Je n’avais jamais clôturé mon fil...
Ce Ma dont je parle si bien, je l’ai vendu apres je pense 6 - 8 mois.
Pour deux raisons:
La premiere c’est qu’apres la periode du coup de foudre, j’ai eu une petite difficulté a justifier son prix par rapport au M4-2 que j’avais eu avant.
Non pas qu’il ne vale pas son prix, puisqu’il est neuf, mais j’avoue mettre aussi une plus valu aux objet vintage, et mon M4-2 de 1979, celui qui a sauvé Leica, sa patine, me manquait.
J’ai aussi eu un peu peur d’abimer ce boitier neuf, alors que d’ordinaire je trimbale sans précaution particulière mes M sur moi.
Enfin, trois details ne m’ont pas vraiment convaincue par rapport au M4-2 : la vitre affleurante du télémètre, prone a prendre les traces de doigts, le bouton de rembobinage, desagreable a l’usage et peu rapide par rapport a la petite poigné a 45 degree, et enfin le levier d’armement monobloc, beaucoup moins pratique que celui en deux parties.
Bref , j’ai racheté un M4-2 de 1979, je l’ai fait revisé chez photo suffren, et j’ai retrouvé la paix.

Quand je vois une photo de Ma j’avoue avoir un petit pincement, mais c’est mon coté fétichiste qui m’a souvent joué des tours avec Leica.
Depuis, j’ai un nouveau projet M dont je vous parlerai...un retour a mes amours de debut, mais c’est une autre histoire.

Il existe tout comme sangle. J’avoue que sur le M7 , après des dizaines de sangles exotiques, Luigi, traissé, à main, etc, etc…. j’avais finalement remis la sangle d’origine en nylon, juste parfaite.
Pour mon M-4-2, sachant qu’il n’a pas de protection plastique sur les côtés, j’ai mis la sangle en cuir LEICA, elle est fine, réglable , fiable, jolie, avec des anneaux qualitatif et un système de teton pour le réglage extrêmement bien pensé et totalement discrete.
5 ans après elle n’a pas bougé.

Helas je ne suis plus jeune a 55 ans mais mes enfants sont aussi plongé dans l’argentique.
En tant qu’amateur je n’ai jamais déclanché plus de 300 a 400 fois par an, et la question du cout des M numerique, la chaine complete de traitement, les sauvegardes, des batteries, apres avoir eu les M8, M9, M240 ,Md m’ont fait réfléchir.
Le retour à l’argentique a été libérateur, le Md m’ayant libéré de ce satané ecran qui coupe la relation au sujet.
Mais je ne suis pas pro, je n’ai pas d’exigence qualitative, pas de client, pas de sujet à traiter obligatoirement.
Donc rien a voir.
Je connais néanmoins une pro personnellement qui use de l’argentique, sophie Ebrard, elle a trouvé sa patte, et semble tres bien réussir puisque pas mal de ses campagnes sont tres connus, meme cette semaine dans tout paris.
Alors je suis heureux de ne pas complètement out avec mon boitier de 79 !

oui il y en as du bazard sous le capot de ces M numérique … mais le bazard mécanique était pas mal non plus sur les M argentiques… et depuis que j’ai analysé techniquement les polaroïds SX70, j’ai compris qu’une bonne lectroniqie pouvait être aussi fiable dans le temps qu’une mécanique.
Le leica monochrome… j’en ai rêvé , j’ai eu l’immense plaisir d’avoir un Md ( sans ecran) avec lequel je ne faisait que du noir et blanc, et j’ai rêvé d’un M10 noir et blanc sans écran …avant que le virus de l’argentique ne me fasse une troisième piqûre de rappel .
Alors mon M monochrome sans écran, c’est un M4-2 et un M7…

je ne suis pas un specialiste de la construction du M10 mais il semble au vu de la photo ci dessus extraite de la video sur l’usine Leica que la griffe porte flash soit maintenu par quatre visses.

Sur ton appareil on peux imaginer que celle ci aient étés oublié.... evidement, on peux imaginer que la nappe inférieure a pris un coup...
ca va chauffer a l’usine

ref: https://petapixel.com/2017/09/11/leica-m10-made/

je l’ai déjà dit je suis passé du M4-2 au M-a au M4-2. La comparaison est injuste pour le M-a….les produits leica résistent particulièrement au temps qui passe, et mes M4-2 de 1979 semblait quasi contemporain à mon M-a de 2019…40 ans!
Allez comparer une peugeot 504 à une peugeot d’aujourd’hui !
A l’usage aujourd’hui les deux boîtiers se valent, même si le Ma a quelques finitions plus luxueuses …
Mais qui ose comparer l’incomparable.
Quand j’ai acheté mon Ma neuf j’ai posé mon M4-2 a coté, chez Leica, et l’achat était évident, le gain psychologique d’une limpidité absolue: j’acheté un Leica M4-2 neuf, j’étais dans une machine à remonter le temps en 1979, j’avais le même frisson que ce propriétaire inconnu qui a déballé mon vieux M4-2.
je vend donc mon M4-2 ( modifié avec un levier de Mp comme le Ma et un dos M5)
De retour d’afrique, a l’usage du Ma, ce frisson d’achat s’était estompé… je faisais attention à mon boîtier NEUF .

Et je ne ressentais plus rien de plus que le M4-2, c’était le même… juste plus cher…
Un M4-2 passe en annonce et je craque, histoire de récupérer ma mise…

Deux ans après je ne sais plus…. tout ceci n’est pas objectif, le Ma est toujours aussi beau, et le M4-2 est toujours un Ma en beaucoup moins cher…. à chacun son voyage intérieur .
Je crois que Voltaire avait dit à un noble qui se moquais de ses origines roturière :


«  vous êtes un descendant, moi je suis un ancêtre »

Voilà toute la problématique de ces deux boîtiers .

bonjour jean philippe,
j’ai regardé avec attention ta video sur les posemetres ( je ne connaissais pas ta chaine) et j’avoue y avoir appris de nombreuses choses, merci et bravo.
je remets ton lien, qui mérite d’être partagé, et qui mènera chacun a bien d’autre videos que tu a réalisé.

https://youtu.be/50gL_jRDiPc les posemetres.

je rajoute deux petites informations personnelles :

1) Je ne crois pas que nos grands parents dominaient vraiment l’exposition a l’oeil, car celui ci est un grand menteur, bien incapable d’evaluer la hauteur du soleil en fonction des saisons, l’iris étant automatique.
Je met en bas quelques regles a calculer, materiel qui prouve bien que la problématique était connue, et qu’elle n’a commencé a etre resolu qu’avec l’apparition du selenium, ce que tu explique parfaitement.

2) J’ai eu comme toi une grande quantité de posemetre, flashmetre, spot metre, de la weston aux minoltas moderne. Je n’ai gardé que ce qui correspond a mon usage, le spotmetre pentax digital, modifié avec son échellede gris moyen qui me servait en chambre et qui est le compagnon de mon hasselblad 500.
et...

la sekonik Twinmate L208.... oui , celle fabriqué par le stagiaire
Parceque comme tu l’a dit, “coco, tu nous picore l’aorte pour rien”....elle est peu precise? elle a une parallax ? certainement un peu, mais l’objet a trouvé avec moi et mon M argentique une symbiose que d’autre n’ont pas trouvés.
Elle est le compagnon ideal de mon M4-2, je la caresse dans ma poche, et quand je mesure, elle m’en dit assez pour le noir et blanc que je fait.
La petite digisix, aussi precise soit elle, m’a trahi de nombreuse fois ( j’ai eu aussi la digiflash)....
l’une a decidé de casser son anneau de retenu, comme la chevre de Mr Seguin, et les deux mangeaient mes piles lorsque j’avais le dos tournée comme tu le dit si bien.
Bien sur on peut enlever la pile, et tout pro a un double dans sa besace.
Mais je ne suis pas un professionnel, et de besace, je n’en ai point. juste le contact du metal des M sur mon torse rebondi
Alors je reste fidèle à ma bonne vielle sekonic, pas la plus belle de la ville, pas la plus lumineuse d’intelligence, pas la plus “slim” , mais ses grosses hanches et sa fidélité me siet depuis 10 ans.

Chaque pot à son couvercle et merci encore pour la communauté photographique, tes videos sont excellentes.

mon bebe, la twinmate, puis le posemetre que j’utilise avec son echelle modifié en zone systeme, et les calculatrices de poche qui prouvent que le f16 est helas une approximation peu utilisable....la dernière un peu exagérément ( astrophotography).





Nikon D800


SIGMA SD9

bravo pour votre achat. Un leica qui a été revisé et netoyé est une garanti d’avoir un viseur limpide, un telemetre calé sur les deux axes, des vitesses qui ne colle pas, une mécanique fluide… bref un outil qui va fonctionner 3 a 5 ans les yeux fermé et plus si on prend soin de le declan her régulièrement et de lui éviter la poussière.
On gagne aussi 300 à 500 euro de révision et plusieurs mois d’immobilisation.
Vous voici au début d’une aventure.
n’oubliez pas la petite cellule dont je vous ai parlé plus haut , dans la poche.
( je ne vous conseil pas une cellule sur la griffe, faite plutôt en extérieur de la lumière incidente).
Soyez patient , portée votre leica le plus souvent possible, et le miracle viendra en deux trois rouleau…

le m4-p est très bien aussi. Les marquages et la pastille rouge signe dur la partie centrale de ce boîtier le signe. Question de choix.
Rappelons ce qui rendais ces boîtiers M4 , M4-2, M4 P extrêmement attrayant pour les pro par rapport aux M2/M3 : le Chargement rapide sans avoir à retirer la « canette » et le rembobinage rapide a 45 dégrée , le levier d’armement rapide.

Le M6 reprend ses qualités avec une cellule interne en lumiere réfléchi pondèré, bien utile pour la couleur et surtout les diapos.
C’est donc la pellicule couleur et surtout la diapo qui a signé la fin de ces boîtier tout meca.

un objectif ça suffit au début… en argentique l’aptique sera plus importante que le reste.
si votre budget est limité, et que vous avez le biogon, essayée le…. puis essayez un 7 artisan 35/f2 a 250-300 euro…
juste pour l’ergot…et la vous pourrez voir si ça l’aptique M vous convient… alors, vous revendez les deux sans grande perte pour un summicron d’ocase…
mais donnez vous le temps…. une collection d’objectif ne sert à rien.
le M est un appareil portable qui se vie avec un seul objectif… on est soit 50, soit 35, soit 28.

concernant le M4 et le M4-2, à mon époque pas si lointaine mais différence de prix était aussi énorme que les années qui séparait la disparitions de ce classique et sa réapparition .
les puristes vous dirons que le M4 est plus solide…
Ce que je sais c’est qu’il y a eu plusieurs série de m4-2.
celle que j’utilise ( la première série) est extrêmement robuste car conçu pour une motorisation.
Mais il y a eu quelques variation de qualité ensuite…
Aujourd’hui tous ces boîtiers ont eu plusieurs révisions ( indispensable) donc je pense que le risque n’est pas la.
La passion a le droit de vous guider si la différence de prix est pour vous acceptable sachant qu’une revente gardera l’ecart entre les modèles.
mais est-ce un M4 noir ?
Pensez aussi que seul VOTRE expérience répondra à VOS aspirations.
Maintenant pour un premier M, je maintiens que l’on ne peux pas savoir à l’avance la relation que l’on aura… objet surprotègé ou boîtier tank que l’on peux trimbaler partout, sans protection, sans cache objectif ou lentille UV.
Mon M m’accompagne partout, toujours armé et en bandoulière prêt à faire feu. comme une arme.
Il est posé à côté de mon café du matin , il respire avec moi sous mon manteau en hivers et écoute mes ronflements sur la table de nuit.
Son telemetre est netoyé au poil par photo suffren ( enlever le fogging et calibrage) et même si il est siglé Leitz, c’est le plus fantastique des M car c’est celui que j’ai finalement choisi pour ses qualités , ses défaut et son prix.

Enfin ( j’avais parlé du M7) … en noir et blanc se libérer de la cellule, c’est monter quatre à quatre l’escalier de la belle ouvrage photographique, c’est se libérer de l’accessoire pour se concentrer sur sa mise au point puis son cadrage.

C’est comprendre que la lumière est la même , qu’elle éclaire une voiture blanche ou une voiture noir, que le soleil est la haut et qu’une fois qu’on a mesuré son incidence à travers les nuages, il ne bougera que de 15 degree d’inclinaison dans l’heure suivante, qu’une rue sombre est sombre, qu’une rue clair est clair, et que ma fois la gélatine argentique a bien de plus de latitude de pardon que sa petite sœur numérique.
Et tellement de poésie dans un contre jour noir et blanc…
Alors un conseil, débarrassez vous de votre reflex pour vérifier, bien trop lourd, mettez dans votre poche une petite sekonik comme je dis plus haut, oubliez les règles du f16, vous comprendrez vite la méthode…. comme disait les anciens : f8 and be there…. 500 en plein soleil, 250 sous le store, 125 dans la boutique, 60 au restau, 30 dans la chambre… la trix ou la tmax est notre amie…
Développez vous même, avec un peu de contrast, mais pas trop.
Et maintenant on récupère tellement au Scan…

les prix sont effectivement devenu fou, ou notre euro sans aucune valeur.
il y a deux ans j’ai acheté un M4-2 pour 500 euro et le second 700, ce qui pour moi était un prix honnête .
Pour le Ma, il est évident que pour la partie mécanique, il vient directement du MP, mais le diable se situant dans les détails, c’est bien son cuir, ses cadres, sa pastille arrière et sa griffe porte flash noir qui fait son caractère unique.
après avoir vendu un m4-2 pour un Ma, l’avoir trimbalé 6 mois un peu partout jusqu’au bout de l’afrique je l’ai revendu pour un autre M4-2 n’arrivant pas à justifier totalement la différence de prix à l’usage.
je devais y faire attention et j’ai horreur de faire trop attention à mes boîtiers .

Mais chaque fois que j’en vois un j’ai un petit pincement.
Enfin et c’est très personnel, pour moi un Ma s’achète neuf, car à quoi bon chercher le graal neuf ultime si quelqu’un à utilisé celui ci avant vous… une grosse partit de ma jouissance Ma est venu de ce moment unique en argentique.
je croyais à la fin de mon voyage ( plusieurs dizaine de M)….
et pis tout lasse….je suis redevenu photographe en M, avec un vieux M4-2, aux marquages exotiques.

le Biogon est un super petit objectif très qualitatif, son seul défaut, le minuscule ergot qui ne permet pas de jouir de ce qu’est un M telemetrique, une mise au point rapide , intuitive, ou le doigt a sa place… bref l’ergot leica, repris par 7 artisans aussi … faut que je developpe les résultats de cet ovni chinois…avant d’en parler…

je me permet d’intervenir, en partageant mon expérience personnelle, avec tout ce qu’elle a de subjectif, mais de bien réel.
Tout d’abord il est une question simple : veux tu faire du noir et blanc ou de la couleur, car à moins d’avoir envie de quelques surprise, si tu penche pour la couleur je ne pourrai que te conseiller le M7 dont la précision sur la cellule et le mode A te rendra de très très grand service en terme de précision de la mesure et de la vitesse, indispensable pour ce type de pellicule.
En noir et blanc tu as plus de choix, car avec un peu d’expérience , tu t’apercevras que la mesure de lumière réfléchi ( interne) n’est ni la plus fiable, ni la plus précise, ni la plus poétique .
une petite cellule dans la poche, comme l’incroyable petite sekonic 208, et te voilà avec trois mesure d’incidence dans ta journée plus libre que n’importe quel de tes congénère à la mesure matricielle .

Bon je continue pour le noir et blanc, je crois que j’ai eu plus de 20 M, et j’ose dire que j’ai fait le tour de la question sur plus de 25 ans.

d’abord la couleur du boîtier : discret et invisible en noir ou vintage en argenté ? c’est une vrais frontière.

Si tu as les moyens, tu es précautionneux et tu aspire à un graal le M-A a de forte qualité dont l’absence de coût d’entretien, un boîtier recouvert de cuir et le plaisir du dernier des M.
Un seul défaut, comme le M7 et les M numériques, une vitre a fleur de boîtier qui prend les traces de doigts.

ensuite viennent les M6/Mp …. même technologie entre puriste ( MP) , le levier d’armement en métal et le bitoniot ridicule pour rembobiner la pellicule ( hélas repris sur le Ma) et le M6 grand public, en zinc , avec sa cellule interne .

puis on attaque le dur, et pour moi le meilleur:
le M4-2 un boîtier aux engrenage solide ( les premier moteur) au telemetre ultra clair, avec déjà le levier d’armement mixte et le levier de rem bobinage du du M6/M7 .
Une merveille de solidité , celui qui coûte le moins, qu’on peux utiliser sans peur, et qui pour moi est tout en haut de la pyramide .

son grand frère, le M4 , a hélas pour moi le défaut du prix par rapport à son âge, je n’en ai jamais vu l’intérêt pour un photographe du XXI eme siècle, hormis le plaisir du bel objet.

Enfin les ancêtres, le M3 plein de charme, inadapté au 35, au telemetre irréparable si il se décole ( un des plus clair de la série avec le M2) et au look trop rétro à mon goût.

le M2, le vrais M, le premier , enfant caché sortit après, avant que l’équipe design ne l’enlaidisse en M3.
plein de charme, mais embêtant à charger et avec un compte vue un peu bricolage…
Il reste quand même mon deuxième préféré .

Évidement MON avis n’est que le mien et chacun le critiquera .
alors:
plaisir absolue avec un Ma ? et tant pis pour les sous?
M raisonnable et pro comme nos idoles avec le M4-2?
M grand public pour la couleur avec le M6?
M ultime et précis avec le M7?
M historique avec le M2 et ses contraintes?
M des M avec le M3 et ses défauts ?

reste quelques collectors inutiles, le M6J et son viseur sombre, les M d’étagères en diverses matières….

Mon histoires d’amour et de photo avec les M m’a permis de tous les posséder … même les numériques. il me reste un M4-2 , c’est mon outil, vous l’avez compris, et je regrette un petit peu mon M-a , ma danseuse, si jolie.

Pour le 35, plein de choix et un incontournable si vous êtes du genre comme moi: le M en bandoulière, tous les jours sans protection, et posé dans le vide poche de la portière de la voiture ou le top case dela moto:
Le summicron Iv et son par soleil en plastoc….
parfait pour l’argentique, et qui peux prendre des coups grâce à ce par soleil, oh merveilleuse invention de Leica quand ils étaient encore des instruments , des instrument pour des photographes…

PS: A chacun son M et son objectif . j’ai eu 5 M7, 3 M4 et une quantité infini de 35mm… j’ai eu tous les 35 leica, passé deux ans avec un objectif LOMO LCA pour M, j’ai eu les objectif japonais les plus expérimentaux et j’ai actuellement un 35 de 7 artisans.
Le voyage est aussi agréable que la destination .
Mais il faut bien commencer par un premier pas, alors voilà mon choix:

M4-2 et summicron IV pour le téméraire
M7 et summicron IV pour le courageux
Ma et summarit 35 pour l’amateur de belle ouvrage fortuné

le Gr etait un excellent appareil, extrêmement compact avec un objectif qualitatif, mais hélas comme beaucoup de ses compagnons de l’époque, les contax, et même les minox, la fragilité de certaine de leur pièces électronique et la totale impossibilité de les réparer peut vite transformer ces bijoux en objet coûteux et inutile sur votre bureau, contrairement au M qui possède encore quelques spécialistes pour les entretenir.