Sur cette serie du Luxembourg, j'ai un coup de coeur pour le première, une très belle lumière !

Les deux et trois sont trop éloignées, comme une première approche qui aurait du se concrétiser par un gros plan plus proche. Plus facile avec les musiciens (ils sont concentrés...) qu'avec la personne aux pigeons (ce serait dommage qu'un photographe arrive avec ses gros sabots pour briser cette harmonie ).

La dernière a du charme, mais le fond sombre fait perdre au cadrage vertical son attrait.

Amicalement.

Je vous réponds Faros : mon cas est similaire au votre.

Je suis très à l'aise en infographie (c'est mon métier au départ...), mais mon plus grand plaisir actuellement est de tirer mes photos NB plein cadre, avec le moins de masquage possible.
Un peu de pratique en diapo m'a aidé à cette rigueur. En effet, cela demande d'être très rigoureux sur son cadrage, et surtout sa mesure de lumière. Une bonne école....

Pour ce qui est du panoramique, niveau1 dans ma breve explication, je fais une exception : n'ayant pas les moyens d'un Hasselblad XPan, il n'y a pas vraiment d'autres solutions pour faire du panoramique avec un film 24*36 que de "découper" le tirage.

Le numérique tend les bras vers la retouche systématique. Un mal ? Oui je le pense car beaucoup d'utilisateurs amateurs pensent retouche avant de se concentrer sur la prise de vue (et d'en apprendre les techniques). Je connais même des gens (pas de nom ) qui cadre large au numérique une foule pour réaliser des portraits par recadrage sous Photoshop. Un hérésie à titre personnel (mes convictions...), une possibilité utile à titre professionnel où seul compte un résultat "visible" et non pas "joli".

De mon côté, cela va vous paraitre stupide , mais je n'arrive pas à régler le scoponet que l'on me donné récemment.
L'image est plus nette "à l'oeil" qu'avec !?!

Une idée ?
Cela a-t-il un rapport avec cette épaisseur de feuille comptée ou non ?

Je comprends votre point de vue : rien n'est plus magique qu'une photo 100% parfaite, cadrage, luminosité, teinte, netteté. Mais malheureusement, ce n'est pas toujours le cas....

Après dans les "améliorations", il y a plusieurs niveaux :

niveau1 :
- un changement de l'homothétie, pour un format que l'appareil ne prend pas en compte nativement (c'est le cas du panoramique, ou du carré). On ne "zoom" pas artificiellement dans l'image, car cela revient à du découpage.

niveau2 :
- un recadrage "zoomant" sur une partie de l'image, ce qui revient au même que le zoom numérique, ou un recadrage fait à l'agandisseur au labo noir et blanc.
- une légère retouche de la luminosité (ou de la teinte) ou du contraste, comme cela se faisait avec le masquage ou les grades NB au labo

niveau3 :
- deplacer ou éliminer ou rajouter une partie de l'image (un personnage, un objet, l'arrière plan...)
- améliorer les textures, notamment sur le grain ("les défauts") de la peau.

Cela n'est qu'un jugement subjectif et personnel.
Mon petit essai n'en était qu'au niveau1, après on peu rajouter un vol d'oie en contre-jour dans le ciel (niveau3) et augmenter peut-être l'intérêt de l'image, mais diminuer son authenticité.
Les niveau1 et niveau2 sont employer depuis des lustres, bien avant l'apparition de l'informatique, notamment par des techniques de tireurs noir et blanc (grades, masquage, densifiant...). Après le niveau3 n'est devenu vraiment accessible que depuis quelques années grace aux scanners et appareils photo numériques.

C'est le problème du numérique : beaucoup de gens pensent pouvoir tout faire en post production et néglige l'essentiel à la prise de vue (cadrage, mesure de lumière...).

Ce n'est pas votre cas, mais il faut avoir un état d'esprit définit à la prise de vue :

- soit vous décidez de ne pas "retoucher", de ne pas "améliorer" votre image de quelques manière que ce soit, et donc il vous faut être extrêmement rigoureux à la prise de vue (comme en argentique avec une diapo). C'est le plus dur mais aussi le plus satisfaisant pour la fierté personnel.
- soit vous accepter quelques retouches minimes (niveau1 et niveau2), et vous vous pardonner quelques écarts à la prise de vue et passez plus de temps (c'est souvent long la retouche...) à la mise en forme finale. (comme au tirage NB en labo)
- soit vous choisissez de retravailler entièrement votre image une fois prise, vous "mitrailler" sans précision puis vous améliorer à votre guise et donc vous devenez presque un peintre, où le réalisme importe moins que le résultat final.

Ce choix détermine votre manière de travailler sur le terrain.
Voilà moi humble avis.

Amicalement.

Votre labo est-il humide ? Si oui, il est possible que le contact non-uniforme du film sur le verre froid et humide provoque des petites taches, comme des bulles d'air (en quelques sorte) retenus entre la vitre et le film.

C'est possible... Le neg doit être parfatiement plat et "pressé" uniformément contre la vitre.

Pour ce qui est de la méthode, perso, j'ouvre à f:8 et monte la colonne assez haut, à la fois pour que la lumière recouvre largement la contacteuse (éviter une forme de vignetage par anque de lumière sur les bords), et pour diminuer l'intensité lumineuse (et augmenter le temps d'éclairage qui serait sinon bcp trop court).
Je ne met pas de filtre gradé.

Petite question : votre passe-vue est-il en verre ? Le mien ne l'ai pas. Peut-être qu'une accumulation de couches de verre produit ce type d'effets (anneaux).... Je ne sais pas, c'est juste une piste.

Je trouve bien ce système de financement :

- ceux qui veulent (et peuvent) le top du dernier cri neuf optent pour le leasing (ou le cash, c'est selon )

- et puis ceux, qui, comme moi rêvent de Leica sans en avoir les moyens, espèrent que les gens cités ci-dessus revendront leur matériel d'occasion à un prix abordable, pour afin accéder à cette grande famille.
Sniff, sortez les mouchoirs .

Sans rigoler, pensez à donner une seconde vie à vos M4/M6 dans la rubrique petites annonces

Joli photo. J'aimerai y être à cet instant... avec juste un petit pull en plus

L'exposition est prise pour le ciel, le sol est donc tout noir. Pourquoi ne pas faire un panoramique avec la moitié supérieure de la photo ?

Je me suis permis d'essayer :



Votre avis ?

D'après ce que m'a dit un revendeur, c'est Leica qui assure, à ses frais, ces taux très avantageux, une ristourne en quelque sorte Pas de loup au coin du bois semble-t-il....

Il est alors plus intéressant de garder ses petites économies sur un modeste Livret A et de prendre le leasing Leica. Ce que je ne connais pas, ce sont les conditions d'aquisition (option d'achat, possibilité d'arrêter le leasing en cours, variabilité du taux...).

En photo, y a des périodes comme ça où tout part de travers.....
... et puis d'autre où au contraire tout roule !

Mais c'est râlant de bousiller une pellloche à laquelle on tenait à cause d'une connerie.

Il semble en effet que l'Hexar soit en fin de vie. Dommage, une alternative de moins...

En occasion, j'ai vu les prix suivants (Paris ou Lyon) :

- M6 non TTL = 1500 euros environ
- M6 TTL = 2000 euros environ
- M7 (neuf model d'expo ou occasion) = 2700 euros environ

Mais je ne dis pas que les offres sont fréquentes... L'Hexar d'occasion est lui aussi à des prix corrects (moins de 1000 euros) mais le SAV sera-t-il assuré longtemps ? D'autant plus que certaines séries avaient le télémètre "sensible" (dérèglement facile).
Le seul concurrent encore en production des Leica M, mais dans un registre moins haut de gamme et pas consquent moins performant, il reste le Voigtlander Bessa R2. J'en suis un heureux propriétaire, alors je le fais savoir C'est rustique, mais ça ne fonctionne pas trop mal (voir rubrique "Compatibles" dans le forum pour apprendre plus de choses)

Disons qu'en cherchant bien, pour 2000 euros (prix du Kit Hexar neuf), il est possible d'avoir d'occasion un M6 non TTL et son 50 Cron en bon état (mais souvent pas révisé ni garantie).
Mais pour une gamme d'optique complète, vous trouverez peut-être quelqu'un qui se séparera de son équipement complet, pour passer au numérique ?, non arrêtez !

Reste le MP (ahhhh !) en leasing Leica, pour "seulement" 90€ par mois pendant 40 mensualités. Je viens de recevoir une pub à ce sujet, et je trouve cela intéressant. Ils font la même chose pour les optiques.

Bonjour,

comme Alain, pourtant bien plus jeune, je me fie également à mon index et mon majeur, "à l'ancienne" ATTENTION, mains propres et humides sinon....

L'eau étant très calcaire chez moi, je fais le dernier bain de rincage à l'eau déminéralisée avec un quart de goutte d'agent mouillant ILFORD (ne pas trop agiter, parce que ça mousse !).

Dans votre cas, c'est trop tard..... Il parait que de la vaseline pure (de pharmacie) appliquée sur le neg juste avant le tirage atténue les rayures. De même, un diaph d'agrandisseur fermé à f:16 arrange légèrement les choses (pas de miracle !).

Si quelqu'un à LA SOLUTION (en dehors de la retouche sur du baryté bien sûr), qu'il parle !

Bonjour,

j'ai moi même une contacteuse Paterson mais avec 7 bandes pour du 24*36. Je n'ai pas encore eu d'anneaux de Newton....

Les negs sont plaqués dans chaque bande, et la surface où est posée la contacteuse est bien droite : attention, les anneaux sont peut-être formés par une inclinaison de la concteuse par rapport à la source de lumière ou un espace trop important entre le verre et le neg si il gondole...

C'est bien des anneaux de Newton et non des tâches sur le verre ou des auréoles dues au produit de nettoyage (produit vitres sur un verre gras par exemple) ?

Vous laissez l'objectif sur l'agrandisseur pour faire vos planches ? Si oui (il vaut mieux je crois), à quel diaph ?

Avec un neg pareil, ça fait pas de la pub pour l'industar 61 ! Il n'y est pour rien le pauvre....

Je viens également de commander sur eBay un Jupiter-8 (black, année 1992, merci Ekreviss pour vos conseils ) et un Industar 61 LD.
Je vous en parlerai d'ici 15 jours, le temps de recevoir le paquet.

On pourra alors faire des comparaisons si vous voulez.
Je me mets à vraiment bien aimer les optique russes ! J'ai déja un Jupiter-8 silver de 1962 qui me plait beaucoup (monté en permanence depuis 2mois sur mon Bessa R2).
L'industar 61 m'a été conseillé par Ekreviss :
par rapport au Jupiter-8, 4 lentilles contre 6, traitement radioactif (moi aussi ça m'a fait bizarre de savoir ça ), focale de 53mm ou 55mm (pour les plus récents), ouverture 2.8 (contre f:2 pour le J-8, mais d'un manque de piqué et de contraste important à cette ouverture ; à éviter)

Avec quel vendeur avez vous fait affaire ?
De mon côté, j'ai déja acheté aux vendeurs suivants :
- kingdiamond* (un Zorki4 noir + J-8 silver #62xxx), parfaite transaction
- alex-photo (un J-8 black #92xxx + Industar 61), transaction en cours, mais très bon contacts par email !

Sur eBay, il est intéressant de faire connaitre les bons comme les mauvais vendeurs !

Et bien moi je vais vous faire sourire :
j'ai le numérique pour la photo en couple

Rien de scabreux, rassurez vous !

Quand je l'ai connu, mon amie ne touchait que très peu un appareil photo, et n'avait guère de réussites avec cet instrument. A force de mettre beaucoup d'espoirs dans un neg qui s'avérait au final râté, elle avait une dent contre la photo. Certes, le faible niveau de qualité des appareils utilisés et le manque d'envie pour apprendre les "techniques essentielles" ne l'aidaient pas vraiment. Elle est passé au numérique il y a maintenant plus d'un an, avec un petit boitier Sony, très simple, 2M, et très abordable (avec néamoins une mesure spot, un choix de la sensibilité, un mode MACRO, une balance des blancs réglables, et qui produit des 13*18 plutôt bons). Et là, Révélation : elle a pris goût à la photo ! Je jubile.
Cela nous à permis de nous répartir les rôle :
je suis passé à un appareil 100% manuel (Bessa R2) rempli 99% de NB et elle m'a remplacé dans la couleur. Super et complémentaire. Elle se charge aussi des "évennements" (famille, amis...) où les gens veulent des photos, souvent rapidement pour les diffuser (mail, CD). Pour un travail plus avancé, j'ai toujours mon appareil sur moi, mais je le réserve pour des clichés réellement désirés

On part en voyage avec les deux technologies, et chacun ramène des clichés différents, une autre sensibilité, un autre regards, sans pour autant être en "concurrence". Le jour du retour, on visualise ses photos instantanément ; heureusement, parce que depuis que je me suis mis au labo NB, c'est plus 48H de délais pour une 36 poses .... Je prends mon temps sans m'entendre dire : "alors ces photos, on les voit quand, l'an prochain ?!?"

Bon j'arrête de raconter ma vie.
Le module R est destiné aux pros qui ne peuvent se satisfairent d'un compact numérique "de base". En revanche, pour l'amateur, un APM dans la poche, c'est pratique, mais il ne faut pas oublier le fourre-tout argentique (Leica ou autre...) sur l'épaule !

Intéressant.....

A lire :

http://membres.lycos.fr/ncf/N2B15.html