Merci Alain pour ses précisions !
Sur la technique : je suis d'accord, je fais pareil, l'échelle de PC gravée sur le fût de l'objectif est tout à fait fondamentale, sans elle je serais perdu. Sur les radicaux, on est aussi finalement d'accord... pour être contre. De toute façon, c'est comme dans la margarine, il y aura toujours les radicaux libres !
En ce qui concerne le fait que les vieux cailloux marchent mieux plutôt fermés et les asphériques plutôt ouverts, c'est en revanche une découverte pour moi.
Merci pour l'info. Paradoxalement, les films sont plus rapides qu'autrefois. Comment faisait Lartigue pour shooter les pirouettes de ses amis avec un 3.5 et du 25 asa ? Mystère...
Mon seul asphérique c'est un Elmarit 21, fantastique (malgré une baisse de régime dans les coins, ce qui est normal). Mes autres objectifs sont non-asphériques. Après avoir eu un 35:2 Canada et un 90:2 (non asphérique), je me suis cantonné au 50 (un Summilux qui a mangé un trottoir
, et un Summicron avant-dernière version que j'aime beaucoup).
Deux cailloux, un par boitier, c'est déjà beaucoup voyager léger. Avec un seul appareil, on est plus disponible, on s'entraine à voir le cadre sans viser, on sélectionne d'office ses sujets, on ne se disperse pas. Et puis avec un 21 et un 50, on couvre pas mal de sujets. Mais cela se discute bien sûr...