Liban danger
Posté: dimanche 29 octobre 2023 - 8:01Liban, 4 août 2020.
Une explosion de plusieurs milliers de tonnes de produits chimiques dévaste le port de Beyrouth et les quartiers environnants. 200 personnes trouvent la mort, 6000 sont gravement blessées, 300.000 se retrouvent sans logement.
Des politiques sont impliquées dans cette affaire... qui ne connaîtra probablement jamais de résolution. Depuis, le Liban s'enlise dans une crise économique, politique, sanitaire.
Et trois ans plus tard, la guerre menace, laissant le pays sans perspective.
Je connais très bien le Liban, je suis tombé en Amour pour ce pays dès mon premier voyage en 2009. Depuis j'y suis allé une quinzaine de fois, j'ai tourné deux films à Beyrouth...
A partir d'août 2020, j'y ai initié un projet photographique au long cours. Avec un M7 et un 50 lux, je collecte des instantanés de ce pays-paradoxe.
J'y retourne le plus régulièrement possible, pour témoigner, pour garder trace.
Trace d'un extrémisme qui ronge le pays et gangrène les générations futures,
trace d'une société qui se délite petit à petit,
trace d'un pays qui se meurt lentement ;
Mais le Liban,
et ce sont aussi ces souvenirs-là que je recueille,
ce sont ses gens, accueillants et généreux même dans l'adversité,
c'est cette manière si singulière de vivre l'instant présent,
c'est la vie qui continue.
Le Liban, on me l'a dit le premier jour où j'ai posé le pied sur le tarmac, c'est le pays où tout peut arriver, le meilleur comme le pire. Ce que la poétesse libanaise Nadia Tuéni résumait ainsi : "Beyrouth est mille fois morte, mille fois revécue".
Leica M7 et Summilux 50 ASPH
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Leica M7 et Summilux 50 ASPH
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Une explosion de plusieurs milliers de tonnes de produits chimiques dévaste le port de Beyrouth et les quartiers environnants. 200 personnes trouvent la mort, 6000 sont gravement blessées, 300.000 se retrouvent sans logement.
Des politiques sont impliquées dans cette affaire... qui ne connaîtra probablement jamais de résolution. Depuis, le Liban s'enlise dans une crise économique, politique, sanitaire.
Et trois ans plus tard, la guerre menace, laissant le pays sans perspective.
Je connais très bien le Liban, je suis tombé en Amour pour ce pays dès mon premier voyage en 2009. Depuis j'y suis allé une quinzaine de fois, j'ai tourné deux films à Beyrouth...
A partir d'août 2020, j'y ai initié un projet photographique au long cours. Avec un M7 et un 50 lux, je collecte des instantanés de ce pays-paradoxe.
J'y retourne le plus régulièrement possible, pour témoigner, pour garder trace.
Trace d'un extrémisme qui ronge le pays et gangrène les générations futures,
trace d'une société qui se délite petit à petit,
trace d'un pays qui se meurt lentement ;
Mais le Liban,
et ce sont aussi ces souvenirs-là que je recueille,
ce sont ses gens, accueillants et généreux même dans l'adversité,
c'est cette manière si singulière de vivre l'instant présent,
c'est la vie qui continue.
Le Liban, on me l'a dit le premier jour où j'ai posé le pied sur le tarmac, c'est le pays où tout peut arriver, le meilleur comme le pire. Ce que la poétesse libanaise Nadia Tuéni résumait ainsi : "Beyrouth est mille fois morte, mille fois revécue".
Leica M7 et Summilux 50 ASPH
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Leica M7 et Summilux 50 ASPH
Leica M7 et Summilux 50 ASPH
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Leica M7 et Summilux 50 ASPH
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