Horacio Coppola

Manara
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Cela ne vous regarde pas vraiment
Inthebox a écrit :
....Directement chez Larivière, il revient, port non compris, à 39 euros, ce qui fait tout de même une grosse différence...


Inthebox, comment es-tu arrivé à commander directement chez eux ? Moi je tombe sur cette page :
http://editions-lariviere.fr/site/accueil.php
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Le Photographe est un chroniqueur de l'éphémère,
ayant pour seul alphabet des poussières de temps. ....
villegas juan carlos
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Manara, le lien des éditions Larivière est celui-ci;

http://www.edicioneslariviere.com/es/home.aspx

Le bouquin coûte à Bs As $ (pesos) 180, donc à peu près, 40 euros

Nathalie, content qu'il te plaise. En effet, la confrontation entre le Buenos Aires des années trente (Coppola) et la vision actuelle de Zuviría est très intéressante.
La photographie est la discipline de l'évidence en un millième de seconde de délire. Bernard Plossu
http://barnackla404.blogspot.com/
Manara
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Cela ne vous regarde pas vraiment
Merci juan :wink:
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villegas juan carlos
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Au 1223 de la rue Uruguay se trouve l'un des sièges des éditions Larivière,
la porte rouge au bout du couloir.








(R4, pop color)
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Inthebox
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Coppola + Zuviria
Des avenues désertes, de terre battue ou fraîchement bitumées, les grues du port alignées selon un ordre rigoureux, une station de tramways et de bus indiquant la destination de chacun d'eux (Chacarita - le Père-Lachaise de Buenos aires -, Plaza Mayo...), des paysages urbains nocturnes aussi tristes qu'une milonga - et qui rappellent certains clichés de Brassaï -, des alignements symétriques de maisons, sans aucune présence humaine, etc. Voici le Buenos Aires d'Horacio Coppola. Celui de l'époque où se déversaient dans ses entrailles d'incessantes vagues d'émigrés de toute l'Europe (Espagnols, Italiens - la majorité - Basques, Juifs d'Europe centrale...), venus chercher sur place de quoi vivre, tout simplement. Un Buenos Aires aride et dur, en dépit des lumières de la calle Florida, un Buenos Aires qui prend aux tripes. Mais qu'aime sans retenue Horacio Coppola, qui a su dans ses photos en restituer l'âme tout entière. Regarder ses images, c'est entendre Carlos Gardel ou la Rinaldi, avec les bandonéons lancinants d'une nostalgie répétée à l'infini.
Puis voici le Buenos Aires de Facundo de Zuviria, moderne, mais dont on sent qu'une parenthèse tragique (celle des années de plomb de la junte militaire) a retardé la transformation - certaines de ses vues du port ou de rue pourraient avoir été prises du temps de Coppola... La démocratie est revenue, mais la nostalgie, elle, est toujours là, ancrée, viscérale.
Un ouvrage exceptionnel.
P.S. La modestie de l'ami Juan l'a retenu de préciser un point tout au long de ce fil : il est lui-même l'auteur de très beaux portraits d'Horacio Coppola, pris alors que ce dernier allait sur ses 101 ans. Dont l'un avec, en arrière-plan, une vue de la calle Florida de nuit (celle de la page 99 du bouquin), superbe. Portraits qui, tous, auraient leur place dans ce fil. Alors, Juan, tu te décides ? :wink:
villegas juan carlos
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Superbe, la chronique du bouquin Coppola & Zuviría :shock:
Tu en as fait une lecture - hors champ - des images juste et émotive en même temps.

Coppola a photographié essentiellement le Buenos Aires des années 30, et Zuviría s'est consacré aux années 80 et 90.
Entre ces deux périodes, il y a le Buenos Aires des années 50 et 60. Epoque marquée (à mon avis) par l'impulsion des arts.
L'explosion innovatrice du tango grâce au talent d'Astor Piazzolla. La recherche des rythmes musicales de l'Amérique profonde, spécialité du Gato Barbieri.
Les photos impregnées de nostalgie de Sameer Makarius. La peinture de Berni ou celle de Carlos Alonso. Difficile d'oublier aussi la poésie silencieuse d'Alberto Girri...
Tout cela avant l'avant l'arrivée de la décennie la plus sombre de l'histoire du pays, les années 70.


Quant aux portraits de Coppola, ils existent surtout parce que david ambiloube m'a suggéré d'aller lui faire visite. Donc, merci à David :wink:











sa bibliothèque,








david en train de photographier Coppola,




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ambiloube-david
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Ah, que de bons souvenirs !
Juan, t'es ou ?
:-)
Paradoxal
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:iboitier: IIIc, :iobj: Elmar 50 3.5, :ifilm: T-Max 100

En guise de cordial clin d'oeil à notre ami Juan Villegas. :wink:
Paradoxal
villegas juan carlos
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Tiens :shock: , merci bien Daniel !

Mais ce n'est pas en Belgique ?

Tu viens de faire un petit tour en Espagne ? :wink:
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Paradoxal
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Un grand tour si on peut appeler cela un tour. Et je passais par Logrono où j'ai vu cette affiche.
Paradoxal
ambiloube-david
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Merci Daniel pour cette image,
est tu allé dans la Calle Laurel faire la montée fantastique de tous les bars a tapas !
dement !
j'adore !
:-)

bises a Juan aussi !
:-)
villegas juan carlos
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Content pour vous, Logroño, ce n'est pas loin de chez mes ancêtres !
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Inthebox
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Autre clin d'oeil à l'ami Juan Carlos : la couverture du (superbe) catalogue de la rétrospective que la Fundacion Telefonica a consacrée à Horacio Coppola, à Madrid, au cours du dernier trimestre 2008.
P.S. Juan, tu devrais avoir la visite d'un très sympathique summiluxien de Paris début novembre prochain ; ce n'est pas moi, hélas !

villegas juan carlos
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Les summiluxiens sont bienvenus à Bs As :wink:
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ambiloube-david
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et a San Francisco a partir d'Octobre aussi !
:-)

PS : Juan, je t'attends toujours ici. pour NYC, c'est fini pour l'instant, mais j'y retournerais vivre dans le futur aussi...
:cool:
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