Bon, promis juré, je vous délivre la prochaine fois du sérieux façon flou artistique sur Derviche, noir sur blanc et tout et tout... si je suis encore là, Inch Allah !

Au nom du Père complice...


L'un des endroits les plus colorés, pardon dangereux de Taksim... du moins si vous êtes par nature pingre et accompagné d'une ou surtout plusieurs représentantes de la gent féminine, notez que je vous initie par la présente fresque à ce qui mène le monde.


Fiesta de quartier juste aux portes du lycée de Galatasaray ; servez-vous, là, c'est gratuit et je ne plaisante pas... savez-vous d'ailleurs que l'aubergine façon Turque est réputée pour faire se pâmer même l'enturbanné en chef, d'ailleurs peut-être est-ce là la solution.


A Istamboul, le risque est aussi omniprésent que le savoir faire... ainsi lorsque la topographie et les aléas de la circulation du lieu vous seront révélés, comprendrez-vous mieux le sens de l'expression « Inch Allah ».


Grand philosophe devant l'éternel Bosphore, ma posture de prière, pardon méditation favorite, la seule que je connaisse d'ailleurs.


Certes le poisson peut-il poser problème, auquel cas faudra-t-il mieux se préparer.


Ne vous y trompez pas, voici l'avantage des sociétés modernes : même ces Dames payent dorénavant.


Mouette stambouliote, prends garde à toi, celui qui te côtoie a la prédation comme religion ; n'y voyez aucun dessein politique, quoique... mais il fallait bien que je vous montre enfin à quoi peut servir petit flou et profondeur de champ calculée.


Allez, une petite carte postale façon charmes de l'orient.


Ah si, à propos donc d'endroit de grande sérénité, allez donc prendre le thé au café Pierre Loti, c'est l'une des plus belles vues de la ville, de plus les alentours et ses occupants sont d'un calme...

Plus sérieusement quitte à rompre le charme, femmes de retour au gris vous donnera-t-on enfin un jour même par obligation de foi ne serait-ce que ce que l'on donne aux pigeons.


Istamboul, je ne sais plus quand...

Initiatique, hommage soit donc rendu à celui qui illustra si bien.

A Paname on joue, on triche pour vivre ou oublier...


A Paname, on se fout des convenances faute aussi d'espoir et de raison d'exister...


Paname ou même le premier métro acceptait gratos l'homme au pouce levé à 5 heures du matin...


A Paname, il a toujours soufflé plus qu'ailleurs un vent d'ivresse et de liberté...


A Paname, il faut être à la hauteur des artistes du Street Art, sur le zinc des toits pour saisir l'histoire cousue main...


Et puis enfin à Clichy, vous pourrez même si vous êtes doués d'infinie patience, obtenir la Lune avec un défaut d'optique...


Allez, un monumental cadeau sans prétention aucune pour ceux qui connaissent une même et autre musique que celle du vent de folie ou de raison qui nous pousse au partage des images... là, je reconnais qu'il faut être un tantinet initié.


Merci du gamin de Paris M., pardon Maître Clément et chapeau l'artiste.

Mieux à mon humble avis, j'en connais qui pensent avant, réfléchissent pendant et causent après, le problème étant de ne pas trop réfléchir si l'occasion se présente.

Même thème, autre optique -non, pas celle-là, l'autre, enfin quoique- ...

Belle et grande Dame du Montmartre sacré... ou de ce sacré Montmartre.


Notre-Dame de beauté pouvait-elle se contenter d'une représentation traditionnellement fade et d'une si navrante platitude ? Et pourquoi ne pas oser la générosité des formes et la douceur d'un éclairage naturel ? Mystère de l'angle et de l'optique, évasant une tenture alors fluide adoucie par la lumière, ce sont les nuances de gris qui modèlent et font autrement l'histoire, pas simplement le noir, le blanc et surtout le flou.

C'est bon, non ? Ca va, ça va, je sais, rien ne remplace l'inimitable texture du film, c'est ainsi pour cela que j'ai en bon barré -j'adore le terme- encore récupéré un IIIf-fox pour me payer l'invendable.

Sacré Montmartre il est vrai tout en couleur, car c'est aussi possible, assurons donc en douceur la transition, s'aidant en cela d'un rendu chromatique façon Leica, vers cette couleur sur fond presque monochrome sans laquelle il serait indécent d'évoquer l'esprit du vin et par conséquent celui de la commune libre.



« Qu'importe la prise de vue et le biniou électromécanique pourvu que l'on ait l'ivresse », sage maxime d'un dénommé Roland, non pas celui-là, un de ces Bretons purs et durs qui font sans histoire écrite la vraie histoire.

Comment cela, ils ne sont pas bien composés ces modèles ? Bon, je sais, tous les goûts sont dans la nature et chacun son truc pour charmer, mais je connais des Dames qui se sont vexées pour moins donc je ne veux rien savoir des conséquences s'ils ou plutôt elles lisent ces rubriques... -oh ! Je plaisante et mille excuses, l'occasion était trop belle-.

J'oubliais, voici un ange dont Charlie aurait rêvé à Cadix, avec ce S du corps si naturellement parfait, si délicieusement naïf.


Soyons clairs, il est vrai que j'ai toujours eu quelque réticence à aller jusque dans les hautes lumières, suivant au plus que parfait l'adage qui veut que ce n'est pas parce que l'on imprime ses vues en noir et blanc qu'il faille rendre feuille blanche, vous avez donc sur ce point raison, faisons fi de l'histogrammo-dépendence, sinon...

Alleluiah ! Lorsque la quintessence d'une série qui a valu son pesant d'espèces -satisfaction du commanditaire et de ma bourse obligent- n'est pas fort opportunément au top du jugement dernier, c'est que je ne peux que m'améliorer et espérer plus tôt avec votre aide cette nouvelle Vanquish qui me fait de l'oeil.

Allez, trêve d'une plaisanterie dont je suis passé maitre avec le temps, revenons à nos moutons, une petite sans prétention, genre hard par la simplicité.

Marseille de concert...


Le compositeur de talent qui officie dans ces fora aura naturellement remarqué que le poteau de gauche et celui, parallèle, de la grille ont une inclinaison qui renforce le balancement des corps, il a donc fallu déclencher juste au moment ou le mouvement de la jambe droite voit pencher le corps dans le bon sens, celui qui induit le mal de mer, pardon le mouvement même en statique puisque l'on conserve moult points de convergence précis dans ce schéma épuré aux ombres parfaitement alignées pour embarquer... -pardon, c'est le naturel qui revient-.

Ô combien simple serait de n'avoir comme seul impératif son esprit vagabond, pourtant notre ange plus haut présenté sont tout comme le minou précédemment présenté... des distracteurs, du hors thème et cela rien que pour vos quinquets coquins.

En fait et je peux bien vous l'avouer, cette série est un piège, l'exercice n'est pas si simple qu'il n'y paraît, il s'agit en effet d'assurer une mise en situation, équation qui verra s'associer le modèle -charmant au demeurant- et son décor, ce qui exclu de facto tout cadrage serré et implique quelquefois même une grande profondeur de champ, comme dans cette scène d'Istamboul ou malgré la faible luminosité, il soit hors de question d'exclure les éléments architecturaux, de ne pas accepter cette Dame du cru curieuse à souhait qui pose fort obligeamment et situe mieux le tableau.

J'oubliais de dire qu'il ne soit pas question d'éclairage auxiliaire et que vous êtes « en cavale », livré à vous-même, comme à l'habitude.

Autre difficulté : Amsterdam où l'on ne pourra jouer que sur les formes agréables du modèle, contrastant avec la rectitude de l'ensemble architectural, 180mm pour « aplatir », quelques degrés d'inclinaison, la question est : ne garder pour cibler notre modèle que les 4 petites clés de voûte si typiques.

Mykonos voit l'utilisation à 100 % des caractéristiques de l'objectif : le grand angulaire déforme si bien que même les murs se penchent pour admirer... bon, je ne vous fait pas de dessin. Le problème est d'alors garder intact ce physique, d'imprimer une touche de dynamique, d'où ce léger désaxé dans le sens de la marche. Il est bien certains que ce fut l'allure de la silhouette qui commanda l'instant de caresser... le bouton, ce moment où les jambes se superposent quitte à accepter une rupture d'horizontalité, un « incliné » discret qui s'équilibre avec celui déjà accentué de ce modèle de rêve.

M. Bacchus, en bon Chevalier de l'esthétisme féminin ne s'y est donc pas trompé.

A Rome, seul le moment est important dans ce jeu à 3 : qui, où et pourquoi, soit le modèle, le décor et l'action ; n'oubliez pas que sans la tenue improbable d'un modèle prêt à défiler sans guide à gauche et la petite marque au sol, rien ne serait dit si ce n'est qu'une fort jolie femme déambule, accompagnée même d'un flou de style qui ne serait d'aucune utilité ; c'est donc l'ouverture si romaine et impromptue de la gelateria qui fera s'interroger l'esprit coquin et complètera ainsi le tableau.

Notez que je n'essaie même pas de vous refiler des trucs du genre j'ai raté ma m.a.p., grillé la « péloche », fait un faux-filé en manquant de me ramasser mais ça fait genre. Bon, il faut que j'arrête de demander pardon à tout bout de chant, pardon, champ.

Et voilà, j'écris, j'écris et j'oublie de vous, pardon nous satisfaire.

Paris entre chien, loup... et décolleté, Pigalle, naturellement -mes devoirs à M. Clément, mais Paris sans femme et femmes sans Paris...-.


Ca y est, je vous sens encore distraits.

Vision de charmes à Amsterdam.


Divines de Naples.


Chaleur à Mykonos, -ne cherchez pas à corriger, nous avons pris le contrôle des verticales et des horizontales-.


Douce de Venise.


Pose sourire à Istamboul -parce que j'ai tout bonnement réservé le modèle-.


Départ de sitcom à Rome.


Belle de Marseille.


Fleur de Bilbao.


Preuve que l'on aime à Angoulême.


Ron-ron à Kotor -Comment ? Prendre la place du minou ? Oui, c'est cela...-


Ouzo et Yalo,Yalo, amis ou simples passants, c'est cela la vie.


Femme toujours remarquable, merci de nous l'avoir donnée.

Ah, cette damnée culture du moi ! Sinon quel honneur de voir notre principal avantage enfin reconnu...

« Barré » certes, sans doute convient-il de revendiquer haut et fort le qualificatif pour un photographe et vous ignorez probablement à quel point, d'ailleurs ceux que j'ai eu l'honneur de côtoyer l'étaient fort heureusement tous, du moins jusqu'à présent, d'où la généralisation.

Il reste vrai qu'un « jeune » comme nous devrions tous l'être du moins de corps, vendeur de surcroit, puisse être déçu à ce point, mais comment dire avec humour qu'il suffit de regarder les transactions sans chercher autrement de légitimité dans l'acte, en un mot d'oser si l'on est soucieux de tirer un quelconque avantage financier d'une vente.

Un « truc » élémentaire concernant xbay -on ne sait jamais compte tenu des circonstances présentes- : décochez ou plutôt cochez la case enchères seulement.

Bonne chance pour vos affaires, M. Christian, nulle doute qu'avec quelque patience, un brin de courtoisie et d'humour, vous ne puissiez les faire ici.

Tout dépend de l'atteinte oculaire...

Si elle correspond à une simple presbytie qui évite de voir de trop près les errances pour ballot diffusées sur nos médias accordés d'un quatrième pouvoir superbe de manichéisme insupportable au sapiens, un verre correcteur façon loupe suffit ; à savoir qu'un système « à champ coupé » reste efficace sur un modèle affublé d'un flou artistique qui d'évidence nous rend sage.

Cotation, thème récurrent qu'il faut enfin démystifier...

Monseigneur ou Camarade, n'espérez pas le contenu d'un catalogue Yvert et Tellier, l'illusoire référence sera naturellement élaborée à partir d'un système façon Palais Brongniart au cynisme légendaire, présent dès la production d'un modèle. Il est de fait impossible de stabiliser le yo-yo puisqu'il est toléré par le praticien et souhaité même par ceux qui conçoivent l'objet dont l'obsolescence fera maintenant partie intégrante de la procédure d'élaboration.

Remarquable fait établi est et sera que dans le domaine, la diffusion de théories fumeuses car ignorante des aléas du couplage d'une mécanique micrométrique à la radioélectricité nanométrique façon optique, le désir de l'artiste qui malgré tout est la meilleure des causes défendable, un simple article formaté pour l'incorrigible béotien qui s'ingénie à ne comprendre rien à rien en matière d'économie de marché, l'intervention d'une personnalité dans un monde crédule... toutes les conditions soient réunies pour que quelque marchand ou fondamentaliste puisse faire ou défaire à plaisir et cela en temps réel cette fameuse cote.

Devant tel phénomène plus tenace que la publicité dictatoriale façon minitel rose bonbon la nuit tombée sur nos écrans, le praticien honnête s'abstiendra de marcher dans la combine dans cette partie du monde ou l'exotisme des prix ne fait pas que répondre à l'éclectisme des genres.

Il y a la cote américaine, mais nous ne sommes pas en Amérique, celle des étals de magasins mais nous ne sommes pas tous marchands, celle des fora d'échange... de marchandise, celle du « net » pas si nette que cela... joker donc retourné par le plus sage lorsqu'il s'agit de ne pas ajouter à la confusion avec une de plus. Jeu et avantage acquéreur qui n'a pas à révéler jusqu'à quel point il restera sur le coup avec ce « Messieurs les vendeurs, tirez les premiers ».

Vendre ou ne pas vendre, autrement dit acheter mais quoi de mieux...

La solution royale, impériale ou que sais-je d'autre de plus dithyrambique façon modernisme sans morale ni raison serait de garder telles optiques car et si elles correspondent à un style de prise de vue, le forcent devrais-je dire, celui qui rend obsolète toute cette bête, pardon, belle électronique qui ne saura jamais ce que vous voulez à moins d'être au contact et devoir déboucher à zéro le tout sans préparation.

Or donc, « refiler » le 180 Achro, pardon Apochromatique pour en récupérer un autre plus normal à trois francs six sous et investir le reste dans une focale plus longue qui profitera accessoirement elle de telle correction à moins de passer au catadioptrique, perfection contre laquelle fut sans doute créé l'insaisissable beau kilt, pardon bokeh, phénomène optique apparu en Ecosse lorsqu'un Saint changea l'eau en Whisky, voilà qui reste perspective intéressante, quitte à porter un fort méchant coup à l'image de l'optique toutes options émulées et plus définie que définie.

Diamètre et pas astronomiquement corrects, le filetage, pas la négation...

Choix d'objectifs traditionnellement qualitatif auxquels il faudrait adjoindre l'intemporel 28 Schneider pour la correction de perspective... je plaisante, bon, pas tout à fait puisque c'est ce dernier qui est justement ici à poste sur SL-2 ; le couple est en effet d'un fort bel équilibre, ainsi donc en courte finale : l'essayer c'est l'adopter.

Sinon belle déduction autrement sur thème de comparaison R/M à ces focales si ce n'était... le coût à ce quoi il convient d'ajouter l'atout de la visée au travers d'un objectif au surnom si figuratif : l'usage du zoom.

Or donc pour revenir au thème originel, la grande ouverture n'étant pas ici désirée, même un 35-70 naturellement acquis à vil prix pourra faire l'affaire diaphragme si bien fermé, les avantages en termes de cadrage serré, portabilité et surtout d'étanchéité n'étant autrement pas à négliger en cas d'utilisation en atmosphère autre que stérile.

N'oublions jamais qu'en royal manuel et sans être le moins du monde excité de la queue de détente, chaque seconde peut compter et que dans un cadre opérationnel, cet objectif à focale variable forme un cocktail digne du Harry's bar avec ce SL-2 mécanique aujourd'hui proposé à prix révolutionnaire qui fera oublier tout M et focale fixée à demeure dont on paiera plus la notoriété que l'efficacité dans le cas précis de l'adaptabilité. Ne vous trompez pas sur mes intentions, je me plais autrement à utiliser un M-Mike 5 nictalope adapté à l'objectif plus qu'ouvert et un si discret CL qui devrait être sanctifié plus que boudé.

Sans aller jusqu'à l'addiction au survivalisme quantique, l'élaboration du « business plan » comme disent nos apprentis sourciers, pardon sorciers des affaires est chose utile à conseiller lorsqu'est constatée l'infraction, pardon l'indécision sur les focales et modèles à employer ; la première des préoccupation sera donc sur quoi et dans quelles conditions vais-je travailler avant de penser à suivre la doctrine de la résolution en ligne par chouïa dans les coins mais en absence d'éléments absorbables à chaque dissociation et bien avant d'accepter la rentabilisation intellectuelle façon justification d'avoir beaucoup dépensé.

Mais je m'égare...

Les « macros » sont autrement tous d'excellente qualité, parfaitement corrigés et naturellement sans surprise utilisables à pleine ouverture, du moins celle dont ils disposent. Les utiliser en tant que standard n'est nullement blasphématoire, c'est bel et bien un 4/100 défroqué qui s'accouple ici avec un R-Roméo 8 pendant qu'un 28/70 ROM s'accroche à celui qui n'en a cure, un R-Rationnel 3 mais premier du nom très lourd même acquis pour 36 balles, brouzoufs, pardon Euros ; vous l'aurez compris il en est comme pour les dames, qu'importe l'âge qu'il serait inopportun d'évoquer, aimez-les toutes en couple fidèle et faites-les s'accorder par votre compétence plus que par votre argent.

Même avec du matériel Russe, l'incident se produit... bon, surtout lorsque la température descend en dessous de celle de congélation il faut bien l'avouer.

A noter les points suivants :

1 – Plus le système d'obturation est sophistiqué, plus il y a de risque de blocage ou même de casse aussi avec un Leicaflex et son rideau, tout devrait rentrer dans l'ordre, sinon même un vénérable R3 acquis à trois francs six sous tiendra vaillamment le choc des photos du moins jusqu'à ce qu'il faille prêter attention au givrage de la chose afférente au soulagement de vessie.

2 – L'humidité est autrement une sacré farceuse et je peux même vous en révéler l'une des sources : l'opérateur qui ne maîtrise plus sa respiration en prise de visée longue donc jouissive et oublie même d'être en demi apnée au moment du tir, pardon déclenchement.

3 – Vent plus humidité, température effective basse, condensation, givrage... telles facéties de mère nature font bien tomber l'aéroplane pourtant si savamment pensé pour l'humain civilisé devant ignorer les doutes de la percée tactique, alors pourquoi ne perturberaient-elles pas des mécaniques dites de pointe même si elles ne jouissent qu'au 1/8000 de seconde en abondance de lumière et rapidité de l'acte.

Est donc d'importance l'équilibrage thermique lorsque celui relatif au diluant à Pastis naturel ou exhalé est rompu.

On ne peut dès lors parler de manque de fiabilité, mais de défaut du modernisme technologique : l'augmentation des cycles par seconde, pardon Hertz, des fréquences d'horloge enfin pour augmenter la performance et diminuer consommation et température implique souvent espacement entre pistes réduit donc sensibilité accrue à l'hygrométrie alors qu'il en faut plus pour émouvoir du soudé « a mano » sur substrat céramique.

Réflexions sur la catégorie climatique... tout venant : 0/70°, industrie : -40/85°, « mil » : -55/125°, ne vous affolez pas, nombre de matériel pourtant de dernière classification, particulièrement Américain, tombe plutôt dans le travers du tout-venant question composants, victime de la sacro-sainte rentabilité sans doute, celle qui fait les géants de l'industrie du consommable, fait à l'utilisateur prononcer le mot de P.J.E. Cambronne et envoyer aux cent mille diables le pourtant gentil potentat adversaire du réchauffement climatique.

Un truc qui vaut ce qu'il vaut pour savoir d'où viendra la panne : il existait déjà de mon temps des bombes de produit givrant neutre d'application précise pour justement déceler les problèmes thermiques, chez KF il me semble.

Ce qui doit être dit afin que l'on ne puisse nous traiter de marchands de plumes plus tard...

Choix coûteux et fort risqué en vérité tant qu'une nouvelle politique ne garantit déjà pas un coût de réparation décent et un temps d'immobilisation réduit, en clair l'achat d'un M8 tient actuellement du suicide financier et il semble qu'il faille accorder même motif et supporter même punition pour ce qui est du M9 ; en ce qui concerne les argentiques, ils ne sont autrement plus vraiment en moyenne pondérée une bonne affaire même si certains restent opérationnels.

La réalité, c'est que la dernière offre pour un M9 fonctionnel 7000 déclics sur xbay et sur de vraies enchères a difficilement dépassé les 8 centaines façon duel entre 2 ou 3 pèlerins désabusés, si cela n'est pas un signe, dites moi ce que c'est ? Un cadeau diront certains, mais pour qui et pour combien de temps ? Certes la rubrique des achats immédiats se remplira-t-elle d'offres démultipliées de marchands pour faire oublier l'offense, mais les acheteurs seront-ils encore là ? Il semble temps non seulement pour l'infidèle mais aussi pour le cartésien de vendre, même sur les fora, ce avant la chute des cours.

http://www.ebay.fr/itm/Leica-M9-Body-Only-/251918513956?pt=LH_DefaultDomain_205&hash=item3aa7837724

Copie hélas à revoir pour tous ces appareils à capteur perdu et même « argentiques » en mode pur plaisir de composer cela tant que l'on peut encore s'offrir un « blad » 500 à trois francs six sous, du moins le passage au numérique évolutif reste-t-il alors possible pour ce dernier.

Le bon côté des choses maintenant...

Une fois ce constat bien ancré dans l'esprit, l'usage d'un « télémétrique » pur Leitz est une bonne solution pour la photographie de rue genre grande cuisine sauce M5 élaborée avant retour au plus abordable -à l'époque- soit 4x et survivants, pardon suivants car soyons clairs, ce fut le prix de revient et celui tout court de l'engin qui vit disparaître l'innovation, Leica rétrograder en gamme et le public-quidam, pardonnant cette « erreur », naturellement bouder derechef ce qu'il ne put s'offrir.

Ainsi pouvons-nous maintenant réhabiliter un colosse autrement des plus agréables car bien en pogne à distribuer les claques, pardon caresses pour le caucasien type, taillé pour l'objectif ouvert sur la nuit et puis... et puis au diable l'avarice, s'offrir l'option dessert façon CL petit mignon 4/90 à poste, tous deux mal aimés donc potentiellement intéressants.

En mode concret, présentons l'exemple d'un résultat des courses sur le marché de l'occasion opérationnelle, recensement 2014 : 1x M5 à 470 -chéro mais beau, neuwertig comme ils disent-, 1x 50 Nokton premier d'ouverture à 530, 1x CL à 136£, 1x 4/90 Charlie à 102.5$ -comment dit-on depuis Isaac H., ah oui : cool man-, 1x Blad 500ELX à 202,99, 1x 4/50 Distagon pur Zeiss à 226, 1x magasin « 70 » neuf contre-offert à 88 ; n'ai-je rien oublié ? Ah si, 2 nouveaux accus plus leurs adaptateurs et ce qu'il faut pour garnir façon Lune les cartouches de Sa Majesté le Blad... sans oublier 150 balles au maximum pour le rapatriement du fourbi.

Pour 2000€, c'est donc s'offrir la Lune, Byzance, Constantinople et Istamboul réunies au singulier, cité bénie au temps des vrais barbouzes anonymes nostalgiques du Minox remplacé par un V-lux40, mon lieu de villégiature favori -Istamboul, pas la Lune- et ce que j'ai toujours en poche, l'essence consommable du calice de jouvence pour qui n'est pas aveuglé par la résolution numérique provisoire en mode grande illusion.

Acheter un M ?

Par habitude, par stupidité une ou deux fois il faut aussi l'avouer... aussi parce qu'il y a de bonnes occasions même en neuf et que le luxe n'est pas toujours un luxe à condition d'être non seulement esthète mais surtout cartésien.

Une mise au point manuelle plus lente... encore faudrait-il que l'être virtuel qui habite votre appareil de prise de vue soit en symbiose avec vous, Sire camarade.

Pour le photographe « de rue » qui n'a guère le temps de changer d'optique, la profondeur de champ sert à composer avec le sujet qui n'a de cesse de jouer à l'anguille façon guignol, je traduis l'opération en largage, pardon, langage « numérique » basique : mise au point sur le sujet, « spot » dira le spécialiste, puis recadrage... stop, vous êtes déjà largué ! Et je ne parle pas d'un changement d'objectif, non, pas d'optique, de guignol qui apparaît dans le champ ; en bref, vous êtes aussi irremplaçable que le doigté qui a fait la réputation de M. Casanova.

L'électronique est certes un outil performant, mais sa mise en œuvre peut être effroyablement complexe, ainsi l'intelligence est ou devrait rester nôtre, enfin vôtre.

Le senseur... il est à mon humble avis fait pour un volume clos et cette pensée était déjà celle de mes semblables d'une époque bénie mais révolue, même si le problème était autre, cette action est ainsi profitable, preuve en est le service de nettoyage à sec proposé par la firme. En fait, même si vous disposez d'un pinceau poils de Martre, il faut assumer cet axiome : avec les M, le binôme avec optiques à poste est préférable, il semble autrement logique d'envisager le nettoyage par suçon, pardon, succion pour éviter de tout répandre plus avant dans les entrailles de la bête.

Un achat pour l'avenir, certes... mais lequel ?

Une chose est certaine : le rouge, pardon, l'accent publicitaire est mis sur les chiffres, pardon, performances, qu'elles soient utiles ou non, on frisera donc le rouge puisqu'il y a menace de voir nos appareils se transformer en produits de luxe périssables à défaut d'écorner une si belle image de bête de somme anoblie par l'histoire, reléguée de fait à l'état de bijou passe-droit.

L'image d'un M, entre révolutionnaire et seigneur... du moins jusqu'à l'avènement de l'électronique en tant qu'éphémère élément de substitution.

En effet, une bonne partie de l'électronique basique d'il y a une cinquantaine d'années est encore réparable, du moins trouve-t-on encore des composants standards, ceux d'un temps où il n'était pas encore question de haute intégration. C'est un genre convient admirablement au M, par nature un engin simple adapté au sapiens-sapiens, à celui qui pense et n'est pas du genre à faire aveuglément confiance à une intelligence artificielle pur produit d'un modernisme maintenant trop luxueux pour être honnête.

Rétrocompatibilité, mon cher, voilà effectivement la solution logique mais nous l'assure-t-on honnêtement et la veut-on seulement ? Moi oui, mais est-elle compatible avec le profit que certains demanderont du constructeur ?

Certes a-t-on fait ailleurs quelque fort judicieux parallèle aérien avec un Hercules qui a déjà depuis longtemps effectué ses 12 travaux, seulement voilà, cette bête de somme n'est justement pas du luxe et il ne fut pas question de la remplacer compte tenu des budgets qui, tout en paraissant élyséens d'un temps révolu, n'en étaient pas moins limités.

Or ici, où en sommes-nous ? Nous avons des gens certes respectables mais prêts à payer n'importe quel prix une simple image induit par un produit que l'économie d'une pastille ou d'une signature finement gravée ne suffira pas à rendre opérationnel, comme au bon vieux temps.

Triste constatation que l'on puisse seulement penser au M décoratif, telle est mon humble opinion, vision d'un quatrième pouvoir « à la française » pour simples erectus -encore que même sur ce point- qui veuille qu'aller pour 100 balles faire 4 tours du Nürburing au milieu du tout-venant fera d'eux de meilleurs croyants.

Choisir un M est déjà accepter cette foutue -pardon- diversité lorsqu'il est question d'un luxe aveugle et docile qui peut certes nuire mais dont on devra se servir pour avoir ce que nous désirons, un bon outil.

Si vous acceptez que semblable appareil soit en vérité l'exemple même d'un classicisme de genre qui vit son apogée à l'âge du M... 16 et de la jungle urbaine, preuve en est cette douce mélodie à déguster avec un fond de sirop due sucre de canne, la même quantité de curaçao d'un bleu électrique, un trait de citron vert et tout le reste de vodka polonaise sur glace pilée -je vous rassure, cela marche aussi avec une Mauresque- :

https://www.youtube.com/watch?v=EbI0cMyyw_M

… alors n'importe quel M devrait être fait pour vous.

Une Leica, ma foi, pour les Britanniques, tel est le sexe de l'unité navale et celle des Aston-Martin, la seule chose que je préfère aux Leica d'occasion, alors pourquoi pas ?

Bien le bonjour, à vous et chez vous...

La question est : satisfait-il à vos besoins ?

Qu'avons-nous en fait pour le prix d'un vénérable M3 de l'époque du conflit cochinchinois ?

Déjà le luxe en matière de boitier de ce style... le mal aimé M-Mike 5, surtout destiné au rat du désert de la nuit qui ne travaille qu'à pleine ouverture ; peu de gens semblent en effet avoir remarqué que le télémètre impose sa forme plus massive et qu'elle se justifie donc pleinement aujourd'hui avec la démocratisation de l'encombrante optique lumineuse ou comme il est dit maintenant «rapide», mot d'une étrange époque ma foi ou l'on cherche toujours à convaincre de l'efficacité avec des termes qui laissent dubitatif le scientifique même adepte du ppcd.

Adeptes du coup de main... la vraie rapidité concernera l'accès aux organes de commande.

Or donc déjà à l'époque de mon premier engagement, on pensait chez Leica à autre chose que de satisfaire l'ego du déclaré «pro» certes plus démesuré que la réserve et le cartésianisme de l'humble vétéran ; une des solutions d'un problème dont les témoins peuvent manquer d'objectivité est donc de faire déjà et pour une fois confiance à ces gens qui s'échinent à nous apprendre l'ergonomie et l'efficacité en faisant évoluer ses boitiers contre vents, marées et professionnels du paraître à défaut de l'habitude.

Il est de notoriété publique que le sapiens moyen ait la tête dure au point que Leica doive sans cesse concevoir ses boitiers les plus innovants en dépit des modes ; pensez-donc, trois générations que ces Messieurs essayent de proposer une chose aussi élémentaire qu'un sélecteur de vitesse concentrique au déclencheur... outre le sculptural M5 taillé pour héberger un Noctilux et ses descendants, l'immense Leicaflex ainsi que les R8/9 partagent ce goût du doigté agile qui sied à tout humain vicieux, pardon, consciencieux.

Or donc, revenons à nos moutons, pour le prix, quelles sont les autres options...

L'idéal pour le fantôme diurne, soyons alors humbles et cartésiens : un couple de CL, tout simplement ; il est si petit que c'en est indécent et il peut encore être acquis pour trois francs six sous. L'illusionniste le fera aisément passer pour l'appareil du pauvre... pauvre de lui car c'est une formidable machine a prendre des photographies en toute discrétion, modèle de compacité et de modernité.

Soyons francs, ce CL à moins de 200 brouzoufs fera tout ce que fait un M3, qui plus est pifomètre en moins et même le travail dédié au M5 si ce n'est qu'il n'y ait pas de vis de réglage pour rattraper le mauvais coup.

Que vous ayez de gros besoins, ou même si la satisfaction d'un seul fait votre bonheur, prenez-en plusieurs...

En fait, que ce soit CL, glorieux M3 ou autre, tous sont fait pour vous pousser à la bigamie, un boitier avec à poste un 40 ou 50, un autre avec un 90, solution depuis des lustres adoptée par le volage et qui, un tant soit dit, résout certains problèmes des modèles à pixels (mais si, vous savez, le coup du capteur qui se retrouve trop souvent tout nu et barbouillé de...), d'ailleurs imaginer fiable un capteur sur un boitier à objectifs interchangeables et souvent changés reste actuellement vœux pieux hors des salons et instituts pour beautés fatales.

Rappelez-vous, gens bienheureux, qu'actuellement pour le prix d'un M7 même d'occasion ou équivalent à picsou, pardon, pixels, vous avez un M5, un CL, un Leicaflex SL2 et un R8 en prime le tout dans un état à faire pâlir d'envie le collectionneur et eux tous parfaitement opérationnels pour longtemps encore.

Le M5 collé au Noctilux, pardon, Nokton grand ouvert, les CL pour le feutré, le Leicaflex bien en main accouplé au 28 PC Schneider, pardon Leica parce que tout se fait en manuel et le R8... pour la jolie brunette qui m'accompagne lorsqu'un automatisme évite la distraction.

Garder ce M-Mike 3 ? Au fond pourquoi pas si un compère lui est adjoint.

Sinon une bête, enfin pas tant que cela, pince à «circlip» peut-être...

Certes cela pourrait-il passer pour de la grosse cavalerie, mais on en trouve des modèles de précision à becs recourbés avec moults têtes et ajustements (13€ chez Conrad).

Tout ce qui est petit... sans avoir à chercher sur le Kompass.

http://www.octantenligne.com/accueil.html
http://www.micro-modele.fr/index.php?op ... 17&lang=fr
http://www.outils-horloger.de/html/petit_materiel.php

Attention au couple de serrage, sur de l'alu mou du bout -pardon- ou du bronze avec une vis en acier très carboné, un peu trop de poigne et c'est adieu filets.

Bonne chasse...

Bien le bonjour, nobles Sires ou Camarades.

Consumérisme et vieilles dentelles...

Produire «à sec» un coûteux R10 ? Voilà bien qui serait risqué ; serait-il seulement vendu compte tenu de ce que propose déjà la concurrence en matière de performances ? Nous ne sommes pas dans la niche du S, ni de celle d'un M emblématique et certes une décision de travailler dans ces axes fût-elle raisonnable. Accessoirement parlant, la solution pourrait bien être intermédiaire ; il est en effet autrement improbable qu'un dos «R», remplaçant au pied levé un DMR maintenant rentabilisé par le professionnel, fasse de l'ombre à un matériel plus homogène doté d'une électronique conséquente et probable même qu'il lui serve de tremplin.

Un dos nu pour une forme sexy... du moins au goût de certains.

Le plus étrange restera que ce dos numérique, dont la réalisation ne poserait maintenant guère de difficulté compte tenu de la démocratisation des capteurs «plein cadre» et de leurs électroniques associées, ce dos disais-je est d'actualité puisqu'il se vendrait à autant d'exemplaire que de R8/R9 restant sur les quelques 45.600 produits (corrigez-moi si je me trompe).

Mieux, je suis persuadé que certains n'hésiteraient pas à confier à Leica l'éventuelle remise en état du ou des leurs à cette occasion.

En supposant qu'il n'y ait actuellement pas de petit profit, ni de meilleur qu'une grande fidélité et qu'une réputation se fassent de cette manière...

Accessoire sans fioriture aucune facturé disons... dans les 500€ pour être particulièrement attractif et pour ainsi dire incontournable, ce serait certes une meilleure solution que de sortir à ce prix un nouvel appareil complet de série Z dont on sait que le coût de production provient essentiellement de l'optique et d'un assemblage complexe.

Autrement Leica prouverait-il encore l'intemporalité de son design là où d'autres en sont réduits maintenant à produire du faux «vintage». Le nombre de R3/R4... R7/R6.2 «mil» qui s'échangent prouve d'ailleurs que tel rétrofit est jouable à bien plus grande échelle, louable attention due aux gens de l'art qui savent qu'indépendamment de toute réflexion virtuelle, tout se résume à l'ouverture d'un diaphragme, d'un obturateur et que jouer avec la profondeur de champ est la clé d'une anticipation que l'intelligence humaine devrait savoir gérer à merveille... à condition que l'individu soit sapiens.

Que diable, le photographe, c'est vous dira le moustachu.

Si le R9 était une automobile, ce serait une Aston-Martin ai-je entendu, Vanquish des années 2000 devenant Vanquish d'aujourd'hui, voilà ainsi une fort belle destinée... a noter pour mémoire que cette firme fournit aux usagers sa volumineuse documentation de maintenance 4ième échelon en téléchargement !

Multitude de petits profits pour grandes ambitions...

Avec tout le respect que je vous dois, chers Maîtres créateurs de Solms, ne soyez pas ballots, produisez ce ou ces dos (je sais, ça rime...) et cela d'urgence, quitte ensuite à repenser l'essence d'un si sexy R9 pour qu'il devienne ce 10 informatisé usant du même dos nu.

Aussi plutôt que de sortir la Xième version d'une copie de Panasonic et même si j'use souvent d'un petit V-Lux40 pas vu pas pris, Messieurs, vous avez là une fort belle ouverture pour rameuter une clientèle qui souvent s'égaille, pardon s'égare ailleurs, ainsi dans les fora et ici même parle-t-on d'achat de boitiers d'autres firmes pour y mettre de sacrosaintes optiques... que vous ne produisez plus.

Amener l'amateur à la gamme Leica en gagnant ce marché par un jeu subtil qui rompt avec une obsolescence imbécile et renoue avec l'art d'être efficace est le moyen de prouver que l'on est à l'écoute du consommateur et qu'une lignée à l'ergonomie si parfaite ne peut décemment s'éteindre ainsi chez Leica.

Certes faudrait-il que ceci soit fidèlement traduit dans la langue de Goethe et envoyé aux intéressés... à 40.000 exemplaires.

Vendu... si tout le reste fonctionne.

Aucun problème pour récupérer l'animal sur La Malmaison cette semaine.

Contact par MP, merci et à bientôt.