Posté: vendredi 25 octobre 2019 - 18:16
Une petite fantaisie Sicilienne… l’enfance de l’art dans ce monde de tragi-comédie sans respect fondamental de la dernière unité.
Ainsi voyez-vous, l’art de la voix est ici religion - Bel Canto naturellement...
… et belle Américaine en terrasse à Catane.
L’art de la simple logique ici rationnel : si la nature s’en mêle, mieux vaut ne pas s’en mêler et faire son chemin avec elle.
… lorsqu’elle vous en laisse le temps, donc attention à la marche ! Notez que l’âne s’en accommodera ici fort bien, en bon serviteur de
l’être pourtant imaginé supérieur en tout par ses réalisations et autoproclamé sapiens mais toujours dépassé par Dame nature.
… un temps qu’il vaudra donc sagement mieux prendre, que va piano… vous connaissez la suite.
L’art de la signalisation est fort heureusement omniprésent, exemple : la chasse est ouverte.
…. c’est sans doute pour cela que l’on camouflera les précieux panneaux comme vous le montre cette simple image, donc avant
d’envisager la navigation « tout au cap », soyez attentif au détail.
… bref, mieux vaut rouler lentement pour ne pas basculer dans les vignes du Seigneur avant de célébrer le divin breuvage…
… et, j’allais oublier, apprécier l’art subtil de sa complication, politique tarifaire certes complexe mais égalitaire.
Terminons là la partie badine qui amène à des images certes amusantes mais artistiquement limitées puisque purement documentaires
et soyons maintenant un peu sérieux une fois encore, il y a donc aussi l’art de la foi, certes les cierges sont-ils de plus en plus électriques
... et seront éteints dès le dos tourné mais que voulez-vous, il n’y a pas de petite économie.
… ainsi les anges accompagnant le dignitaire, voyant cela et ce qui suit, restèrent-ils dubitatifs...
L’art de la combinazzione reste bien présent semble-t-il -détrônant même celle de gouvernants démocratiquement élus comme ailleurs
grâce à l'absence d'information, dites-vous et n'est-ce alors que rivalité ?- Le jeu est de fait serré tout comme ailleurs maintenant entre
les protagonistes rivaux ou complices d’un monde libéré de toute valeur humaine et les paris resteront encore pour longtemps ouverts.
... il y a comme souvent un indice qui ne trompe pas –non, pas celui de droite, sacré français toujours attiré par une quelconque
déviance de l’art culinaire-.
… aussi un inquiétant art combinatoire de l’absurde et de la comédie qui trouve son apogée à Palerme.
Et puis enfin, il reste la croisière… celle de la dernière chance.
Mare Nostrum… maudite flotte si belle mais qui n’est elle aussi guère fraternelle.
Mais il y a pourtant là un endroit où l’on cultive encore la pourpre et le rouge, associe volontiers la mitre et la casquette, la vierge et le
grand-père égérie d’un espéré socialisme de raison apprenant de concert la sagesse à l’enfant, tous deux enseignant malgré tout et depuis
un sacré bout de temps déjà cette fraternité éternellement mise à rude épreuve.
Un petit côté garibaldien qui s’exprime tellement bien dans « Bella Ciao » version 44 -« vécue » par Montant et présente dans les archives
de l’INA par exemple-, cela dit sans vouloir écarter le moins du monde celle des travailleuses du Nord si bien interprétée par Mme Milva,
mélodie fusionnelle d’une même pensée aux multiples ramifications.
Alla resistenza… mille pardons Salvo pour la composition mais l’harmonie des corps est naturellement belle, homme même de peu de foi
comme moi ne trouves-tu pas ? La magie du Leica sans doute diront certains.
Pour terminer comme à l’habitude sur une note optimiste, pas de panique dirons-nous… enfin jusqu’à ce qu’apparaisse le sombre état des
« tuyères » du ferry, laissant imaginer le reste... où sont les ceintures de sauvetage ? -je plaisante-.
Avec l’aimable participation involontaire -en ce qui concerne la signalisation- des municipalités de Catane, Ispica, Palerme, Sambuca di
Sicilia, Trapani, etc...
Ainsi voyez-vous, l’art de la voix est ici religion - Bel Canto naturellement...
… et belle Américaine en terrasse à Catane.
L’art de la simple logique ici rationnel : si la nature s’en mêle, mieux vaut ne pas s’en mêler et faire son chemin avec elle.
… lorsqu’elle vous en laisse le temps, donc attention à la marche ! Notez que l’âne s’en accommodera ici fort bien, en bon serviteur de
l’être pourtant imaginé supérieur en tout par ses réalisations et autoproclamé sapiens mais toujours dépassé par Dame nature.
… un temps qu’il vaudra donc sagement mieux prendre, que va piano… vous connaissez la suite.
L’art de la signalisation est fort heureusement omniprésent, exemple : la chasse est ouverte.
…. c’est sans doute pour cela que l’on camouflera les précieux panneaux comme vous le montre cette simple image, donc avant
d’envisager la navigation « tout au cap », soyez attentif au détail.
… bref, mieux vaut rouler lentement pour ne pas basculer dans les vignes du Seigneur avant de célébrer le divin breuvage…
… et, j’allais oublier, apprécier l’art subtil de sa complication, politique tarifaire certes complexe mais égalitaire.
Terminons là la partie badine qui amène à des images certes amusantes mais artistiquement limitées puisque purement documentaires
et soyons maintenant un peu sérieux une fois encore, il y a donc aussi l’art de la foi, certes les cierges sont-ils de plus en plus électriques
... et seront éteints dès le dos tourné mais que voulez-vous, il n’y a pas de petite économie.
… ainsi les anges accompagnant le dignitaire, voyant cela et ce qui suit, restèrent-ils dubitatifs...
L’art de la combinazzione reste bien présent semble-t-il -détrônant même celle de gouvernants démocratiquement élus comme ailleurs
grâce à l'absence d'information, dites-vous et n'est-ce alors que rivalité ?- Le jeu est de fait serré tout comme ailleurs maintenant entre
les protagonistes rivaux ou complices d’un monde libéré de toute valeur humaine et les paris resteront encore pour longtemps ouverts.
... il y a comme souvent un indice qui ne trompe pas –non, pas celui de droite, sacré français toujours attiré par une quelconque
déviance de l’art culinaire-.
… aussi un inquiétant art combinatoire de l’absurde et de la comédie qui trouve son apogée à Palerme.
Et puis enfin, il reste la croisière… celle de la dernière chance.
Mare Nostrum… maudite flotte si belle mais qui n’est elle aussi guère fraternelle.
Mais il y a pourtant là un endroit où l’on cultive encore la pourpre et le rouge, associe volontiers la mitre et la casquette, la vierge et le
grand-père égérie d’un espéré socialisme de raison apprenant de concert la sagesse à l’enfant, tous deux enseignant malgré tout et depuis
un sacré bout de temps déjà cette fraternité éternellement mise à rude épreuve.
Un petit côté garibaldien qui s’exprime tellement bien dans « Bella Ciao » version 44 -« vécue » par Montant et présente dans les archives
de l’INA par exemple-, cela dit sans vouloir écarter le moins du monde celle des travailleuses du Nord si bien interprétée par Mme Milva,
mélodie fusionnelle d’une même pensée aux multiples ramifications.
Alla resistenza… mille pardons Salvo pour la composition mais l’harmonie des corps est naturellement belle, homme même de peu de foi
comme moi ne trouves-tu pas ? La magie du Leica sans doute diront certains.
Pour terminer comme à l’habitude sur une note optimiste, pas de panique dirons-nous… enfin jusqu’à ce qu’apparaisse le sombre état des
« tuyères » du ferry, laissant imaginer le reste... où sont les ceintures de sauvetage ? -je plaisante-.
Avec l’aimable participation involontaire -en ce qui concerne la signalisation- des municipalités de Catane, Ispica, Palerme, Sambuca di
Sicilia, Trapani, etc...