Chapeau l'Artiste me dis-je en voyant la dernière oeuvre de Zekkar!

Que chacun vive la photographie comme il l'entend! L'essentiel est que cela lui permette de vivre!

Autant mes amis acheter un R6-2 d'occasion, voire un R6 . Cela se trouve.
Ils sont petits, légers et entièrement mécaniques, la seule partie électronique étant la cellule, comme sur le M6.

Je ne peux qu'être d'accord avec Alain.

C'est vrai que c'est un objectif étonnant que j'utilise depuis une paire d'années. Il me paraît difficile de faire mieux. Certains reporters photographes, vont jusqu'à l'utiliser couramment! Ce n'est pas mon cas.
Je l'utilise à la demande au cas par cas. Les résultats sont brillants!

Trés prosaïquement je dirais que proproser des échelles de prix pareils, suppose qu'il y aura des amateurs, qui ont trop d'argent ou pire, qui l'auront gagné trop facilement!

Tous mes compliments pour cet autoportrait original, bien pensé . Belle lumière,beau tirage. Bravo.

Effectivement, Alain, le terme de Micheline vient des autorails équipés de pneus Michelin, à l'instar des trains du métro parisien.
J'ai eu le privilège de les utiliser quand j'étais gamin. J'ignore en revanche la raison de leur abandon.
Je ne me risquerai pas par ailleurs, en confirmant ou en infirmant, que le 35 asphérique est moins bon en dessous de 5,6 que le 2/35 qui le précède, mais j'affirme que le premier Summicron 2/35 à 8 lentilles de 1958 à 1969 est supérieur en Noir et Blanc. Et un conseil pour les adeptes du NB: si d'aventure ils en trouvent un d'occasion, qu'ils ne le laissent pas passer! Leur numéro de série est en dessous de 2.316.000.

Utiliser des Films Noir et Blanc, implique nécessairement de faire soi-même ses développements. Les soupes standard universelles des laboratoires du commerce, ne peuvent donner que des résultats moyens voire médiocres.
Chaque type de film demande un révélateur spécifique ou le choix d'un révélateur précis, avec des temps de développement adaptés, permettant un résultat conforme aux attentes du preneur de vues. Il ne sert à rien d'avoir un matériel de prise de vues exceptionnel,de peaufiner ses réglages, si le traitement du film est baclé par la suite, par un traitement standard ne tenant pas compte des caractéristiques précises de chaque support argentique.
Ce raisonnement ne s'applique pas en revanche aux films couleurs, ne bénéficiant que de deux traitements trés précis quelque soit le laboratoire: le E6 et le C41, parfaitement adaptés aux développeuses automatiques.

Selon toute vraisemblance le parasoleil référencé sous le numéro 12549 et proposé par La Maison du Leica est celui de l'actuel 2,8/50, copie actualisée du vieil Elmar que vous possédez.
C'est une bonne alternative à laquelle je n'avais pas pensé, d'autant qu'il est petit et peu encombrant, pouvant rester à demeure sur l'objectif. Et qui plus est, vous pourrez utiliser le bouchon de l'objectif directement sur le parasoleil.
Bravo.

Hérisson,

Pour un Parisien rien n'est plus facile que de trouver un parasoleil pour un Elmar 2,8/50. Certes il faut le rechercher, car les collectionneurs s'en emparent, mais les magasins spécialisés ne manquent pas et si vous n'en trouvez pas dans une des nombreuses boutiques du Bvd Beaumarchais, ou ailleurs, Photo Suffren voire Photo Beaubourg vous en dénicheront un.
Et puis le premier dimanche de Juin vous avez la Bourse d'échanges de matériel photo à Bièvres, où en chinant vous en rencontrerez. Certes juin est loin...
Reste le prix, qui peut être relativement élevé.
Avec en outre un peu de chance, le service aprés vente de Leica en a encore dans ses tiroirs, d'autant que le modèle 12585 de l'avant dernier Summicron 2/50 convient trés bien à cet Elmar.

En outre tous les Elmar sont excellents, singulièrement en N et B où ils sont irremplaçables. L'Elmar 3,5/50 traité ( échelle rouge ) n'a pas grand chose à envier au Summicron et le surpasse même en N et B. N'oublions pas que c'est ce 4 lentilles, étalon incontesté de contraste et de définition, qui a fait la réputation de Leica, toujours en N et B !

Bonne chasse au parasoleil!

L'Elmar 2,8/50 n'a existé qu'en monture rentrante, et il était traité multicouches. Les premiers traitements des lentilles par Leitz ont commencé en 1946. Si celui de notre ami Hérisson ne l'est pas, c'est que certains réparateurs indépendants repolissaient ( et repolissent encore ) les lentilles pour différentes raisons, et qu'ils ne pouvaient pas les traiter à nouveau, ce traitement se faisant sous vide, en usine.
Et je suis entièrement d'accord avec Bernard, les objectifs doivent être munis en permanence de leur parasoleil, l'usage du carton tenu en complément par une tierce personne, évitant ce halo dans certaines situations limites.
Il est impossible de repérer ce phénomène dans un viseur de M. En revanche, la visée réflexe permet lors d'une prise de vue en contre jour, de le repérer, quand la protection de la lentille frontale par le parasoleil est insuffisante. Le traitement multicouches dans ce cas extrême étant inopérant. Et je ne pense pas que le polarisant puisse supprimer l'action néfaste des rayons directement sur la lentille frontale. L'atténuer peut-être? C'est à voir.
En fait, traitement ou pas il faut veiller à ne pas avoir de rayons parasites sur la lentille frontale.
Voilà ce que je crois savoir.
Hérisson devrait prendre de nouvelles vues en contre jour, avec un parasoleil, et demander à un aide de vérifier avant de déclencher, si la lentille frontale de son vieil Elmar est entièrement protégée.

Amitiés à tous.

Excédé par le temps perdu, le sentiment de ne jamais "être dedans" avec la mise au point manuelle, j'ai fini cet été par me séparer de mon R8 et de ses optiques, pour acquérir l'équivalent en Nikon ( F 100 ). Et je suis loin de le regretter. Quel confort lors des prises de vues!
Et sans entrer dans une polémique stérile, je n'ai de plus aucune action Leica, il est évident, criant, que le système R quelque soit ses qualités, est boudé du fait de l'absence d'autofocus.
C'est un progrés indéniable que Leica n'a pas su ou pu intégrer à son matériel et dont l'absence lui coûte trés cher, et risque à terme de compromettre son existence. A tort ou à raison, mais le fait est là! Et tant mieux pour ceux pour qui la mise au point manuelle ne pose aucun problème, car ce matériel est excellent.
En revanche, je reste un inconditionnel du M, pour son confort d'utilisation, sa discrétion,sa rapidité de mise en oeuvre, la qualité des clichés obtenus. Et malgré ses défauts, car il en a!

Bravo Juan Carlos!

Votre photo est splendide et me conforte dans un de mes projets d'aller un jour en Patagonie!
Serai-je capable de faire d'aussi belles photos? Ceci est une autre histoire.

Vous me donnez en plus des arguments complémentaires pour défendre l'intérêt de la focale 135 dans la prise de vue de paysage.

Saludos y Felicidades!