summilux.net

Bonsoir les amis,
Ce soir je fais mon entrée dans le monde des Leica à vis . Je viens tout juste d’acquérir un Leica IIIf échelle rouge de 1953 ainsi qu’un Summitar 2/50 de 1949 à un sympathique membre des amis qui saura se reconnaître
Ma première impression et d’être vraiment surpris par sa petite taille mais aussi par le bruit du rideau bien plus bruyant que mon MP.
Par contre, je m’interroge sur la manière de régler la sensibilité du film . En effet, il y a deux échelles (DIN et ASA) ainsi que deux couleurs suivant que l’on tourne le barillet d’armement vers la droite ou vers la gauche. Le réglage de la sensibilité du film ne peut excéder 125 ASA. Comment travailler avec une Tri-X à 400 ISO ?
Le réglage de la mise au point ainsi que le viseur (bien que très clair) ne sont pas aisés à utiliser (c’est un doux euphémisme). Vivement le viseur SBOOI

Je vous en dirai plus dans une quinzaine de jours. Je suis en congé la semaine prochaine au Portugal. Voilà une bonne entrée en matière pour m’essayer au IIIf.

Merci pour vos conseils…
Cordialement.

Rico

Je crois qu'il faudra que tu fasses confiance au codage DX












Désolé

Je n'ai pas bien saisi.....( ou alors je vais dire une c.........) mais quel est le, problème puisque le IIIf n'est pas équipé de cellule et qu'il en faut une séparée.....

PAT

Bonsoir

Tu ne pouvais pas mieux tomber . Excellent boitier et non moins bon objectif

Bravo

Jean Jacques

Merci pour cette encourageante remarque djidji1

Je pense que pour commencer ma cellule externe va me donner un petit coup de main Faut bien que je définisse la sensibilité de la cellule pour avoir le rapport vitesse/ouverture... Non ?

Ben oui, sur ta cellule il faudra régler la sensibilité de ton film... Mais vu qu'il n'y a pas de cellule sur l'appareil, l'indicateur de sensibilité sur le bouton d'armement n'est qu'un indicateur sans aucune influence sur le fonctionnement de l'appareil : c'est la version "classe" du carton d'emballage plié dans la griffe porte-flash.

Bonjour Rico,
Oui, je suis d'accord avec adonf. Puisque sur ta cellule tu vas indiquer la sensibilité de ton film, il va te donner l'ouverture et la vitesse à choisir en fonction de 400 ISO. Du coup tu n'auras plus qu'à reporter ce couple vitesse-ouverture sur ton boîtier et la photo sera bien exposée.

Amicalement,
Nightglimmer

Ma question était vraiment ridicule . Je m'en suis rendu compte hier soir en me couchant ... Le nuit porte conseil
C'est pas grave, merci pour vos réponses

Salut



Ridicule Non, non. On est juste tellement habitués aux automatismes et autres assistances, que quand il faut faire quelque chose soi meme, on est tout déboussolé.
Un des charmes de ce genre d'appareil c'est qu'il faut tout faire soit meme. De l'artisanat en quelque sorte

Bon courage...tu vas t'y faire

Jean Jacques

C'est dit

Ben là, Jean, je ne comprend pas puisque pour ce coup ci , j'avais raison......... 8)

PAT

Bonsoir,

Vous allez peut-être rire mais j'ai passé 3/4 heure à essayer de charger un film dans le IIIf Je ne pensais pas que ça allait être aussi galère
J'ai compris au bout d'une demi-heure qu'il fallait couper le négatif

Il était moins une, demain je prends l'avion pour le Portugal. J'ai bien cru partir sans le IIIf

Bonne nuit

Bonjour ! Bravo, Rico, pour cet achat, et bonnes vacances au Portugal !
Sur les Leica des séries "f" et "g", le disque indiquant la nature du film, placé en haut du levier d’armement, n’est qu’un simple aide-mémoire destiné à se souvenir du film utilisé (comme l’a souligné Adonf)…

Ce bruit de déclenchement pourra notablement être atténué lors d’une révision de l'appareil (dans 20 ans… ) : j’ai récemment confié à Gérard Métrot un Leica If et lui ai demandé de rendre l’obturateur le plus silencieux possible, ce qu’il a remarquablement réussi à faire car maintenant le déclenchement est devenu extrêmement discret.

Le schéma imprimé sur le fond du châssis est explicite, mais certes au début cela peut ne pas paraître évident…
"Dans le temps", tous les films étaient prévus avec la longue découpe d’amorce convenant au Leica à vis ; c’est probablement l’arrivée des appareils à chargement simplifié, voire automatique, qui a causé la réduction de cette longueur (afin qu’un débiteur denté puisse s’engager dans chacune des deux rangées de perforations).
Rassure-toi, Rico : avec un peu d’habitude, charger ton Leica IIIf ne te posera plus de problème…
Attention à ne pas forcer en fin de rembobinage : l’amorce ne s’échappe pas de la bobine réceptrice.

Jean D.