Ca fait du bien par les temps qui courent


Merci pour cet avis. Je débute avec une cellule à main ; mais, c'est bien cette utilisation qui me semblait appropriée.

Amicalement
Bernard

Complètement d'accord Ceci dit, j'ai hésité à faire confiance à la mesure en réfléchi, ne sachant pas trop sur quel angle elle fait la mesure...

Le coup du bouchon devant l'objectif, c'est la faute au reflex qui donne de mauvaises habitudes

A+
Bernard

Bonjour à tous

Je cherche un cron 35/2 pré-asphérique, pour équiper le M4-P.
Merci d'avance de vos propositions.

Amicalement
Bernard

Oui, en effet, et pas de problème de piles avec ! Dans ton test, tu l'as utilisée en mesure incidente ou réfléchie ? Je suis d'accord, le color finder n'est pas d'une grande précision. Ceci dit, cette cellule était plutôt bien pensée pour l'époque.

Je suis sorti ce WE avec le M4-P et cette Gossen Sixtomat, et, suivant les conseils qu'on m'a donnés sur Summilux.net, le D300 en tout manuel pour avoir un contrôle immédiat.

Globalement pas de difficulté avec le M4, à part en mise au point rapprochée (photo floue : distance inf. à la map mini du 50 Summarit ou manque de fiabilité du télémètre en courte distance ?).
Faudra tout de même veiller à la tenue du boîtier : dur de faire la mise au point si on met un doigt devant la fenêtre du télémètre

Côté exposition, j'ai surtout mesuré la lumière incidente. L'écart d'1EV remarqué lors d'un test rapide a été corrigé en "trichant" sur la sensibilité du film sur la cellule (200 ASA au lieu de 400 ) ; c'était facile, mais s'il y a besoin d'affiner j'utiliserai la vis de réglage comme tu le suggères. Ca me semble pas mal comme résultat : l'histogramme sur le D300 était bien calé à chaque fois ; et, à l'examen au compte-fils pour l'instant, les négas N&B exposés avec le M4-P me semblent bien équilibrés (à part une photo prise avec le bouchon sur l'objectif ). A confirmer au tirage ou au scan.

Je vais de ce pas commander de la Tri-X et du D-76, et essayer la méthode à Jules, que je viens de découvrir

Amicalement
Bernard

Un boîtier avec cellule fonctionne en lumière réfléchie ; autrement dit, l'indication donnée par la cellule dépend de la lumière réfléchie par le sujet que tu photographies. C'est précis quand le sujet réfléchit la lumière comme un gris neutre à 18%. Si ce n'est pas le cas, il faut corriger la valeur donnée par la cellule.

Avec une cellule à main, donc extérieure au boîtier, tu peux faire une mesure de lumière incidente ; autrement dit, tu mesures la lumière qui arrive sur ton sujet. La valeur indiquée ne dépend plus du sujet. Tant que la lumière ne varie pas et tant que les sujets photographiés sont éclairés par la lumière que tu as mesurée, tu conserves le même réglage sur ton boîtier, sans te préoccuper du sujet. C'est plus facile à faire qu'à expliquer

Bienvenue didouj sur ce forum bien sympathique !

Comme toi, je débute en Leica et en télémétrique, après être utilisateur de reflex Nikon argentiques depuis longtemps et numérique depuis un an. Je me suis posé les mêmes questions que toi...

Après avoir hésité entre un Leica M avec cellule et un sans cellule, j'ai finalement opté pour un appareil entièrement mécanique et entièrement manuel, un M4-P.

Bien qu'ayant peu de recul pour le moment, je suis agréablement surpris par l'emploi d'une cellule à main en lumière incidente (une vieille Gossen au sélénium à peine plus grosse qu'un porte-monnaie dans la poche). C'est rapide ; pas de stress : un coup d'oeil de temps en temps pour vérifier la lumière (qui ne change pas si souvent que ça). J'arrive même à avoir un histogramme sur le D300 en manuel mieux calé avec les indications données par cette cellule, qu'en multi-zones.

Pour les optiques, je n'ai pas encore d'avis. Mais, pour ce qui est de la focale, c'est à toi de décider en fonction des photos que tu veux faire. Personnellement, j'aime bien le champ du 35 qui permet de placer le sujet dans son contexte ; le 50 resserre un peu le sujet.

Pour résumer, tout dépend du budget que tu veux mettre. Puisque tu envisages de passer au Leica numérique plus tard, peut-être vaut-il mieux dans ton cas un boîtier pas trop cher (donc plutôt M4-P, M4-2, M3 ou M2) et plutôt investir dans les optiques.

Amicalement
Bernard

La difficulté, je crains, c'est le traitement des films et le tirage. Pour le N&B, on peut maîtriser la chaîne soi-même assez facilement. Pour la couleur, c'est plus difficile, à part passer par les labos pro au moins pour le développement des films, puis les scanner et les imprimer ; mais, là, on a déjà un doigt dans le numérique.

Amicalement
Bernard

Pas mal, en effet. As-tu aussi le Color finder à l'arrière pour évaluer la température de couleur ? Reste à valider la justesse de la mesure d'exposition. As-tu corrélée la tienne avec une autre dont tu es sûr ?


Un autre bijou : le Leica M4-P, entre mes mains depuis cet après-midi et dont je vais m'efforcer de poursuivre l'histoire à partir de maintenant.
Premières impressions : il est beau, malgré son âge ; un peu lourd avec le Summarit, mais ça a quelque chose de rassurant ; le viseur est grand et lumineux ; la mise au point avec le télémètre, facile et rapide ; le chargement du film, un coup de main à prendre
Y'a plus qu'à appuyer sur le déclencheur ; vendredi pour pouvoir se balader tranquillement.

Amicalement
Bernard

Tout à fait d'accord avec ce qui a été dit plus haut : vis ta vie maintenant, sans attendre ; personne ne sait de quoi demain sera fait. 8)

Dans Réponses photo d'octobre, il y a plusieurs articles relatifs à l'argentique : des lecteurs qui ont testé la nouvelle TMAX 400 ; un reportage sur Harman en Angleterre, qui a pris le relais d'Ilford, Kentmere, Bergger et d'autres ; le portfolio de Josef Hoflehner, qui utilise de la Pan F plus ; dans la rubrique Nouveau regard, Giorgio Negro, qui utilise son F100 ; l'article sur le nouvel Ilfosol 3, celui sur les nouveaux baryté Bergger, celui sur le labo N&B à partir du catalogue Kaiser ; le bloc-notes de Jean-Christophe Béchet, qui, tout en ne reniant pas le numérique, est parti cet été en vacances avec un boîtier argentique et des films...

Bien sûr, les produits ne seront peut-être plus ceux que nous utilisons aujourd'hui. Ils évoluent et doivent s'adapter aux processus industriels.

L'article sur Harman mentionne une information intéressante : "Depuis un an, les volumes de consommation sont stables alors qu'ils baissaient de 25% par an. Est-on arrivé à un seuil d'équilibre ? Sans doute pas encore, mais le volume mondial de vente de films N&B se situe aujourd'hui autour de 20 millions par an".

Au plan mondial, ces chiffres sont loin d'être considérables, mais ils ne sont pas négligeables non plus et peuvent permettre à quelques industriels de maintenir l'activité... tant qu'il y aura des photographes, pro ou amateurs, à utiliser des films.

Pour ma part, je ne mange pas de nutella, mais y'a des choses que j'aime bien et tant qu'elles existent j'essaie d'en profiter. Après ? on verra bien.

En tout cas, je vais devenir demain utilisateur de Leica ; un vieux rêve qui se concrétise. Et ça me fait bien plaisir !

Amicalement
Bernard

Bonjour

Et au congélo, on les mets comme ça ou emballés dans un sachet ou une boîte étanche ?
(attention à ne pas les confondre avec des steaks ou des pizzas ? )

Amicalement
Bernard

J'utilise le mien sur PC XP d'habitude. A la lecture du message de Dido, j'ai refait un essai sur Mac sous Leopard 5.5. Ca marche effectivement, mais seulement avec l'adaptateur FH-3, on dirait. Avec le SA-21 pour film en bande, il n'arrive pas à faire l'acquisition (vignettes et aperçu). Bien que ce ne soit pas le lieu pour discuter de ça, si quelqu'un y arrive, je suis preneur de ses indications.

Amicalement
Bernard

Bonsoir

C'est du bon matériel !
Pour ma part, je n'ai pas eu besoin, du moins jusqu'à présent, du strip holder. L'usage est limité aux exemples indiqués par Chabada, ce qui n'arrive que rarement et plutôt avec de vieux films.

Je garde le mien pour scanner les photos qui seront faites avec le futur Leica

Amicalement
Bernard

Le D300 est performant, par ex. pour prendre des photos de spectacle dans des conditions de lumière difficile. Mais, curieusement, à plusieurs reprises, j'ai dû le mettre entièrement en manuel...
J'ai utilisé le Nikkormat pendant 25 ans. Les boîtiers modernes avec autofocus et mesure multi-zones m'ont fait craqué en 2001 pour un F100. Pourtant, avec le Nikkormat, la mise au point était plus précise... Et, quant à la mesure de lumière, je faisais du "multi-zones à la main", en prenant plusieurs mesures et en les pondérant. Une fois l'appareil réglé, plus besoin d'y toucher, sauf en cas de changement de lumière ou de contraste du sujet. Restait juste la mise au point, très rapide grâce au stigmomètre.

Je pense comme toi que la sophistication des boîtiers modernes nous rend dépendants et, en final, nous détourne de l'essentiel. Il est difficile de résister à l'écran à l'arrière de l'appareil. Et pendant que tu le regardes pour vérifier tes réglages ou la photo que tu viens de prendre, tu as peut-être laissé passer l'occasion de faire une photo.

Bien sûr, j'appréhende un peu d'être dérouté par le Leica. Mais, la motivation est là !

Amicalement
Bernard

Content de lire que les vieilles cellules peuvent (re)prendre du service.
Ci-après un site sur un musée des cellules.
http://herlent.daniel.free.fr/posemetre/index.html
La mienne est une Gossen Sixtomat avec Color Finder. Pas de problème de pile, elle n'en a pas. Mais, je constate une différence d'un IL environ. Je ferai du bracketing à la prise de vue au début.

Amicalement
Bernard

Dans l'immédiat, je me ferai la main avec un Summarit 1,5/50. J'aime bien le modelé assez doux de cet objectif, d'après ce que j'en ai vu sur quelques photos. Et, je continue à chercher un 35 cron IV, sur lequel j'ai jeté mon dévolu.

Pour les photos, oui, oui ; on verra ça, quand j'aurai l'appareil et après les ratées du début.

Grand merci à tous, encore une fois, pour votre accueil et pour avoir bien voulu répondre à mes questions de débutant. Mais, ne vous inquiétez pas, je continuerai à vous embêter, car il y en aura sûrement d'autres pendant la prise en main.

Pour la cellule, j'ai noté la Gossen et la Sekonic. Quelqu'un peut m'en dire 2 mots en terme d'usage ?
Ceci dit, je vais d'abord voir si je m'en sors avec la mienne. C'est drôle, j'ai cherché un peu sur internet : chez Gossen, il y a une Sixtomat, mais digitale et beaucoup plus évoluée que le modèle dont je dispose. La vie est un éternel recommencement...

Cordialement
Bernard