oui, c'est ce que j'utilise, les Atlantis. Mais comme je range mes tirages dedans insérés dans des pochettes en Pergamin, je me fais du soucis car l'ensemble n'est pas coherent, du moins à ce qu'il me semble.

Merci pour l'information, mais qu'en est-il du papier cristal "Pergamin" pour ranger des tirages jet d'encre à long terme? Quelqu'un sait ce qui entre dans la composition de ce papier, et son caractère acidifiant par rapport à, par exemple, un carton certifié "sans acide" chez Hahnemühle, Atlantic, etc.?

A propos de papier cristal, Prophot sur son site web mentionne que les pochettes en papier cristal Panodia "Pergamine" (entre autres) sont "non traitées sans acide".
https://www.materiel-photo-pro.com/arch ... -100p.html
Est-ce que cela veut dire qu'il faut éviter ce papier pour l'archivage des tirages photo? Quelqu'un a l'expérience de la conservation de tirages jet d'encre enveloppés dans ce genre de papier?

J'ai acheté une SC-P600 dès sa sortie en avril, pour upgrader ma R3000 que j'avais depuis ~4 ans, sans aucun pépin. Je savais que le fonctionnement et le résultat étaient les mêmes pour le N&B, mais je me suis dit qu'avec l'expérience Epson avait du améliorer la fiabilité. Evidemment, elle est tombée en panne en septembre, et il a fallu changer la pièce contenant les buses car celle du N&B était définitivement bouchée. Le problème s'est passé lors d'un changement d'encre matte => "photo" lors d'une fausse manoeuvre que je n'ai pas encore comprise. Le bouchage a probablement été causé par la mise en service de l'encre "photo" pour la première fois. Je fais marcher toutes les têtes au moins une fois par semaine, mais j'étais resté sur mat depuis le début. J'ai déposé l'imprimante chez Maintronic qui est recommandé par Epson, et la reparation a été effectuée en ~10 jours avec du personnel disponible & amable. je n'ai rien eu à payer. Tout marche bien depuis.
Au point de vue performance je la trouve excellente en N&B, qui constitue l'essentiel pour mes tirages.
je pense qu'il est important de la faire fonctionner régulièrement, car si je la laissse un peu plus que 1 semaine sans marcher, elle se met à mouliner je ne sais quoi dans sa mécanique avant de commencer l'impression, en fait je suspecte qu'elle fait un nettoyage de buse de sa propre initiative.
Les papiers épais se chargent mieux qu'avec le modèle precedent
Au total un bon choix que je ne regrette pas.

rarissime, oui, mais maintenant ce n'est plus Kodak..

J'ai observé un défaut bizarre sur un film Tmax 100 que je venais de développer moi-même: sur la partie brillante (pas l'émulsion), une suite de taches d'une sorte de colle, espacées d'environ 3-5 cm, toutes de la même forme (environ 5mm, allongée), toutes à la même position par rapport aux bords (~milieu), et disparaissant vers la fin du film (dernières photos). Le produit était insoluble dans l'eau (ou très peu soluble), et - heureusement - soluble dans le Photo-Flo pur. J'ai regardé partout dans la spirale, l'appareil (F3), absolument rien à signaler, et de toutes façons il n'y a jamais dans toute cette chaîne quelque chose qui frotte de façon répétitive à cet endroit. On aurait dit qu'un galet de circonférence 3-5cm contaminé par une tache de ..colle? avait roulé sur toute la longueur du film.
Je n'ai jamais vu ça, et je ne l'ai pas revu après ce développement avec des films du même lot (expiration: 03/2016 1281, sur la cartouche 110794).
Ma conclusion est qu’il y a eu un incident limité en cours de production. Quelqu’un a déjà vu ça?

C'est curieux le quasi alignement des taches, et leur espacement assez régulier. Est-ce qu'on retrouve le même alignement/espacement sur les autres photos qui ont un problème?

Peut-être utile pour les utilisateurs de scanner de film Coolscan Nikon, que Nikon France a décidé d'ignorer avec désinvolture, pour ne pas dire pire.
J'ai demandé par e-mail à plusieurs établissements Nikon en EUrope si ils pouvaient assurer le ~CLA qui est recommandé périodiquement dans la notice de mon 5000ED: Francfort, Cologne, Dusseldorf, Munich, Bruxelles (Procirep), Suisse, Londres ("Fixation Ltd"). J'ai reçu une réponse positive de Dusseldorf, Munich et Londres. Une réponse négative de Cologne, Francfort, Bruxelles, et pas de réponse de la Suisse.
J'ai en voyé mon scanner à Dusseldorf, après un dialogue facile avec leur service client (mais en anglais): Nikon GmbH, Service Tiefenbroicher Weg 25 40472 Düsseldorf .
Il a été reçu le 15 juillet, le même jour j'ai reçu un devis pour 143E incluant le prix du retour. je l'ai accepté le soir-même. Le 17 au matin le travail a été terminé que j'ai aussitôt payé par paypal. Le 17 après-midi il a été expédié. Il est de retour et marche très bien, il y a même eu une mise à jour du firmware (1.02 => 1.03) que Nikon n'avait jamais mentionné sur son site, et dont je n'avais pas eu notification malgré l'enregistrement de l'appareil.
Donc ça semble facile à faire, pourquoi faut-il aller en Allemagne pour ça?
Un point particulier pour les expéditions: j'ai utilisé DHL pour l'envoi au prix de ~125E (pour ~4kg), sans aucun problème. Mais le retour quasi gratuit (10E) par DPD sous contrat avec Nikon Dusseldorf pour l'étranger a duré une semaine, avec de multiples manipulations, et sans contact compétent: donc à éviter.

à mon humble avis...non. Plus on met d'intermédiaires entre le film (on parle bien de ça?) et le sujet, plus on introduit de distorsions.
En fait, tout dépend de ce que l'on cherche, des détails fins contrastés et naturels, ou des ~effets.
Il y a aussi un problème trivial, c'est que plus on change de filtre, ou plus généralement plus on agite des objets devant l'objectif, plus on court de risque de détériorer quelque chose (lentille frontale, filtre,).
Bien sur, pour la photo du siècle, il ne faut pas hésiter; mais pour le tout venant, il vaut mieux avoir une configuration minimale par défaut. Pour moi, c'est le jaune léger, ça donne un poil d'assombrissement dans le ciel, et pour le reste c'est affaire d'éclairage et de réglage de l'histogramme après le scan (si scan il y a).

Mais donc ce sont des 16 bits avec en réalité une information 12 bits?

" on n'est pas obligé de toutes les utiliser", exact, mais pour ajuster les contrastes sans cassures en post-processing, , c'est mieux .

Nicolas, ces images sont en 16 bits gris, alors que, d'après ce que j'ai compris dans des posts précédents, elles sortent de l'appareil en 12 bits. Quelles transformations ont-elles subi, notamment en terme d'ajustement du contraste?

Même opinion que précédemment, je l'utilise avec mon F3 qu'il rend relativement discret. Bonne impression de solidité, bon piqué, pare-soleil très pratique car il peut rester à demeure, (le capuchon d'objectif se place dessus).
Exemple: http://photo.net/photodb/photo?photo_id ... 76&size=lg

ok, donc, si je comprends bien, le système fournit une image 12 bits dont la qualité est quasi-identique à celle de sa source, qui est 14 bits. C'est rassurant sur la logique commerciale de Leica... Reste que la capacité d'une telle image MM246 à être ultérieurement ~ajustée pour tirage est inférieure à celle d'une image de son prédécesseur (plus de cassures dans l'histogramme). Bon, je suis peut être un peu trop sensible à ce défaut car je fais couramment des ajustements (contraste, courbe de l'histogramme) sur des fichiers 16 bits N&B, et il y a jamais un seul cheveu qui dépasse.
Si, pour un tel concept N&B, Leica avait privilégié la qualité des images (=> 16b) sur la possibilité de mitrailler, j'aurais été très proche d'un achat. A ce stade je vais continuer à réfléchir.

Soit..., mais ce serait bien que Leica clarifie formellement ce point. Notamment, pour une même image, est-ce qu'on obtient au moins autant d'information avec le 246 qu'avec sa version précédente?

Ca me semble être une erreur. Comme le montre alex7075 page 12, le MM ancien (donc 14 bits) donne des fichiers DNG non compressés de 36MB avec 18Mpix., alors que le nouveau (246), avec plus de pixels (24Mpix) donne des fichiers de poids inférieur (34.5MB).