Bon bah me voilà bien venu au club!

Mon joli M3 vient de se bloquer de la même manière, le rideau de l'obturateur grand ouvert. Impossible de réarmer, après seulement 9 pellicules brûlées!

Ce qui m'inquiète, c'est que vous avez l'air de dire que ce problème est récurrent sur les boîtiers à double armement...

Une soirée bien gâchée...

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Avec plaisir...

Bonjour, Bonjour,

Mon Olympus OM2-N n'est pas tout à fait comblé.
Malgré un 50/1,4 bien piqué,
Je ressens son besoin de nouveautés.

Je recherches donc quelques focales pour mon protégé.
Du grand angle au mini-télé,
Des objectifs de qualité à un prix raisonné!

Merci d'avance pour vos MPs...

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Ce qui explique les bandes rouges que j'ai aussi obtenu sur la Tmax 100 que je viens de révélée... Ouf, rassuré...

Aucun problème du côté de la Tmax 100, elle aussi périmée. Alors pour la 3200, je cherche mais ne touve point

Bon et bien c'est fait, j'ai officiellement développé ma première péllicule. Et c'est pas si mal

Pour résumer :
- une péllicule Tmax 3200 (36p.) périmée et exposée il y'a 3 semaines (conservée au frigo). Exposée pour 1600 iso.
- une cuve Jobo et sa spire (pas pratique du tout pour les films 36 poses, j'ai dû découper un bon morceau pour que tout rentre! ).
- 250 ml de révélo Tmax à 24°C (1+4) et 8 min de dvlpmt.
- bain d'arrêt classique (acide acétique 2%)
- fixateur Tetenal Super Fix (1+9) et 6min30 de temps (au lieu de 4min).
- rinçage à la "Bachelier".
- bain avec Sun rinçage pour finir.

Le négatif comporte des images (dont certaines sont très correctes), mais une partie (13 images consécutives) est sous-exposée. On distingue les images mais ces denières sont très transparentes. Je me poses donc la question : mais qu'est ce qui c'est passé?!

Ce défaut se situe au début de la péllicule, puis se retrouve ensuite pour 3 autres images conséqutives (au 2/3 du film).

Quelques hypothèses:

- la péremption de l'émulsion (mais seulement sur une partie )
- problème des vitesses lentes de mon M3 (pitié...).
- j'ai mal positionné le film dans la spire, le révélo n'a pas pu se répendre partout.
- gros craquage d'exposition, ça peut arriver aussi. (seulement certaines images ont été prises en journée).
- le film a vu le jour (mais il devrait plutôt être noir non?).

Je ne sais pas si ça peut aider, mais une fine bande rouge apparaît sur un bord du film.



Voilà, malgré ce petit problème, je suis vraiment ravi du plaisir que procure le développement maison. Je ne suis pas prêt de m'arrêter là!

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Après avoir bien étudié les cellules et leurs prix , j'ai opté pour une Gossen Profisix à moindre coût. Merci à tous pour votre participation

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Merci pour le lien et la réponse Richard, très utile

Pour ce qui est de la conservation du révélateur, personne n'a d'avis?
Et ma pellicule périmée, personne ne sait si je dois augmenter ou diminuer le temps de dev. (8min)...?

Please...

Bonjour à tous,

Un peu de revival pour ce fil, j'ai besoin de vos lumières...
Je m'apprête à développer ma première péllicule Et pour cela j'ai choisi le chemin le plus facile : révélateur Tmax (dev.), pélloche Tmax 3200 exp. à 1600 et périmée du 04/2006 Je sens que ça va être un désastre!

Après avoir consulter les avis summiluxiens, j'ai bien envie de suivre les conseils de DIDO : développer pour le temps de la 3200 à 24°C avec 1+4.
Sur le devchart de digitaltruth, j'ai deux temps d'indiqués : 7 et 8 minutes. Les 7 minutes seraient pour l'ancienne Tmax 3200.

Je me pose donc les questions suivantes : comment savoir à quelle "version" ma péllicule appartient? La péllicule étant périmée (conservée au frigo), dois-je adapter mon temps de développement?

Et la question bonus, qui n'a rien à voir : La solution de travail du Tmax (1L) se conserve-t-elle longtemps?
Ma cuve fait 250ml et je veux réutiliser la solution pour faire 12 films. Brûlant en moyenne 4 pélloches par mois, je me retrouverai donc à utiliser la même solution de travail pendant 1 an (250ml tous les 3 mois)!!!

Ah oui, j'ai aussi lu que pour la Tmax, il fallait doubler le temps du fixateur. Qu'en est-il vraiment?

Bon j'arrête... (et vais me coucher!)

Merci à tous pour vos réponses rapides

En effet, comme l'écrit fotd, si l'on veut une cellule qui descend en dessous de 0 EV, il faut être prêt à dépenser plus de 200 euros (en neuf). Pour l'exemple, la Gossen Lunasix 3S (-4 EV) est à 440euros HT! La Sixtomat (-2,5 EV) coûte à peu prêt 220 euros. Me voilà un peu dépité, moi le naïf qui croyait que le materiel photo ne coutait pas cher!

Le budget pour la Metrastar me conviendrait bien mieux. Il parait que les vieilles Lunasix sont tout aussi efficaces... Seulement le problème des piles au mercure se pose, quelle équivalence prendre : pile zinc-air (PX 675), alcaline (LR44), oxyde d'argent (SR44)?

Sinon il me reste l'option Fred Parker, et son très bon site, pour acquerir l'oeil expert. Au prix de dizaines de péllicules sacrifiées... Ce serait tout de même rassurant, du moins pour les débuts, d'avoir une cellule sur laquelle on peut se reposer en cas de doute non? (je parle surtout pour les photos de nuit).

Bref, il me reste encore du chemin avant d'atteindre le "Zen Photographique"...

Bien l'bonjour à tous,

Tout nouveau sur le forum, et effectuant mes premiers pas en M, j'aimerais relancer ce fil en apportant une précision : parmi la multitude de cellules disponibles, lesquelles seraient les plus efficaces pour la mesure en lumière basse?

Les posemètres les plus cités : Gossen Digisix, Pilot 2, Lunasix 3 (problème de pile non?), Leica MR, Voigt. VC Meter 2 (200euros tout de même!). Qu'en est-il de leurs capacités? D'autres modèles valent-ils le coût?

Pour résumer, je recherche une cellule précise pour mon M3. Je l'utiliserai pour le paysage, le portrait posé tout cela baigné par des conditions lumineuses compliquées (là où le f/16 n'est pas utilisable).

Merci d'avance pour vos réponses...