Posté: vendredi 31 janvier 2020 - 17:24
J'ai du mal à faire une comparaison entre le traitement numérique et le tirage argentique.
Il y a de la matière physique, du corps, dans l'argentique, qui créent une relation charnelle avec celui qui tire, et qui met en éveil plusieurs sens (dont l'odorat, il y a des virages qui puent...). Il y a le temps aussi qui compte dans l'argentique, temps pour développer les pellicules (que c'est agréable de redécouvir ce qu'il y a sur les pellicules quand on les a développées !) temps pour faire les planches contacts, pour faire les bouts d'essai, pour le développement, le fixage, le rinçage, le séchage...
Le processus argentique est fait de contacts physiques, charnels, d'attente et de patience, et le tout dans le "presque" noir. Désolé mais on n'a pas ça en numérique.
Par contre,
le principal étant de savoir "lire" son image, et d'essayer de faire passer "l'émotion" qui a occasionnée le déclenchement,
c'est vraiment ça le point de convergence entre les deux techniques.
Il y a de la matière physique, du corps, dans l'argentique, qui créent une relation charnelle avec celui qui tire, et qui met en éveil plusieurs sens (dont l'odorat, il y a des virages qui puent...). Il y a le temps aussi qui compte dans l'argentique, temps pour développer les pellicules (que c'est agréable de redécouvir ce qu'il y a sur les pellicules quand on les a développées !) temps pour faire les planches contacts, pour faire les bouts d'essai, pour le développement, le fixage, le rinçage, le séchage...
Le processus argentique est fait de contacts physiques, charnels, d'attente et de patience, et le tout dans le "presque" noir. Désolé mais on n'a pas ça en numérique.
Par contre,
Richard a écrit :
un tireur ayant de l'expérience sera à même d'appréhender l'impression num, sous réserve de maîtriser la chaîne complète...le principal étant de savoir "lire" son image, et d'essayer de faire passer "l'émotion" qui a occasionnée le déclenchement,
c'est vraiment ça le point de convergence entre les deux techniques.