisait via les stations de travail audio. Pour cette raison, et indépendamment du fait que les supports physiques ont pu se détériorer, il est compliqué d'y avoir encore accès si on n'a pas maintenu en fonctionnement ces volumineuses stations de travail à l'électronique largement dépassée.

Peu à peu on a gravé des CD. C'est mon cas (je gère une sonothèque de 75000 sons). Mais il s'avère que certains CD enregistrables deviennent illisibles après une petite dizaine d'années. Idem pour les DVD. Les DVD-RAM semblent plus fiables.

Bref, à part dupliquer tous ces fichiers sur plusieurs disques durs et recommencer ces copies à intervalles réguliers sur de nouveaux disques, il n'y a pas pour l'instant de système "courant" pour le grand public qui garantisse une conservation des données à travers le temps sur de longues périodes.

A noter que pour mon activité professionnelle dans le domaine du son, il est courant de générer une petite dizaine de Gb par jour de travail.

Ca représente vite des volumes et des temps de transfert importants. Surtout si on ne fait pas ça au jour le jour.

Il m'est arrivé plusieurs fois d'être confronté à des disques durs qui deviennent illisibles ou qui tombent en panne. Dans ce cas il vaut mieux oublier la récupération de données et recourir à une sauvegarde...

pour ce qui est de la bande analogique et des appareils à tube (lampes), bien sûr qu'on s'en sert encore. Le plus souvent pour "humaniser" le signal numérique. Ajouter de la "chaleur" disent certains. Des distorsions "harmonieuses" disent les autres.

Quoi qu'il en soit, il n'est pas intéressant de "jeter" tout ce qui précède l'arrivée d'une technique "révolutionnaire".

Souvent ces technologies n'ont que peu de rapport avec l'émotion contenue dans les "contenus" qu'ils soient sonores ou visuels.

Brel chantait dans des micros très imparfaits et à des époques où la technologie audio était très loin de ce qui se fait maintenant (et pour beaucoup moins cher). N'empêche qu'il fout des frissons à pas mal de ses auditeurs. Et les techniciens de l'époque recherchaient la perfection au moyen d'instruments qui nous apparaissent maintenant comme "rustiques".

J'ai choisi de garder en état de marche pas mal de machines des années 50 à nos jours afin de permettre la lecture et la numérisation d'oeuvres ou d'archives.

Vous n'imaginez pas le plaisir que ça procure de pouvoir lire et numériser des archives familiales en regardant une bande tourner sur un Grundig de 58 tandis qu'on lit la description du contenu sur la boîte.

De la même époque j'ai des photos de famille dans une boîte à chaussures ou des albums.

Je ne suis pas sûr que dans 50 ans ce sera aussi "poétique" avec nos disques durs (FAT 16, FAT 32, NTFS, "MAC", "PC"...) et surtout très simple de faire le tri dans tous ces fichiers.

Il y a un solide travail à réaliser pour les informaticiens.
En attendant, faites réaliser de jolis tirages!
"Toute photographie est une fiction qui se prétend véritable. (...) la photographie ment toujours, elle ment par instinct, elle ment parce que sa nature ne lui permet pas de faire autre chose." Joan Fontcuberta
Invité
Merci Philippe pour ces informations sur le son, très intéressantes.

Je me découvre une nouvelle passion pour l'enregistrement musical (mon groupe de blues/rock) :)... le numérique est bien pratique pour commencer là aussi. Mais souvent la recherche de qualité et de sauvegarde (subjective et non quantitative) impose des questionnements presque métaphysiques.

Comparaison des microphones, des préamplis ou effets, etc... Il y a des Leica dans le son aussi :) ça donne souvent envie de craquer.

Un bon micro donne envie d'enregistrer le bruit d'une goutte d'eau tombant sur des ardoises, avec toutes les nuances que cela implique. Un micro lambda beaucoup moins :)

J'en viendrai presque aussi à me dire, à quoi bon sauvegarder si le contenu sauvegardé n'en vaut pas la peine qualitativement. La sauvegarde est un acte de transmission, et donc potentiellement d'éducation. Il peut sembler judicieux de ne transmettre que le meilleur.

Concrètement, imprimons ou tirons de la meilleure manière possible nos meilleures images et ce de manière durable, au lieu de tout imprimer basiquement. :)
ZZ-22
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citation :
C'est la principale raison
pour le quel je retravaille en Argentique.
Hormis la nécessite professionnelle d'avoir des clichés rapides.
Leon
:lol:

Ce n'est pas la réponse à la question mais.....


Je n'envisage pas du tout d'abandonner l'argentique, mais dans certains cas, le numérique peut m'être utile...

Visiblement, ce sont les graveurs de CD/DVD, incorporés aux ordinateurs qui seraient responsable d'une gravure de qualité médiocre. Existe-t-il des graveurs, "séparés" de l'ordinateur de meilleures qualité? Si oui, lesquels? :? Graver un CD-R ou un DVD?
Quelle marque de CD ou de DVD se détacherait du lot?
Phil VDD
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Arquennes
ZZ-22 a écrit :
Quelle marque de CD ou de DVD se détacherait du lot?


Le constructeur de l'équipement (audio) professionnel me recommande les DVD-R Sony "Accucore".

La règle est de vérifier les sauvegardes par comparaison avec l'original, dès la fin de la copie.

Mais il y a certainement des tests et des comparatifs de CD et DVD sur le net.

Il est important aussi d'archiver ces sauvegardes dans des conditions de température, humidité et luminosité particulières. Et de veiller à ne pas écrire sur les disques avec des feutres qui "attaquent" le support. Il faut aussi avoir la bonne technique pour manipuler les disques sans les toucher aux endroits "sensibles".
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alain.besancon
    SVP
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S'il vous plaît: ne me faites pas dire ce que je suis incapable de discuter, tout en le comprenant néanmoins: que le CINEMA ait un intérêt à filmer en num puis sauvegarder en argentique ne me choque pas du tout, je le comprends aisément même si ça me fait sourire.
Mais en PHOTOGRAPHIE et je précise AMATEUR sauf trucages, montages, correction à la portée de peu de gens ET pas de moi ............ où peut bien être l'intérêt :?: Va-t-on tuer la photo amateur argentique pendant que l'on recyclerait le film 35 mm comme meilleure source de sauvegarde d'un cinéma numérique :?: :shock: :shock: Désolé, mais si tel est le cas, ça me semblerait être le comble de la connerie de l'ère, et c'est le cas de le dire, numerdique.

Je ne dis rien de plus.

Alain
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Phil VDD
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Arquennes
Alain, c'est difficile d'échanger avec quelqu'un qui s'énerve.
Nous utilisons un mode de communication plus opaque qu'une conversation vocale, face à face.
La lecture des "smileys", des points d'exclamation peut être équivoque.
Je n'arrive pas bien à comprendre ce que tu as voulu communiquer et cette redondance des mots "connerie" et "numerdique" ne m'aide pas à voir si tes propos sont simplement provocants ou si ils sont pondérés.


Mais on n'échange pas ici pour une seule personne, et donc voici un petit complément de réflexion.

Le fait que les professionnels continuent à élaborer des chaînes de production qui intègrent l'argentique (pellicule, produits, laboratoires...) peut laisser l'espoir à quelques amateurs (dont je suis) de continuer à disposer des "consommables" nécessaires.

Kodak et Fuji sont les deux fournisseurs de pellicule pour le cinéma.
Ces deux firmes continuent à faire de la recherche/développement dans le domaine de la pellicule. Ce qui peut être "vu" comme assez "rassurant".

Ceci dit, gardez toujours un petit stock de pellicule vierge au frigo et ne vous inquiétez pas trop si la date est dépassée. On fait de très belles choses dans le style "Lomographie"!

:D
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Geraud
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Alain, regarde l'installation (je ne parle pas de prix) necessaire pour faire de l'argentique de A a Z (autrement dit de developpement a tirage), et regarde celle necessaire pour la meme chose en numerique (tout ou partiel, par partiel j'entends numerisation des negatifs apres developpement).

Tout de suite ceci explique cela... un ordinateur dans un coin,a vec une imprimante et un scanner, c'est tout de meme moins complexe a gerer qu'une chambre noire complete avec arrivee d'eau etc etc.
alain.besancon
    oui mais a contrario
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Nous sommes absolument d'accord, absolument et je tiens à dire que je ne m'énerve pas (si vous me voyiez énervé , vous comprendriez la différence :lol: :lol: )
Où je trouve que ça devient CON et je mesure bien mon mot, c'est de prôner le film argentique comme sauvegarde du numérique: pour l'amateur simplex comme moi, est-ce bien utile :?: (j'ai 2 Leica M argentiques et un scanner film) ou est-ce une nouvelle tentative pour faire marcher la machine à fric :?: :?:
Pour ce qui est du coût, là aussi je ne suis pas pleinemnt d'accord: si la mise sur papier de l'argentique est coûteuse et délicate sans un labo N&B perso, surtout en couleur, le tirage du numérique est ni simple, ni économique.
L'argument "économique" du numérique m'a toujours semblé fallacieux dès que l'on creuse un peu; maintenant on nous dit qu'il n'est pas pérenne (ce qui n'est pas surprenant) et que la solution est sa sauvegarde en argentique :lol: :lol: :lol: vous n'avez un peu l'impression que l'on nous a "roulé dans la farine" et pris pour des gogos :?: Je ne dénigre PAS la réalité physique des faits, je dis que l'on veut nous faire acheter une lampe à huile au cas où, demain nous n'aurions plus d'électricité :wink:

Alain
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Coignet
    Re: oui mais a contrario
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alain.besancon a écrit :
vous n'avez un peu l'impression que l'on nous a "roulé dans la farine" et pris pour des gogos :?:

Non, pas du tout.
Nous sommes utilisateurs de l'informatique bien avant que l'on invente l'appareil photographique grand public que nous utilisons aujourd'hui : nous savons depuis longtemps que la sauvegarde de nos données est un souci à prendre en compte.
En photo, elle est un peu problématique en raison du très grand volume de stockage nécessaire par rapport aux autres travaux informatiques : texte, tableurs, bases de données, etc.
Il suffit, pour les amateurs que nous sommes, de raisonner autrement qu'en argentique. Je conserve tous les films car cela prend bien peu de place.
Je détruis 95% au minimum de mes fichiers numériques photographiques, ne conservant que le résultat : fichiers incorporés dans des publications, impressions et tirages, sauf pour ce que je crois avoir vraiment réussi, que j'archive. Le volume est ainsi bien peu élevé, et peut rejoindre mes autres stockages sur disque dur : toute mon activité professionnelle depuis mon passage à l'informatique en 1986 tient sur un seul disque dur, photos conservées y compris.
Eric Bascoul
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on tire à boulets rouges sur le numérique :roll:
mais personnellement, je vois pourtant un avantage au numérique que l'argentique ne pourra jamais avoir :non:

je tremble pour la pérénité de certains de mes originaux argentiques, si par exemple mon appartement brûle :roll:
bien que j'ai des tirages grand format, ils se pourraient qu'ils brûlent avec,
et faire des duplicatas "arts graphiques" me coûterait un bras, sans même avoir un bonne qualité.

alors qu'en numérique on a des duplicatas rigoureusement fidèles à l'original, tout ça pour presque rien,
et on peut stocker un disque dur chez un ami.
Geraud
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Vieux briscard
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742 Evergreen Terrace, Springfield
Eric je crois que beaucoup de monde pense a "mais dans 100 ans, mes fichiers ils seront ou?"

J'imagine le travail d'archeologues dans 5000 ans, decouvrant avec emotion nos "valises mexicaines" a nous, qu'elles soient argentique ou numerique. "Alors Bob?" "encore des photos de caniche"

Mon avis c'est que ce qui a de l'importance, soit artistique, soit historique, soit pour la famille, perdurera, le reste...
tomele
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EricBascoulDIDO a écrit :
je tremble pour la pérénité de certains de mes originaux argentiques, si par exemple mon appartement brûle :roll:


Un petit coffre dans une banque, c'est sécurisé, ignifugé et assuré avec un plafond potentiellement très élevé (genre 1M€). Tout indiqué pour des négatifs qui ont une valeur "de marché".

Pour le numérique, disque dur externe chez un ami pourquoi pas (mais attention à la longévité il y a des pièces mobiles là-dedans). Encore mieux à mon avis : service de sauvegarde à distance comme mozy ou tout simplement le couple Picasa / Google storage
ZZ-22
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tomele a écrit :
Pour le numérique, disque dur externe chez un ami pourquoi pas (mais attention à la longévité il y a des pièces mobiles là-dedans). Encore mieux à mon avis : service de sauvegarde à distance comme mozy ou tout simplement le couple Picasa / Google storage


Oui, mais rien ne dit que dans dix, ou plus, ou moins, "Mozy" ou "Picasa" et consorts, existeront toujours... :?:
ZZ-22
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Geraud a écrit :
Eric je crois que beaucoup de monde pense a "mais dans 100 ans, mes fichiers ils seront ou?"

J'imagine le travail d'archeologues dans 5000 ans, decouvrant avec emotion nos "valises mexicaines" a nous, qu'elles soient argentique ou numerique. "Alors Bob?" "encore des photos de caniche"

Mon avis c'est que ce qui a de l'importance, soit artistique, soit historique, soit pour la famille, perdurera, le reste...


C'est vrai que d'un côté, on a tendance à donner beaucoup trop d'importance à nos "chefs d'oeuvres"; même si ils ne sont pas à mépriser, loin de là.
Qui dans 50 ou 100 ans s'en souciera? On stresse pour des choses qui n'ont de valeur qu'à nos propres yeux... :roll:
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