Les Fenêtres du Louvre
Posté: jeudi 12 novembre 2020 - 1:00
LES FENÊTRES DU LOUVRE
« Entre les Delacroix, les de Vinci, les
Géricault et les Soulage, il y avait toute cette
lumière de décembre qui s'invitait au
Louvre, à sa façon... »
C'est un peu l'esprit de cette série. Au départ, une visite de l’exposition temporaire
autour de l’œuvre de Soulage, trop courte à mon goût, puis la recherche à tâtons de la
section des peintres flamands pas encore vue, malgré cette énième visite au Palais.
Vers 15 heures en hiver, le soleil est bas sur l’horizon. Ses rayons ont une manière unique
de forcer l’enceinte du musée, à travers ses grandes fenêtres nues, ou plus souvent
protégées par une simple toile semi-opaque, sur laquelle se projettent des ombres
incertaines. Également, en décembre, la lumière solaire est chaude. On est dans des tons
de jaune, une façon peut-être pour Dame Nature d’équilibrer les choses, le thermomètre
étant alors au plus bas.
Au départ simples éléments architecturaux, les fenêtre deviennent rapidement l'élément
central de ma visite. Leica M et Summilux 50 au cou, toujours au cas où, je capte alors ce
qui m’interpelle.
Bref, à l’encontre des visiteurs contemplatifs devant tous ces chefs d’œuvre accrochés, je
me suis amusé à admirer et photographier les fenêtres du Louvre, les voyant comme des
tableaux bien encadrés, certains concrets, d’autres plus abstraits, voire impressionnistes,
à l’instar des œuvres exposés tout autour.
J’ai dû prendre une première décision concernant cette série. Le format allongé et
vertical d’une fenêtre sied difficilement avec le format 2 par 3, autant en mode portrait
que paysage. J’ai donc opté pour une présentation carrée des images. Également,
question de conserver l’esprit des tableaux imaginés, j’ai diminué légèrement la netteté
de certaines images, inspiré par la superbe série d’Ursula Schulz-Dornburg prises dans le
métro de Saint-Pétersbourg.
Bonne visite
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« Entre les Delacroix, les de Vinci, les
Géricault et les Soulage, il y avait toute cette
lumière de décembre qui s'invitait au
Louvre, à sa façon... »
C'est un peu l'esprit de cette série. Au départ, une visite de l’exposition temporaire
autour de l’œuvre de Soulage, trop courte à mon goût, puis la recherche à tâtons de la
section des peintres flamands pas encore vue, malgré cette énième visite au Palais.
Vers 15 heures en hiver, le soleil est bas sur l’horizon. Ses rayons ont une manière unique
de forcer l’enceinte du musée, à travers ses grandes fenêtres nues, ou plus souvent
protégées par une simple toile semi-opaque, sur laquelle se projettent des ombres
incertaines. Également, en décembre, la lumière solaire est chaude. On est dans des tons
de jaune, une façon peut-être pour Dame Nature d’équilibrer les choses, le thermomètre
étant alors au plus bas.
Au départ simples éléments architecturaux, les fenêtre deviennent rapidement l'élément
central de ma visite. Leica M et Summilux 50 au cou, toujours au cas où, je capte alors ce
qui m’interpelle.
Bref, à l’encontre des visiteurs contemplatifs devant tous ces chefs d’œuvre accrochés, je
me suis amusé à admirer et photographier les fenêtres du Louvre, les voyant comme des
tableaux bien encadrés, certains concrets, d’autres plus abstraits, voire impressionnistes,
à l’instar des œuvres exposés tout autour.
J’ai dû prendre une première décision concernant cette série. Le format allongé et
vertical d’une fenêtre sied difficilement avec le format 2 par 3, autant en mode portrait
que paysage. J’ai donc opté pour une présentation carrée des images. Également,
question de conserver l’esprit des tableaux imaginés, j’ai diminué légèrement la netteté
de certaines images, inspiré par la superbe série d’Ursula Schulz-Dornburg prises dans le
métro de Saint-Pétersbourg.
Bonne visite
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