Posté: jeudi 19 septembre 2019 - 15:36
Rendre visible l’invisible, au sujet des conséquences des violences sexuelles et des pistes pour s’en sortir. Tel est le projet envisagé pour la série fictionnelle présentée ici, sachant que seul un extrait couvrant un quart du propos tient dans le cadre proposé de 10 images.
Les traumatismes liés aux violences sexuelles sont importants et génèrent des troubles souvent durables, plus ou moins sévères, pouvant conduire jusqu’au suicide !!
Ce travail photographique a été initié avant que toutes les révélations récentes n’émergent. On limitera le corpus aux publics adultes, principalement féminin.
Parmi les symptômes les plus fréquents, sans viser ici l’exhaustivité, on observe, la honte, la culpabilité, le repli sur soi, condensés sous l’idée « d’enfermement », des réactions dissociatives, des flash-back, des problèmes de concentration, des troubles de mémoire, des troubles sexuels, des troubles de l’alimentation, des addictions, des comportements d’autodestruction, le risque suicidaire, la dépression…
Pour sortir de ces traumatismes il est difficile de faire l’économie de la révélation, de porter plainte, et d’engager un travail thérapeutique, pour retrouver un équilibre et vivre des relations satisfaisantes.
La thérapie permet aux survivantes de trouver le soulagement des symptômes issus des violences, puis de modifier les sentiments liés aux souvenirs du traumatisme, afin que les flash-backs perdent de leur importance, et elle permet aussi de développer une vision positive et saine de l’avenir jusqu’à retrouver une forme de « liberté… »
Sur ma conception je suis très influencé par Todd HIDO lorsqu’il dit que « les images doivent apporter plus de questions que de réponses … afin d’activer notre désir de comprendre, d’en savoir plus »
Les conditions techniques de prises de vue sont variables, adaptées aux contextes, la seule caractéristique commune à toutes les images c’est l’absence d’utilisation de flashes…
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Les traumatismes liés aux violences sexuelles sont importants et génèrent des troubles souvent durables, plus ou moins sévères, pouvant conduire jusqu’au suicide !!
Ce travail photographique a été initié avant que toutes les révélations récentes n’émergent. On limitera le corpus aux publics adultes, principalement féminin.
Parmi les symptômes les plus fréquents, sans viser ici l’exhaustivité, on observe, la honte, la culpabilité, le repli sur soi, condensés sous l’idée « d’enfermement », des réactions dissociatives, des flash-back, des problèmes de concentration, des troubles de mémoire, des troubles sexuels, des troubles de l’alimentation, des addictions, des comportements d’autodestruction, le risque suicidaire, la dépression…
Pour sortir de ces traumatismes il est difficile de faire l’économie de la révélation, de porter plainte, et d’engager un travail thérapeutique, pour retrouver un équilibre et vivre des relations satisfaisantes.
La thérapie permet aux survivantes de trouver le soulagement des symptômes issus des violences, puis de modifier les sentiments liés aux souvenirs du traumatisme, afin que les flash-backs perdent de leur importance, et elle permet aussi de développer une vision positive et saine de l’avenir jusqu’à retrouver une forme de « liberté… »
Sur ma conception je suis très influencé par Todd HIDO lorsqu’il dit que « les images doivent apporter plus de questions que de réponses … afin d’activer notre désir de comprendre, d’en savoir plus »
Les conditions techniques de prises de vue sont variables, adaptées aux contextes, la seule caractéristique commune à toutes les images c’est l’absence d’utilisation de flashes…
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