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bonjour
j ai mis l oeil dans un M3 recemment et j ai trouve tres tres sympa de pouvoir garder l oeil gauche (visee oeil droit) ouvert ...
j ai essaye avec mon M .72 et ca fait mal a la tete (!)

ca donne quoi avec :
- un .85
- un .72 + loupe 1.25
- un .85 + loupe 1.25

merci

Le 0.85, ne doit pas etre trop éloigné du 0.91. Pour les autres....ya peut etre un prob !

Sur mon M6 (.72) je fait la MAP avec l'oeil gauche fermé puis je cadre avec les deux ouverts.
C'est plus pratique pour évaluer le bon moment de déclenchement.

un oeil ... deux yeux

J'osais pas le dire...

pourtant on dit bien un cheval des chevals ... non ?

cela dit ca repond pas a ma question les gars !!

Encore un intello...

Summilux est un forum culturel, avant tout...

Très culturel même, car on y parle de vin, de livres, de jazz et des fois de photographie.

Moi je vise de l'oeil gauche avec un 0.58, donc je vous laisse continuer entre vous.

Grossissement ou œil directeur ?
Si je puis me permettre, malgré que j'utile un reflex, il m'arrive de viser avec les deux yeux ouverts.
Par exemple en photo de spectacle (ballet) ; cadrage relativement serré sur un(e) soliste, je guette l'entrée en scène d'un(e) partenaire.
Le cadrage étant fait au 180 mm, la différence de grossissement est énorme, mais je donne la "priorité" au viseur (œil directeur) tandis que l'autre image sert simplement à m'alerter.
Au "M", il me semble que chaque œil devrait recevoir une image de taille relativement égale (0,85) car il doit être plus difficile de donner la priorité au viseur (pour la MAP).
Mais, c'est peut-être une simple question d'œil directeur.
8)

Oskar aimait à raconter que le premier proto qu'il avait offert en 1903 à Calamity Jane (une amie d'une hippie autrichienne avec laquelle Oskar se vautrait allègrement sur les banquettes en cuir de pur buffle allemand de sa 404), Calamity Jane donc, disait de sa fucking voie rocailleuse qu'elle goutait fort de tirer d'abord et de viser ensuite.

Et je suis persuadé que nous avons à méditer, nous pauvres leicaïstes modernes et à demi-domestiqués par un matérialisme coutumier, ces belles paroles d'une femme au caractère si poilu, bien que d'un talent photographique incertain quand même.

C'est bien vrai !