summilux.net

On regarde et on rêve. Ces images transportent.
C'est bon, c'est beau.
J'y voie la nostalgie du temps qui passe. Des émotions de notre enfance. Ce qui passe et qui reste enfoui.
Mille bravos !

Merci Jean-Jacques. Tu as entièrement raison, la distance n'y est pas. J'ai tenté d'assembler quelques images un poil "poétique". Y suis-je parvenu ? C'est une autre histoire. Et tu as raison, l'angoisse transpire de ces images qui ne sont pas toutes - loin s'en faut - "fortes".




Merci cedric-paris. Le texte est le point de départ. Je crois l'avoir dit, j'ai ressenti le besoin et l'urgence d'écrire. Les images sont venues ensuite. Quant au style "lomo"... j'avoue que le piqué d'un objectif m'importe peu. Idem avec la date de péremption ou la qualité de conservation de mes films. L'association de mon très vieil elmar et de la couleur me semblait ici à essayer.




Ton avis compte lenicolas. Si ça évolue, n'hésite pas ! Je peux même, si tu le souhaites, te transmettre en mp d'autres images avec lesquelles j'ai hésité.




Merci Fred_G. Ton point de vue est d'autant plus intéressant que tu sembles ne pas être le seul dans ce cas. Ces réflexions m'incitent à remettre tout cela en question.






Je crois qu'il me faut définitivement revoir ma sélection d'images ! Merci Mak et Gui75 pour ces retours.






Merci jm92 et Ceden. Si vous y voyez un poil de poésie ou de rêverie, c'est que je ne me suis pas tout à fait trompé !

Bien davantage qu'un poil.

Si c'est un gros poil, c'est encore mieux !!

Et c'est réussi, malgré le changement climatique

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Note: N'oubliez pas qu'il est toujours possible de voter sur une photo indépendante en cliquant dessus (just did 4 & 5)

Ca fait déjà quelques temps que Thomas nous entraîne dans son expression photographique. J'essaye de ne pas en rater une, et le plaisir est toujours là.
Comme toujours avec les séries photos, je regarde avant de lire, et cette série, on peut aussi y mettre ses propres légendes.
Après lecture, je ne trouve toujours pas cela anxiogène, mais peut-être nostalgique, ou pas. Faire transparaître sa sensibilité, c'est toujours une belle performance.
Encore un joli coup, Mister Krauss

Un immense merci JC pour ton regard posé sur ces images. Ce que tu dis est très vrai : chacun légende de manière différente les photos qui lui sont données à voir. Je serais curieux de connaitre les tiennes !

Ta poésie est sublime.
Tu as un style bien à toi que je peux reconnaître à chaque photo que tu postes.
Ta série est joliment traitée.
Ta couleur c'est du Pierre Fresson.
J'aime beaucoup.

Marrant que tu écrives cela, je pensais aussi à Fresson en parcourant ces images...

Mak.

Stéphane merci. Tes mots me touchent beaucoup. J'ai toujours du mal à accepter de tels compliments. Je ne suis pas certain du tout que mes photos les méritent.



Merci Mak (et Stéphane à nouveau du coup !). Je dois avouer mon ignorance. Fresson est un nom que j'avais déjà lu (oui oui, je suis, à ma grande honte, inculte... ). J'avais dû aller voir à l'époque de quoi il retournait. Mais en traitant mes couleurs, je ne savais pas qu'elles pourraient être associées de près ou de loin à ce nom ! C'est d'ailleurs, pour moi, toujours difficile de traiter la couleur... je me suis établi un petit processus de numérisation/post traitement mais suis bien incapable de dire si je "respecte" le rendu initial de mes films périmés...

J'adore ! Un grand travail d'auteur... Sautant le texte pour un premier visionnage, la mélancolie se dégage, presque énigmatique, j'imaginais un lieu qu'on quitterait pour toujours, comme une grande et iconique maison de famille qu'on est contraint de vendre alors que tous les ainés y ont construits ensemble leurs souvenirs de jeunesse. C'est bien d'un abandon que tu traites, mais bien plus grave ! Le propos appuie bien les images et offre un second visionnage percutant amenant la mélancolie à pencher vers la tristesse.
La couleur te va très bien ! Et comme dit précédemment, les mises en abimes sont chez toi toujours excellentes.

Merci elponey !
Je le remarquais précédemment, chacun "lit" la chose de manière toute personnelle. Ta vision d'abandon me plait assez. C'est sans doute assez proche de ce que je cherchais à faire sans forcément mettre le doigt sur ce mot.
Un double merci donc !