summilux.net

De bien belles images! Les formes anthropomorphiques amenent en effet a des interpretations tres personnelles...

très étonnant en effet. Un beau travail de recherche

Très aérien et très épuré, tout cela.
Belle réalisation, Phil.
polo

... oui, et un beau résultat déjà.

Moi qui ne suis pas fan de tes travaux/images en général (style Harcourt, fort recadrage, retouche logiciel notamment), j'avoue bien volontier que cette série me plait énormément, vraiment.

Merci Géraud, punkrocker, Polo, Wots et Sylvain pour votre appréciation.

Dès que j'aurai un moment, je reprendrai cette étude avec le MM...

magnifique!

C'est beau, poétique et magique à la fois.

une approche originale, bien maitrisee et bien executee

Impressionnant. Très évocateur effectivement, poétique et superbement réalisé. Bravo.

Merci pour vos appréciations!

Comme promis, je me suis lancé à nouveau dans cette aventure mais cette fois, avec le Leica MM.

Les résultats sont excellents.

La matrice (une grille) qui apparaissait avec le M9 quand je modifiais le niveau des zones sous-exposées, n'existe apparemment pas avec le MM.

La plus grande sensibilité du capteur me permet de gagner sur le diaphragme et le temps de pose, et ainsi d'obtenir des images plus nettes.

Voilà un exemple, avec le Summilux 75.

Je continue, quelque mois plus tard, le travail de studio autour des volutes.

Ici j'ai utilisé le Leica MM et un Summilux 35 ASPH. La grande sensibilité du capteur du MM permet de travailler avec un diaphragme assez fermé (2,8) et à une vitesse relativement rapide (1/125s). Voilà 4 photos.

Cette fois-ci, le "making-of" est assez amusant. Le bâton d'encens est planté dans de la pâte américaine ("blue tack"), collée sur un petit morceau de verre au diamètre légèrement inférieur à celui d'un haut-parleur. Celui-ci est posé à l'horizontale et le support pour le bâton d'encens est posé sur la membrane.
Ce support de verre est assez pesant pour créer une "charge" mécanique au haut-parleur, ni trop lourde, ni trop légère (c'est la lentille d'un "Dedolight" en fait).

Le haut-parleur est alimenté par un ampli de 20 Watts, dans lequel jusqu'à présent j'ai injecté des signaux qui sortent d'un générateur de fréquences audio. Ca fonctionne assez bien autour de 125 Hertz. Le seul problème, c'est que la vibration envoie les cendres qui tombent du bâton d'encens, sur le support en verre, et puis sont envoyées dans l'air. C'est ce qui fait tous ces petits grains autour de la volute. Je me demande si je ne vais pas faire une série de prises de vues en envoyant de la musique dans le haut-parleur, et sortir une photo remarquable pour chaque morceau.

Je posterai bientôt: "You Go to My Head" ou "Lady Sings the Blues", ou encore "On the Road Again"!


Versions B&N (c'est du N/B en négatif!).


1



2


Versions "colorisées":


3



4


A suivre...

Toujours aussi fascinant ... et quelle place pour l'imagination.

Ce visage qui s’essouffle lui-même sur la 1 !

Mais le noir et blanc passe mieux pour moi.

Ça me fait penser à ceci :



j'avais lu, il y a longtemps, et je n'ai jamais retrouvé de détail là-dessus, que cette couverture de l'enregistrement des variations Goldberg de Bach par Wilhelm Kempff, en 1969 est la photo de l'organisation de fins grains de sable issue des vibrations des variations.
Comment cela a-t-il pu être fait ?

Ah oui, Coignet. Tu remues mes souvenirs d'ingénieur du son...

Voici qui devrait t'éclairer: Cymatic

Cymatics - Wiki

La couverture de disque est probablement faite par Hans Jenny ou un de ses collaborateurs...