Mes respects au connaisseur... un tantinet moins connue que la célèbre Stratos, elle reste en effet agréable, cette petite Monte-Carlo.

J'ai autrement usé d'une Thema équipée d'une motorisation issue de la redoutable sus-citée, certes moins vive avec le poids d'une carrosserie à l'allure disons plus... diplomatique mais "le pied" à conduire, si j'ose dire, en évolution serrée pour le pilote expérimenté.

Soyons fondus et enchainons sur le créatif, car après tout, le numérique doit bien être bon à quelque chose et puisque c'est champagne, petits fours, fort jolies Dames à mettre en scène et que l'on peut même être payé pour cela...









Ah oui ! Pour ceux qui seraient inquiets quant à une utilisation dispendieuse de nos impôts, l'Aston-Martin n'est à ma connaissance pas cadeau de départ pour les chanceux à défaut d'être les meilleurs, traduisez pour ces derniers ceux qui nous ont quittés et entendez pour les premiers ceux qui restent en vie malgré l'eau de vie, pardon la richesse historique méconnue de leur première vie.

Ayant assisté à la première -du film-, je tiens en effet à préciser que les bonnes résolutions concernant les produits alcoolisés sont bien finies, avec une scène d'anthologie d'une rare violence concernant l'usage des boissons diététiques.

Toutefois, M. Fleming n'étant pas en réalité un grand promoteur des mélanges buvables, même pour professionnel virtuel sur le retour, il sera temps de changer de cocktail, par exemple et pour n'en citer qu'un des plus attractifs sur le même thème : sirop de sucre de canne pas trop, curaçao un peu, vodka bien plus sur glace pilée et zeste de citron vert. A réserver aux adultes qui abusent de leur seconde vie, naturellement.

Pour l'autre petite histoire, celle de ce chef-d'oeuvre mécanique qui fait honneur au savoir-faire britannique, DB sont les initiales de Sir David Brown, autrement fabricant de... tracteurs, tout comme le plus controversé selon quelques mauvaises langues M. Ferdinand P., oui je sais, aussi concepteur de chars façon blindés pour les marcheurs au pas de l'oie, merci.

A votre santé...

Hommage à nos amis d'Italie, la divine... oh et puis, devinez !




Rallye façon Basque : axoa -prononcer atchoa- et belle italienne. Ne me prêtez pas d'intention déplacée, c'est mon petit côté Maître queux qui ressort.


Icône populaire d'un autre temps, la « Juva ».


« Sacrés Ricains, il serait temps qu'ils arrêtent de chromer dur l'extérieur pour peaufiner l'intérieur du moulin. »

De rien, l'exposé des faits et de la vérité étant si complexe a présenter de nos jours.

Or donc, si l'on rajoute à cela que l'apochromato-Telyt était destiné à une application purement militaire, que nul chez S&W, pardon ELCAN n'imagina qu'il puisse ainsi et aussi satisfaire l'artiste peintre-photographe sapiens de l'époque compte tenu que toute solution à un problème en amène d'autres -de problèmes-, on imagine le reste...

En bref d'indésirable à cause des effets secondaires, l'ajout de lentilles sembla motiver une mode qui perdure, on s'arrangea aussi du fait que la même formule optique et un notable allègement puissent engendrer un bénéfice lui aussi notable -celui de la firme mis à part- ; alors dans les chaumières, le duel des 380, pardon des 3 180 n'en finit pas de faire des victimes consentantes tant il est vrai que le retour sur investissement soit motivant pour le praticien plus artiste façon fleur bleue sensible à toute marque de reconnaissance que professionnel froid de tête.

Certes suis-je pragmatique, musclé encore pour préférer le monstre et sa stabilité si besoin est, n'étant plus obligé de discerner un Mig d'un Mirage, d'ailleurs ainsi pourrait-on qualifier l'objectif idéal.

Le « boat anchor », traduisez l'ancêtre-qui-pèse-un-âne-mort digne de servir d'amarrage, est en effet parfait pour une prise en rafale de par sa masse difficile à exciter -mais du genre pénible lorsqu'elle l'est- et sa mise au point difficile à dérégler -à ajuster aussi, merci-, la v2 conviendra au même pèlerin moins musclé mais toujours conscient du problème, la troisième et suivantes à l'incorrigible fondu du défrangeage même s'il ne traite pas l'infra-rouge -le praticien, l'objectif si puisque c'est en fait son... objectif- et si le rendu global resta initialement un tantinet plus, comment dire... brouillon, façon bouillon de culture voyez-vous, plus fade en somme (de fading, disparition souvent sélective caractéristique du signal global qui se noie dans cette abondance de lentilles donc de milieux et de leurs transitions favorisant aussi dispersion et même réflexion -non, pas ce qui vous perturbe actuellement, celle qui se produit lorsque tout rayonnement s'ingénie à ne pas traverser bille en tête, à l'angle voulu et sans y laisser quelques plumes des surfaces au contour de plus en plus variable-, fermez la thèse, pardon longue parenthèse).

Simple mais logique, non ? Sinon 2 lentilles correctrices -à faible dispersion tout de même- et zou, le tour est joué, voici tout de même bel exploit à mettre au crédit de la clinique du prolifique Dr. Mandler ; question : alors le reste, c'était quoi comme verre ? Pas du verre à verre tout de même... même si Schott Zwiesel en fait de fort correct ? La pilule plus ou moins admise à l'époque, il fallut enfin après convaincre qu'amélioration théorique aidant, il était possible de retrouver tout le charme de la version première -sauvés !-.

En résumé, certains esprits critiques du milieu scientifique énoncèrent tout de même un principe selon lequel APO ou a-popo est surtout réflexion réservée aux nourrissons en deçà de cette valeur de distance focale, ainsi soit-il rationnellement parlant et conclusion aussi évidente qu'un Reslo des Beatles soit moins ch.... à dépanner qu'un « rocket » AKG 2x2 de la chambre des communes de Grande-Bretagne et des rockeurs purs et durs réunis.

Notez qu'il faut avoir quelques notions de radioélectricité appliquée à l'optique service resté secret pour le quidam, que j'ai fait au plus simple sans trop entrer dans les fondements de la propagation des rayonnements dans les milieux non-homogènes et qu'il conviendra d'apprécier les arrangements pris dans les méthodes d'incitation au luxe actuelles avec une physique qui veut que le parfait soit une notion toute relative.

Plaisanteries rayonnantes mises à part, le plus intéressant sera de constater que les conclusions seront fonction de la nationalité du praticien, de sa position hiérarchique souvent et... de la somme de deniers engagés, d'autant moins rationnelles que celui-ci sera prêt à tout pour justifier la dépense ou épater la galerie, naturellement.

Allez, histoire de faire travailler les zygomatiques le jour du Seigneur, rien de tel qu'un petit exemple tiré d'un des fora les plus prolifiques :

« FluffPuppy wrote:
danfromm wrote:
Fluffy wrote, re the 180/3.4 Apo-Telyt R:

Quote:
It's a reconnaissance lens, not a pictorial lens.

Are you sure?

Of course I am sure! I was designed for the US Navy by Leitz Canada. It was part of the "High-Resolution Photographic System". You learn all about it from google. A terrible lens for general use, but good for its intended purpose. It's not a 'bad' lens, just not designed for pictorial photography.

Fluffy, I think you're mistaken.

Erwin Puts (see http://www.furnfeather.net/books/pdf/llcforweb.pdf) makes no such claims. »

En clair : puisque je vous dis que j'y étais ! - Oui, mais pas dans l'évangile selon Saint Erwin...

Grands Dieux sont-ils croyants, irrationnels et même dépendant de l'Ag symbolique ! Bon, celle-là, je ne savait plus où la caser tellement elle s'applique à tout ; mes devoirs, Camarade Albert.

A Rome, ville ouverte.

911 Porsche ? Il serait temps de changer pour une Aston-Martin -je déconne-.

Juste après la Vanquish, promis juré, j'use de mes pouvoirs discrétionnaires passés pour aller chercher une Morgan...

Croyez-moi si vous voulez, mais certains iconoclastes échangent l'échappement d'un V12 savamment étudié par les artistes de Gaydon ou de Newport Pagnell pour de bruyants résonateurs ; Mesdames, insurgez-vous ! Telle attitude est irresponsable, surtout lorsqu'en bonne infirmière attentive « born on the bayou », vous exigez un run through the jungle ou paint it black en fond d'ambiance et à fond la caisse pour remettre dans la course un rare jour de grande mélancolie votre mâle aimé anciennement sinon idéalement shooté à l'adrénaline.

Soyons sérieux, une Bentley est faite pour les addicts de Monaco façon société des bains de mer, une Aston à grande allonge pour aider le survivant du who dares win reconnu barré à aller jusqu'à l'ancienne Istamboul en suivant le tracé de l'Orient Express pour aller décrocher les instruments du mur dans un endroit seul connu des purs fondus afin d'entamer « bella ciao » avec la faune des gens d'exception... et une Morgan pour le plaisir d'un été dans le Sud-Ouest ou le Kent, au fond, la vie n'a rien de bien compliqué.

Bon, si une remarquable 328 « le mans » reconnaissable à ce qui sert de pare-brise m'est offerte, certes un tantinet légère selon l'actuel standard mais si délicieusement charmeuse, l'élément féminin de qualité qui m'accompagne toujours n'y verra aucun inconvénient, lui ou plutôt elle qui se shoote déjà à ZZ-Top et s'envoie, faisant fi de l'air du temps, du Vivaldi façon Pasionaria.

Joyeusement vôtre...

Allez, une fois de plus ne faisons pas dans l'économie de couleurs et de prises de vues taillées au carré car l'improvisation et le luxe d'une pastille ronde n'ont jamais suffit, ainsi soit-il.

Récupérez Harlem nocturne de Messieurs Hagen & Rogers avec M. Otis au saxophone (Non: c'est Rene Bloch ou Jack Dumont au saxo alto! Johnny Otis ne jouait pas de saxo... Version Bud Shank ou IJS au ténor pour une ambiance plus feutrée) si vous êtes accompagné par une compagne plutôt pétulante ou par l'Illinois Jacquet Sextet version 56 dans le cas contraire, je sais, c'est plutôt tendance grosse pomme -pas moi qui suis toujours entretenu, pardon me suis..., la musique-, mais j'aime le mélange des genres et des civilisations, et en avant guide à gauche façon insulaire pour la balade.



















Un brin d'architecture navale à Venise, la petite...


Allez, j'avoue, outre le petit côté correction de perspective de certaines prises -mon petit côté maniaque de fondu de la perfection-, d'autres ont été prises -toujours au Leica- mais avec un V-lux40, « king of the pocket » à 2 balles, amusant non ? Un brin de nostalgie du minox à l'évidence, façon celui qui en avait marre du froid.

Ah si, à Londres ville ouverte, si vous n'avez pas de pied, les plantureuses boites aux lettres sont là pour palier à son absence... et les pubs ferment désormais à minuit même à Soho -bon, je sais, cela ne date pas d'hier, mais moi non plus et quand j'y suis, j'aime y rester-.

L'alimentation, c'est pour le commerce du coin... et juste pour le posemètre lorsqu'il s'agit de réflexion électronique appliquée à la photographie.

Cat's meow, rhapsodie pour un 12 cylindres.


Un moteur ? Ca, c'est un moteur... enfin une petite partie, foi de Jade, si belle siamoise aux yeux si bleus -je sais, encore une Dame- ; au-delà, question célébrité et performances, voyez le Rolls-Royce Merlin d'un Spitfire.


Et de plus, il a de la place pour s'étaler...


... vu que ce n'est pas le genre de motorisation un tantinet gonflée et boutonneuse pour gamins jeunes ou vieux mais en perpétuelle recherche du coup de pied au fessier dont ils ont sans doute manqué, celui en l'occurrence issu d'un moulin au « creux » prononcé pour que l'on puisse bien sentir l'accélération réparatrice, gadget donc que l'on trouve généralement dans un bâti à moitié vide ; pour le trouver, c'est facile, cherchez un truc poli brillant avec beaucoup de place autour pour le refroidissement - oh, je plaisante ! -.

De plus, j'ai fait mes classes sur 4L, alors...

Bonsoir chez vous.

Allons-y donc de mes petits chantiers...

Cette fois exercice de style version couleur qui rapporte, façon catalogue, perspective corrigée et tout le tremblement -non, je n'ai pas dit la tremblote, ou alors juste un petit restant de palu-.

Messine en ruine, bon, pas tout à fait, juste un coup de balais et ça repart ; un tant soit dit, surtout si vous êtes scout toujours et vénérez M. Baden-Powell, je recommande cette vénérable cité qui recèle des trésors.


Athènes, mon préféré, inutile de présenter l'endroit, c'est... trop cool comme disent les pisseurs de lait, de plus et cela rien que pour vos yeux, les touristes en moins.


Marseille-peau-neuve, une petite fantaisie dans le moderne, petite prise témoin-type, de celle destinée à convaincre l'investisseur qu'il a eu le coup d'oeil.


Cadix-plage, pardon Messeigneurs, Camarades et Maîtres, mais c'était trop tentant...


Bonjour chez vous...

Ainsi l'on ramena une fois encore la baille le bout* entre les dents -plaisanterie Bretonne concernant un gonfleur d'hélice qui fit quelque rotation là-bas... si, c'est comme pour le choux, il y en eut aussi de même que quelques actions diplomatiques d'anthologie, bout entre les dents disais-je et quelques photographies, certes certaines d'une incontestable valeur qui complèteront donc admirablement celles de ceux qui servent et servirent, civils ou militaires.

Qui était la Marraine, cette fois-là, ah oui ! Mme Jeanne Manson

Tout est là en version originale :

http://www.taaf.fr/

* Vous constaterez qu'il est bien sur le site de l'aimable M.Julien, pardon Chef Julien, qui dédiera sans doute son œuvre à ceux des TAAF, ce fameux bout qui servit tant de fois et impressionne toujours celui qui ne sait ni ne vit que par ceux qui découvrent pour une fois l'existence de l'autre vie.

Excellent Maître Erstar, excellent... quelle osmose d'idée dans la pensée future, quelle anticipation, quelle répartie.

Comme l'estimable M. JMGé nous l'a si bien dit, il n'en reste autrement plus que 2 d'authentiques de ces 57SC reines de l'élégance façon M. Ralph L., dominant les cieux de légende telles les trois Gloster Gladiators de Malte : Foi, Espérance et Charité, ici Rothschild, Holzschuch et Pope, bon, question charité, tout est relatif... la seconde ayant autrement perdu l'existence avec ses passagers sous un train en 55, vous n'en verrez plus qu'une d'active, puisque Rothschild fut acquise par un musée ; quelle misère ! Non, pas seulement de ne pas avoir ce bijou, le fait de ne plus en voir -bon, ça va, j'arrête-.

Il s'agit donc selon toute probabilité de la réplique de M. C. Robert.

De passage à Genève, en traction au Wilson, attraction pour les yeux.


En ces temps de canicule, n'oubliez pas de vous hydrater sans exagérer sur la Mauresque...

1 - Pour le -35 à +50°C et accessoirement le close-combat, un R3 me semble approprié ;

2 - pour les petites mains et petit budget un R4 (60 balles sur xbay), même motif mais avec la correction dioptrique en sus R5/7 ;

3 - pour utiliser le 28 Schneider pendant encore un demi-siècle, le SL2 ;

4 - pour faire moderne, ne pas avoir trop à réfléchir dans l'ajustement à la volée et espérer que les gens de S&W daignent enfin et en personnes responsables conscientes de la respectabilité d'une marque faire un dos nu numérique, pardon digital mais décent à 500 balles -pas le genre coûteux DMR-der-erste qui, s'il reste passablement utilisable, n'a jamais été objet à collectionner et vaut désormais moins que son pesant de caramel sans toutefois coller-, les R8 ou 9 (100grammes de moins).

Une fois pour toutes, digital n'est pas tiré de digitaline pour insuffisants neuronaux.

L'abandon du dit coûteux DMR, soit -pour nous- un immense gâchis après son existence éphémère, fut comble du camouflet pour nous qui considérions déjà l'électronique embarquée comme valeur relative et cela depuis belle lurette, nous qui attendions une modularité image d'une firme qui sut transformer un Leica I des années 20 en III trente ans plus tard.

Combien de temps faudra-t-il attendre encore, plutôt jusqu'à quand va-t-on nous prendre pour des Bachi-Bouzouks usant de n'importe arme alors que l'on sait intégrer du pixel à haute dose jusque dans le plus basique téléphone chinois ; non, vraiment, la seule difficulté est que les fabricants aient l'amabilité de concevoir leurs capteurs pour qu'ils puissent venir élégamment donc physiquement s'encastrer dans une fenêtre de 24x36mm.

Est-ce utile de préciser que j'use de tout ce fourbi et bien plus, eu l'occasion de l'utiliser et que celui de la marque que j'utilise désormais le plus est un mignon V-Lux40, pas prétentieux pour un sou mais simplement fonctionnel.

Côté taquin mis à part, question problème connu de cellule, il faudra que j'ouvre un 9 acquis pour 100 balles histoire de voir s'il ne s'agit pas simplement d'un aléa de contact, sinon, ce genre de désagrément mineur mais notoire commence « à me les briser menu », vu qu'il ne s'agit maintenant plus d'un hasard.

Allez tiens, pour calmer le jeu, cadeau pour l'estimable Maître Filament... Genève, XXI ième siècle, Maine Coon à mon avis.


Amicalement vôtre...

Pour que la musique envoûte faut-il envisager telle perspective, merci et bravo M. Travers de Lutèce.

Dites, c'est où l'Amérique ? Par là... M. Rochambeau à Vendôme


Dites, c'est quoi la diplomatie ? Un art ancestral fort risqué qui peut s'exercer bien loin de chez soi... M. Hasekura Tsunenaga*, samouraï et ambassadeur de son état à Civitavecchia -la statue-.


Dites, c'est quoi la Justice ? Une réflexion sur comment remettre droit ce qui est par nature bancale... Dame Justice à Naples.


* Ses descendants furent exécutés et ses biens saisis, conformément à la loi du bancale, d'où les doutes de Dame Justice.

Bonjour chez vous...

Bonjour chez vous...

Bon, ce n'est pas tout cela mais vu tout cela et toutes ces bonnes choses, il va falloir faire preuve d'une certaine créativité, histoire d'émouvoir.

Allez tiens, je rends l'exercice un chouïa plus difficile -pour moi-, juste à Londres

Le classique revisité, façon un poil moins monotone : tour de pont sur le pont des tours.


Méli-mélo de tours façon British et illusion des plans, notez que cela "rend" mieux en 30x40.


Tours et tourelles, tirez la chevillette et la lumière s'éteindra -le plaisante-.


Tiens, un doublé*...


* Cdt Dromard, le monocle rit jaune.

Best regards.

Simple : le Blad à la rigueur si vous êtes payé pour ou décidé à redécorer les murs, mais avec le Distagon alors (le vieux en finition argent -j'aime-, c'est aussi bien et il est moins chaud sous la cagna), autrement un R5/7 avec ce « chien de guerre » de 28-70 : léger et efficace, tout le reste, c'est pour faire genre ou surfeur sur la vague vintage, Nikonos mis à part -je plaisante-.

Walking to the moon... réalisé sans trucage aucun.


Il y a là-bas le ciel, le sacré, la mer... et pas que le pur nu des murs.


Bon, d'homme à homme, vu qu'il s'agit de vacances, il faut bien caser les bons coins :


Endroit toujours aussi sympathique ma foi ; oups, j'ai oublié le cadre autour de l'ordnance, mais bon, comme la tendance est plutôt au nu dans nos magazines de mode, pardon, d'archi.

Bon, allez, je vous fais le triton en encadré mais pas en n&b pour que vous puissiez voir la transition sur le buste ; décidément calcaire ce diluant à Pastis, heureusement que la Guiness n'est pas chère à l'Ordnance.


Ah si ! Question harmonie des formes, il y a des endroits où règne une certaine unité.


N'oubliez pas d'aller caresser Mary Rose, je donnerai personnellement un sacré paquet pour m'envoyer en l'air avec ! Pas d'affolement, Mesdames, vous aimerez aussi, pardon, je m'enfonce, sachez qu'il y a un sens caché tout à fait respectable et propre à l'histoire de Malte.

Leica ou Zorki, tout n'est que mécanique.

Bon, moi, j'aurais en bon gentleman cédé mon couvre-chef à la Dame, mais est-ce la solution ? Non, en fait, mieux vaut faire fi d'un machisme dépassé et laisser le manche au pilote expérimenté que l'on aura pris soin de choisir agréable, ce d'autant plus que ses Dames adorent mener le bal sur si bel engin -je parle de la Ferrari, naturellement et n'essayez pas de tromper celles que je connais sur ce point, je parle des Dames-.

Pour mémoire, une 212 « export » s'est vendue pour une somme assez rondelette ce 23 mai chez Sotheby's, mais las, rien n'y fait et je reste attaché à l'hérésie Aston-Martin qui veut que l'on puisse garder un modèle à vie. Notez que la firme Evanta s'est mise dans la tête de créer pour un coût raisonnable une « Barchetta » équipée... du V12 Aston-Martin, juste probablement limité à 270, naturellement.

http://www.evanta.co.uk/barchetta.htm#all

J'imagine que le Martin-Baker zéro-zéro sera fourni avec en option tous risques, même sans la cravate.

Autrement ça, c'est une vraie automobile hors concours...


Rendons à César, ce qui est à Rome... qui plus est, cette beauté nous fit de l'oeil.


Bentley à Guernesey.


Senteur ficus façon Z3 à Livourne.


Bonsoir chez vous...