(sur Souvigny) entre beaucoup de choses à voir à faire, et/ou à photographier dans le coin, il faut participer au banquet (tenue médiévale exigée)

C'est le monument aux fusillés de la résistance. Sur la route de Souvigny (à quelques kilomètres : allez voir la foire médiévale, du 29 juillet au 6 aout
http://www.souvigny.com/ags/accueil.htm )

On peut essayer d'interpréter les scènes très contrastées. Exemple avec un film 800 ISO (Fuji NPZ), la mesure du boitier donnait 1/30e de seconde à f/2,8 pour l'ensemble de la scène. J'ai travaillé en fait au 1/125e (-2 diaphragmes) pour ne tenir compte que des parties éclairées. Dès lors que j'utilise une sorte "d'échantillon" assez large je considère que la taille de la zone mesurée n'est pas déterminante.

Placé trop loin ce soir là, j'ai dû sortir le 80-200, mais la méthode aurait été la même au M7.
[/url]

(suite)
Ils sont quasiment envieux

Version anglaise ardemment souhaitée

Ce n'est pas moi qui le dit mais des admirateurs anglophones de Summilux.net
http://www.photo.net/bboard/q-and-a-fet ... 0FyCn&tag=

L'avantage du Leica M sur une Bugatti et autre Ferrari(*), c'est qu'on peut le sortir tous les jours.

(*) Ferrari : changement d'embrayage tous les 15.000 km, et pourtant on en voit...

Suite pdv à F/1, photo de spectacle.
Sujets tourbillonnant, avec quelques spots...
La loupe sur le viseur 0.58 n'est pas du luxe.
Film : Fuji NPZ 800 iso

Bonjour

Et un reflex, ce n'est pas compliqué ?
- Le miroir qui doit etre manoeuvré pour l'ouvrir pendant la prise de vue,
- La présélection du diaphragme qui oblige à introduire une commande dans l'optique (pour le refermer, lui) au déclenchement

Bonjour (suite)

Je viens de poster sur un fil "portrait" une photo de Michel Quint au Noctilux.
http://www.summilux.net/forums/viewtopic.php?t=3564&start=60

Coté qualité, le Noctilux me satisfait. Sur la pellicule du portrait de Michel Quint, il y avait aussi une photo de ma belle-mère à f/4 : tellement précise que je me suis empressé de la détruire pour éviter tout risque d'incident diplomatique.

Je ne trouve pas le poids et l'encombrement du Noctilux particulièrement gênant, c'est surtout la longue course de m.a.p. (9cm de rotation de 1m à l'infini) qui peut éventuellement rendre la manoeuvre un peu laborieuse ; j'ai un VC Ultron de 35mm hyper-maniable, pourtant c'est le Noctilux qui sort le plus souvent.
(C'est peut-etre que je suis au fond un 50'man).

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Suite du précédent

Je me souviens que j'ai présenté un portrait comme exemple dans un fil "objectifs" sur le Noctilux.
Voici donc ma contribution au florilège des photos à f:1.0

Petite précision : ici c'est l'image plein cadre, pour un tirage définitif, je couperais un peu à gauche (cheveux qui débordent sur le bord)

Puisqu'il y a un fil "Portrait au Noctilux", voici ma pierre, dans la catégorie écrivains.

Michel Quint (Effroyables jardins, Et mon mal est délicieux...)
Salon du livre de Bron (69) 12 mars 2006, simple instantané donc, pris au milieu de la foule.

Diaphragme "fermé" (f/2,8).

Encore une photo à f/1.0

On ne saurais trop conseiller aux télémétristes binoclards de se mettre aux verres de contact.

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Messieurs, on s'égare
Qui peut nous faire partager son expérience du 75mm avec exemples si possible ?
La question du 75 et de son utilisation m'intéresse aussi superlativement, a priori ce sera ma focale maximale.

D'autant que ce Summicron est vraiment trop beau, et un excellent compromis pour completer des courtes focales.

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Je constate une evolution similaire dans mon cas : non seulement le barillet de mon M7 quitte fréquemment le mode auto, mais j'en suis à ressortir ma Quantum Instrument pour des mesure de la lumière incidente.

J'ai eu pendant 12 ans un Hexar AF, utilisé d'abord rarement puis de plus en plus souvent (au grand dam du reflex) ; puis j'ai commencé de temps à autres à m'en servir en mode manuel. De là au Leica M il n'y avait qu'un pas.

Meme un utilisateur endurci de reflex robotisés, s'il aime la photo, peut se sentir rafraichi en passant au télémétrique.