summilux.net

Merci à vous tous pour ces derniers commentaires.

Un grand merci Paradoxal, pour ce reportage qui m'a sincérement touché !

je regarde à nouveau ce beau reportage...vraiment bien.

J'ai regardé "Thalassa" sur France 3 hier soir.
Le thème était le Cotentin. Et quand ils ont parlé de La Hague, j'ai eu la surprise et le plaisir de voir une séquence avec interview de Paul Bedel.

Il est irradié

Non. Radieux!

vais essayer de revoir ça en streaming...très chouette reportage, plein d'humanité, bravo !

Eh bien, voilà...
Nous sommes retournés encore une fois dans le pays de Paul Bedel, à la Pointe de La Hague.
Mon appareil photo n'a pas chômé.
Comme je ne veux cependant pas vous lasser en rabâchant un peu trop à ce sujet, avec ce dernier post, je mets un point final à la relation de mes escapades paysannes cotentines.
Nous avons revu Paul, ses sœurs et ses frères.
Aussi les Mauger, parents de Rémi qui a réalisé ce film "Paul dans sa Vie" à l'origine de cet engouement. Ils sont presque voisins des Bedel, leur ferme se situant à quelques kilomètres seulement.
Je vous les livre une dernière fois, tels que je les ai vus dans leur environnement, dans leur vie.

La rue où était la maison que nous louions nous amenait à passer régulièrement devant celle de Paul Bedel. Le voici presque rajeuni, sans lunettes correctrices depuis qu'on l'a opéré de la cataracte.
Seulement des lunettes solaires qu'il a enlevées et tient en main, le temps de faire la photo.

1.

Les jambes et les genoux par contre n'ont pas subi de cure de jouvence. Le poids des ans est là.
Le temps passe inéluctablement.

2.

Mais Paul reçoit tout le monde sans aucun problème et installé tel un patriarche à sa table, il converse avec ses visiteurs sans jamais manifester la moindre lassitude.

3.

4.

Pendant ce temps-là, ses soeurs préparent le dîner dans une cuisine assez étonnante.
Au menu ce midi-là : un demi-canard de leur basse-cour.

5.

Paul devant éviter vent et poussières à cause de cette intervention toute récente à l'oeil évite autant que possible de sortir.
Et Françoise de s'occuper des fraisiers.
Et Robert, le "petit" frère de concasser de l'orge.

6.

7.

Nous avions rencontré par hasard au Super-U de Beaumont-Hague Maurice Mauger, père de Rémi le réalisateur du film sans qui rien de tout ceci ne se serait produit.
Nous avions parlé du film, de la vie, de tout et de rien.
Il nous a alors invités à passer chez lui, ce qui eu lieu deux ou trois jours plus tard.
Lui et Hélène nous ont donc accueillis dans leur ferme.
Des gens délicieux qui eux aussi ont raccroché mais gardent encore chevaux et moutons.

8.

9.

Nous reverrons tous mais en ce qui concerne Summilux, je crois bien que l'histoire s'arrêtera ici.

MP, M6
Summilux 35 na, Summilux 50 a
Tri-X

J'adore ces gens témoins d'un monde en train de disparaître.

Oui c'est magnifique, touchant, poignant, sincère. J'espère que nous reverrons Paul, qui sait En tous les cas, merci Daniel pour le partage.

Daniel je suis fan ! C'est beau, bien cadré, belle et touchante narration : c'est humain. Une approche humaniste.

Encore du beau, Daniel Tu connais celle qui mérite mon suffrage

Quel remarquable travail ! C'est digne des plus grands ; ceux qui m'ont donné envie de faire de la photographie et me la font aimer passionnément.

Les images 2, 3, 8 et 9 me touchent particulièrement.

Merci.

Mince alors !
Je vous connais tous, de Coignet à Yannick O.
Ces mots gentils venant de vous tous me font vraiment plaisir. Merci infiniment.
Petit détail amusant en passant : vous êtes tous à un près, des "anciens" du forum.
Des personnes que j'ai eu tour à tour plaisir de lire, admirer et/ou rencontrer au cours de ces dernières années.
Comme le temps passe...