Dali : j'entend bien votre très grande maitrise du développement argentique, je développe aussi moi même sans doute avec bien moins de talent que vous. Mais cuisine ou non vous n'empêcherez pas que la large majorités des gens vont dans des labos pros, de même que vous ne changerez pas le caractère d'un film plutôt qu'un autre. Cette majorité a donc des résultats similaires aux quatre exemples exposés, des résultats standards fabriquant. De fait, nous pouvons nous permettre de généraliser sur tel ou tel rendu de film.

Quand bien même mes propos étaient faux, alors je vous retourne la question : quel intérêt d'acheter une émulsion plutôt qu'une autre ?

Concernant la température et la qualité de l'eau (déminéralisé de préférence) nous sommes d'accords.

Cependant le sujet initial était : "passer de la Tri-X à la HP5+". Je persiste et signe ! Oui c'est moins cher mais non ce n'est pas le même rendu. La structure du grain, le contraste et la plage dynamique sont différentes.

C'est drôle parce que, pour moi, et au vu du test figurant sur le lien d'Alexeï, c'est plutôt la TriX qui s'en sortirait mieux.
La HP5, comme sa petite soeur FP4 me parait un peu "plate".
Me trompé-je ?

Merci Piga pour tes réponses mes deux sujets. En effet je cherche un papier au ton légèrement chaud, donc le warmtone avec du multigrade me semble pas mal. Autre question, quelle peut être l'impact pour un papier d'avoir une date dépassée ? Fred

C'est à dire quel prix ?
Il sera à développer en E-6 comme son prédécesseur a priori.

Je voulais juste dire que l’homme est devenu une véritable entreprise, tentant de concevoir des œuvres monumentales qui dénaturent les rapports avec le sujet. Tout devient alors “too much”. Du traitement jusqu’à l’esthétisation poussée à l’extrème, les images perdent tout naturel, un comble pour les sujets qu’il veut traiter. C’est ce qui me fait penser qu’il s’est perdu quelque part !
Mais je ne demande à personne de partager mon point de vue...

Stéph.

Certes, mais au-delà des qualités (ou défauts pour certains) intrinsèques des images produites, tout le plaisir (irrationnel ?!?) que peut procurer ce tout petit Summaron réside en fait dans son utilisation.