Excuse-moi si j'insiste, mais pour l'instant je n'ai pas encore osé ouvrir la bête : 1ère étape = juste après voir enlevé les capots des côtés ?

Je comprends que, sauf gros encrassage, seul le miroir qui renvoie la lumière vers le capteur est à nettoyer. Celui associé aux LEDs ne devrait pas nécessiter de nettoyage dans la mesure où il est tourné vers le bas, c'est correct ?

Au fait, le 4000, est-il plus proche du 2000 ou du 5000 du point de vue de l'accès au miroir à nettoyer ?

Merci pour vos réponses.
J'avais regardé il y a déjà quelques temps la page sur le nettoyage du LS 5000, mais la procédure me paraissait risquée.

romu, tu dis qu'on n'est pas obligé de tout démonter ; pourtant dans les 2 exemples (LS-2000 et LS-5000), on n'atteint pas le miroir si facilement que ça. Serait-ce plus simple sur le LS-4000 ?

Que préconisez-vous pour le nettoyage proprement dit ? Est-ce qu'un coup de soufflette, genre poire qu'on utilise pour les objectifs, peut convenir (je n'ose pas imaginer le faire avec une bombe d'air comprimé) ? Ou bien faut-il un produit comme pour le nettoyage des capteurs de reflex ?

Amicalement
Bernard

Merci pour ta réponse EricBascoulDIDO
Donc, on peut se lancer ?
Je suis plutôt du genre méticuleux, mais, sans plan et sans expérience, il y a toujours un risque à démonter plus qu'il ne faut ou pas dans le bon ordre et de faire des conneries
Tu aurais quelques conseils à donner ? Je connais au moins une personne, en plus de moi, qui se pose la question, mais qui n'ose pas.


Amicalement
Bernard

Personne ne s'est trouvé dans ce cas de figure avec son scanner ?

Amicalement
Bernard

Bonjour,

Les scans montrent de la diffusion dans les hautes lumières depuis quelques temps. Des fils sur le forum, j'en déduis qu'il s'agit très vraisemblablement de poussières sur le miroir. De fait, j'ai fait la bêtise de le laisser quelques semaines sans protection...

J'ai lu la page expliquant l'intervention sur un LS-5000, je crois. Mais j'avoue avoir un peu peur de me lancer à démonter le mien.

Connaîtriez-vous un réparateur sérieux pour ce genre d'intervention ? J'aimerais éviter si possible le SAV Nikon à cause du prix.

Amicalement
Bernard

J'ai testé aussi l'Ilford Gold Fibre Silk sur la R800. Très bon rendu !
Sur un plan technique, c'est un peu la limite d'épaisseur de papier pour cette imprimante. Elle a un peu de mal à prendre la feuille. Je "l'aide" un peu en poussant légèrement la feuille au début de l'impression, au moment où elle s'engage.

Amicalement
Bernard

Je confirme aussi, c'est une très bonne imprimante !
J'en ai une, sinon... Bonne vente !

Amicalement
Bernard

Je ne connais pas les Minolta, mais les Nikon sont pas mal effectivement : finesse, Dmax importante, ICE physique (anti-poussières, rayures, traces de doigt etc.), paramètrage fin avant le scan, traitement du grain...
Pour ma part, j'utilise un 4000 ED et j'en suis très satisfait.

Ca se trouve en occasion pas trop cher. Vérifier tout de même la compatibilité avec ton OS, Nikon est parfois un peu à la traîne.

Amicalement
Bernard

Bonjour

L'ICE des Coolscan donne de bons résultats, y compris pour les traces de doigt. Tu peux essayer en passant tes diapos telles quelles. S'il reste quelques traces sur certaines photos, un coup de tampon ou de correcteur dans Photoshop devrait finir le travail.

Ca te fera gagner du temps et t'évitera d'abîmer les photos.

Si tu tiens à nettoyer quand même, un chiffon non pelucheux très légèrement humide et passé seulement côté support sans insister pour ne pas rayer. Côté émulsion, c'est très très risqué...

Amicalement
Bernard

Oui, le détachement de la palette de courbes et la possibilité de l'agrandir changent la vie.

EricBascoulDIDO, tu parles d'étendue utile de 3 ; pourrais-tu préciser à quoi correspond le 0,2 en moins par rapport à la Dmax d'une diapo, stp ? Ca a un rapport avec la densité du support + voile ?

Si tu veux bien répondre encore à une question : j'ai lu dans une de tes réponses sur un fil que tu préconisais de désactiver l'exposition automatique ; qu'est-ce que ça change, d'autant que, dans ce cas, la fenêtre de progression montre une étape supplémentaire de "normalisation" ?
Cette normalisation a, me semble-t-il, pour résultat de caler l'histogramme à droite, soit ce que fait en quelque sorte l'exposition automatique ?


Coignet, c'est effectivement ça qui m'a posé question : pourquoi la coupure se fait-elle vers 18 et non à 0 ? En fait, avec une fenêtre de Courbes agrandie, on voit que ça varie légèrement en fonction du film.
On dirait que le scanner "se trompe" en calant sur 0 le "blanc" du négatif (qui une fois inversé devient le noir de l'image)

Manara, ça rassure de savoir que c'est un bug connu. Faudra faire avec, sauf s'il y a une solution...

Oui, oui, je voyais qu'on ne se comprenait pas. Merci tout de même pour ta réponse.
Au passage, tu m'as appris quelque chose de bien utile, à savoir qu'on pouvait agrandir et détacher la fenêtre Courbes. (Je veux bien que tu me dises aussi comment la remettre avec les autres, au cas où).

Dans le message initial, un oubli : le phénomène ne se produit qu'en Négatif (mono ou RVB). En diapo, la dynamique va bien de 0 à 255.

J'ai parcouru pas mal de fils sur Summilux traitant du scan pour essayer de comprendre si je m'y prenais mal ; et j'ai fait pas mal d'essais en faisant varier les paramètres, notamment en supprimant l'exposition automatique comme le préconise EricBascoulDIDO. Mais, c'est pareil.

Ce n'est pas dramatique ; mais sur des photos contrastées, ça peut être gênant.

C'est effectivement ce que je fais et je vérifie l'histogramme sur R, V et B pour vérifier l'absence de perte sur les 3 composantes. Sur l'exemple posté précédemment, j'ai volontairement mis le gain maître à -1,5 pour assombrir la photo et illustrer le fait que, sur mon scanner tout au moins, les noirs ne vont jamais dans la plage 0 à 15 environ.

Avant de lancer la numérisation, je déplace les curseurs du noir et du blanc, et parfois la courbe, pour équilibrer l'histogramme. Mais, ce qui m'interroge, c'est la dynamique brute de ce scanner...

Bonjour à tous

Je possède un scanner Coolscan 4000 ED depuis quelques années, assez peu utilisé jusqu'à maintenant, mais qui reprend du service depuis l'acquisition récente du M4-P.

Les noirs dans l'histogramme ne descendent jamais en-dessous de 15-18 environ. Autrement dit, la dynamique va de 15-18 à 255 et non de 0 à 255. Est-ce normal ?

Pour illustrer mon propos, voici une capture de la palette d'outils montrant l'histogramme sur une vue prise avec de la Kodak elite color 200. Le gain analogique du scanner a volontairement été réglé à -1,5 de manière à tasser les valeurs vers la gauche.


Amicalement
Bernard

Bienvenue sur

J'ai franchi récemment le pas du télémétrique, à peu près pour les mêmes raisons que toi. Le "langage" Leica est déroutant au début, mais avec l'aide des summiluxiens tout s'est éclairci rapidement.

Après quelques hésitations, le choix s'est porté sur un M4-P avec un summarit 1,5/50 et un summilux 1,4/35.
Je ne me permettrai pas de donner des conseils ; juste quelques impressions de débutant :
- l'appareil photo, surtout avec le 35, est compact et discret ;
- la mise au point au télémètre se maîtrise assez rapidement ;
- la visée est agréable et on peut voir hors cadre un personnage qui va entrer dans le champ par ex.;
- avec un boîtier sans cellule interne, la gestion de l'exposition est assez délicate, surtout si tu veux faire de la diapo (mais, pour ma part en tout cas, l'apprentissage de la lumière fait partie du challenge que je me suis lancé : la cellule à main impose de faire attention à ce qu'on va mettre dans le cadre ) ; le M6 est plus confortable sur cet aspect-là.

A toi de voir en fonction de tes attentes et de ton budget. Fais un tour sur les petites annonces du forum ; tu devrais trouver ton bonheur.

Amicalement
Bernard

Tu n'es pas à contre-temps
Ton intervention me semble pertinente au contraire.

Sans compter que les fichiers numériques sont... volatiles. Une panne d'alimentation de disque dur... Un CD ou un DVD qui devient illisible avec le temps... Même avec de la redondance dans les sauvegardes, on n'est pas à l'abri de la perte de ses photos.

Alors, le numérique, oui pour son côté pratique (rapidité et facilité de traitement, par ex.). Le film pour les images auxquelles on tient ou qu'on veut transmettre. Comme toi, ça me rassure d'avoir un support tangible.

Un ami me disait récemment qu'au pire, même sans scanner, on peut toujours projeter un négatif ou une diapo et prendre cette image en photo. La qualité sera dégradée, mais au moins on aura le contenu de l'image.

La pérennité du film dépend de nous qui prenons des photos. Les industriels continueront à en fabriquer s'il y a de la demande.

Amicalement
Bernard